LE DJIHAD ET LE DRONE Devant l’actualité électrique - TopicsExpress



          

LE DJIHAD ET LE DRONE Devant l’actualité électrique faisant état de la NSA américaine prit la main dans le sac d’espionnite pour en faire une moisson d’informations de ce qui se passe chez leurs cousins européens, je me suis imaginé, dans ma petite tête de crétin, notre état desprit si les Yankees nous piquent les recettes de la karantita ou des « casse-croute frite-omelette ». Alors là cest foutu pour nous autres, car avec la NSA on ne rigole pas et ils ont toujours une idée qui leur trotte dans le ciboulot. Et s’ils le font, c’est avec l’art et la manière de préparation et de présentation de ces petits gueuletons que l’on connait aux fils de l’oncle Sam qui vont surement nous concurrencer. Parce que s’ils s’amusent à nous faire le coup du « père François », l’économie de notre pays déjà branlante comme une charrette déglinguée, va en prendre un sacré gnon. - Non ! Mais dit donc, bougre didiot, ça se voit que tu n’es pas à la page toi ! Me disait un jour mon copain de café maure du coin ; tout ce qui intéresse les Amerloques c’est notre Sud par Chakib Khelil interposé. Ils sen foutent éperdument non seulement de notre bouffe et encore moins l’envie et la manière d’espionner nos chefs cuistots qui officient dans l’art culinaire. Ils sont beaucoup attirés comme des fourmis autour d’une goutte de miel. Par exemple fourrer leur nez dans les closes des contrats gazier algériens avec les autres firmes. - Et si le cas de l’espionnite culinaire se présente ? Me hasarde-je. - C’est un cas possible étant donné le fait qu’ils sont très copains-copains avec la bouffe vu leur embonpoint. Mais ils ne vont pas s’enticher de scrupules et faire dans la dentelle pour le faire. Donc ils ne vont pas se perdre dans les détails pour installer un magnétof à la rue Tanger. Ils ont créé un machin quils ont collé au dessus de nos têtes et ce machin là, figures toi, il peut surveiller Es-Seïda Hamed dans ses préparations télévisées de mets sucrés et salés qui sont d’ailleurs nos raisons dêtres par les temps qui courent. - Pourquoi ? L’ai-je questionné. - Et bien parce que nos libraires ont jugé utile, à contre cœur, de mettre la clé sous le paillasson faute de lecteurs et ces mêmes lecteurs n’ont pas trouvé mieux que d’allez flirter avec nos espaces « Gargantuesques» où des gargotes, des pizzérias et autres « casse-croute à toute heure » ont poussé comme des « Khorchefs sauvages ». Et si toi tu ne vas pas au devant de ces lieux « culinaires », ces derniers viennent chatouiller ton sens olfactif : Pour cela on a mis sur le marché des voitures aménagées. Ettttt ! Oui. Et ça ne chôme pas contrairement aux bus-librairies de la Bibliothèque d’EL Hamma qui n’ont pas connu les résultats escomptés. - Oui, et après, lui dis-je, on ne va pas crever de faim. - Nonnnnn ! Me rétorque mon copain, on ne crève pas de faim mais au contraire. On bouffe mais on risque de partir définitivement vers l’au-delà. Parce qu’il ne faut oublier un autre segment : les staphylocoques qui élisent domicile dans ces mets, nous mènent directement à l’hôpital d’El Kettar. Là réside la différence entre le cuistot US et certains des nôtres. Chez les Anglo-Saxons US rien de tel. Pour preuve, le fils de mon patelin était marchand de hot-dogs à la 5ième Avenue de New York et laisses moi te dire que, d’après lui, les autorités sanitaires ne lésinent pas sur la propreté. Ah non ! Pas ça. Son commerce eût pu être classé chez nous par le « Guide-SONATRACH » à la 5ième Etoile. Enfin, si dans l’éventualité Guide il y a. Ce qui m’étonnera. Bon maintenant imaginons une hypothèse : les espions de la CIA nous espionnent. Nous, forts de notre vigilance nationaliste sur tout ce qui se trame de pas trop « catholique » comme la rocambolesque épisode de l’autoroute est-ouest ou l’affaire SONATRACH I et II, nous arrivons donc à leur mettre le grappin dessus. Et que va-t-on faire des barbouzes ? S’enquiert mon ami devant mes yeux gros comme ceux d’un thon. « J’chais » pas, peut être les retenir prisonniers. Et peuuut-être tancer les commanditaires de cette félonie par note diplomatique et puis zut…, à la limite, leur faire le djihad comme nous le dit souvent notre Imam. Lui dis-je. - AHHHH ! Mon Dieu, le sempiternel djihad qui refait surface réplique constante de certains de nos Imam qui mettent toujours une longueur entre le « dire » et le »faire ». Mais mon pauvre idiot c’est ce jeté dans la gueule du loup. Avec quoi tu vas leur faire le djihad ? Peut être avec des mitrailleuses ? Des grenades offensives des années 40 ? Ou peur être aussi des frondes et des tires- boulettes ? Ah ! Mon ami je comprends maintenant que tu vis le moyen âge avec ses catapultes et ses arbalètes. Il n’y pas de djihad qui compte, sauf bien sûr en Palestine. En réponse ils peuvent nous demander gentiment de libérer les pauvres et paisibles touristes qui ne connaissent rien de l’art d’espionner. Parce que figures toi que les Amerloques remuent ciel et terre quand il s’agit d’un compatriote perdu dans la nature ou, encore plus, s’il est retenu contre son gré, même s’il a commis une connerie. Et si nous aurons l’outrecuidance de demander quoi que ce soit, ils nous lèveront toujours un lièvre comme celui d’Ain-Oussara lors de la guerre du Golf suite à notre petite neutralité dans le conflit. Et conséquemment à ceci, ils eussent pu appuyer sur cela : le bouton rouge et tout de suite après un drone se présente au dessus de nous et Boum… Pfff…Adios Ain-Oussara et autres, si affinités. Il faut se dire qu’un machin-obus intercontinental peut être programmé pour pénétrer dans l’appart du 2ième palier, porte N° 5 de tel immeuble. N’est-ce pas ? Ou alors, dans un autre schéma, je peux te citer le cas de « l’ingérence humanitaire » prônée par le président François Mitterrand, durant le Printemps Berbère, une idée non pas pour les beaux yeux des Kabyles mais tout simplement dans sa vision de récupérer le terrain perdu en 1962, néo-colonialiste oblige. MORALITE DANS TOUTE CETTE PHILOSOPIE : Apprenons un tant soit peu à remodeler l’opinion internationale négative à notre égard et disons que le djihad de robe et d’épée avait connu ses lettres de noblesse durant la période de la Révélation, quand les armées étaient dégal à égal. Après quoi, la sourate N° 109 est venue donner une autre forme et une autre dimension du djihad : En un mot : Le djihad de l’âme. Ce sont les qualités morales d’un vrai musulman que doit avoir chacun de nous, au lieu de se comporter d’une manière contraire aux percepts de l’Islam et nous faire montrer du doigt comme étant des terroriste mais aiment uniquement tuer.
Posted on: Sun, 17 Nov 2013 21:56:05 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015