LE REVE EXPANSIONNISME DU ROITELET MOHA 6 Le hasard - TopicsExpress



          

LE REVE EXPANSIONNISME DU ROITELET MOHA 6 Le hasard curieusement, fait bien ou pas biens les choses. Voilà deux stratégies : l’une qui date de 1958 et l’autre, plus récente mais dans un autre contexte, qui a vu le jour durant ce mois d’Octobre 2013. Un dénominateur commun les relit : un politique expansionniste menée tambour battants avec trompettes et sabre au clair. Deux arts de combiner des actions dans un but précis pour avoir la primauté de l’un sur l’autre belligérant: Commençons d’abord par le 1er art : la carotte et terminons par le 2ième : le bâton LA STRATEGIE D’OCTOBRE 1958 DU GENERAL DE GAULE LA CAROTTE : Le 3 Octobre 1958, au plus fort de la guerre d’Algérie et à loccasion de sa deuxième visite en Algérie après son retour au pouvoir, le général de Gaule devait lancer son plan de Constantine, un programme économique et social, en somme un mini plan Marshall, visant à la pacification et à assainir la situation précaire des indigènes, pour améliorer les conditions de vie des Algériens, d’où pour les détacher de l’irréversible Révolution en valorisant donc l’ensemble des ressources de l’Algérie. Ce fut un plan machiavélique qui s’articula sur un autre élément fondamental : l’affaiblissement politique du FLN avec un segment déterminant : La paix des braves lancée par le général de Gaule du haut de son podium de Constantine, sous les ovations des partisans de l’Algérie Française et des onomatopées de (AL-GE- RIE – FRAN-CAISE) frappées sur les portières des voitures. LE BATON Parallèlement au Plan de Constantine, le Plan Challe fut initié par le général de Gaule, comprenant des opérations militaires, particulièrement l’opération COURROIE qui s’est voulue être un rouleau compresseur qui devait, sur son passage, écraser la Révolution d’Ouest en Est. Le plan Challe n’avait pas que des objectifs militaires. Il doit être compris comme un élément déterminant de la stratégie politique du général de Gaulle. LES RESULTATS Nonobstant, la guerre prit davantage de l’ampleur à partie de 1959. Le plan de Constantine n’a eu aucun effet probant sur la population encore plus le Plan Challe qui n’était pas allé au-delà de l’Ouarsenis où l’armée connut une cuisante défaite durant la fameuse Bataille éponyme (de l’Ouarsenis). Les méthodes militaires (plan Challe, lignes Morice etc…) de l’armée française renforçaient les rangs du FLN/ALN et de la population. Dans le cadre de la paix des braves, il est vrai qu’il y eut la défection justifiée de Si Salah, ou si l’on veut beaucoup plus honnêtement, l’affaire de la Wilaya IV, qui, comme malheur est bon, poussa la Délégation du FLN de l’extérieur a aller à Melun. LA STRATEGIE D’OCTOBRE 2013 DU ROITELET MOHA 6 : LE BATON S’appuyant sur absence dun tracé précis de la frontière entre lAlgérie et le Maroc, et fort de leur irrédentisme autour de la notion du « Grand Maghreb qui veut, pour cela, l’annexion de toute la Maurétanie, le Sahara Occidental, une partie de l’ouest du Mali, Tindouf et Béchar (Excusez le peu…). Nonobstant le traité de Lalla Maghnia (18 mars 1845), qui fixe la frontière entre lAlgérie française et le Maroc, la convention signée par Ferhat Abbas, président du GPRA et Hassan II le 6 juillet 1961, le Traité d’Ifrane de 1969 qui constatait qu’une paix permanente régnait entre les deux pays voisins précisait que « dans le cas d’un différend ou d’un litige quel qu’il soit, [ils] s’interdiront d’avoir recours à la force [entre eux] et s’emploieront à régler ce différend par des moyens pacifiques, dans un esprit d’amitié, de fraternité et de bon voisinage […] ». Et ce traité n’a jamais été entériné par la Maroc, mauvaise foi oblige. EN 1962, le Maroc de Hassen II n’avait pas fait dans la dentelle pour attaquer militairement l’Algérie qui venait de sortir de l’ère coloniale. Qu’en est-il actuellement. Nous constatons que l’état présent des relations entre l’Algérie et le Maroc est marqué par l’invective et l’insulte qui peuvent envenimer davantage les relations entre les deux pays, pénalisant ainsi l’intérêt des deux peuples quand on sait que les frontières ont été fermées d’une façon irresponsable par le Roitelet, d’une part. D’autre part, Moha 6 nous met sur le dos la responsabilité du conflit qui l’oppose au Polisario alors que notre diplomatie s’est longuement adossée aux résolutions de l’ONU, donc une affaire d’auto détermination. Après l’explosion terroriste dans un bar de Marrakech, le Roi du Maroc s’était empressé non seulement de faire la chasse à l’Algérien mais de fermer les frontières Algéro-marocaines. Une aubaine pour nous dont l’économie avait connue une diarrhée de produits dont les prix étaient soutenus par l’Etat qui prirent le chemin d’Oujda et en retour les Marocains nous fourguaient de la came et autre produits de 3ième choix. La fermeture des frontières était donc une action inconsidérée, croyant ou se faisant croire que l’acte terroriste a été importé d’Algérie, profitant de ce fait pour que l’Istiklal, par palais royal interposé, remette sur la table des revendications la sempiternelle histoire du Grand Maghreb. LA CAROTTE Devant la situation économique insoutenable, dramatique que vit la région d’Oujda et qui se détériore de jour en jour, les responsables politiques ont pris conscience de l’erreur qui a été commise en fermant les frontières et ne cessent à chaque occasion de faire des déclarations politiques tendant à faire dépasser par les deux pays les rivalités géostratégiques et géopolitiques (problème du Sahara oblige) qui mettent (dixit le ministre marocain du tourisme) « un frein à l’intégration maghrébine et à la coopération Sud-Sud ». (Eli dherbatou yedou, mygoul ahhhhh). Une des plusieurs déclarations qui font allusion à peine voilée au refus de l’Algérie d’ouvrir les frontières terrestres. Soufflant le chaud et le froid comme à son habitude, le Maroc n’a pas hésité à commettre l’irréparable en allant flirter dangereusement avec notre souveraineté chèrement acquise, caractérisée par l’acte ignoble de la violation de notre représentation consulaire de Casa en s’y prenant à notre emblème national au motif que lors de la réunion du Comité Africain de Coordination de la Solidarité de la Société Civile du Continent avec le Sahara Occidental qui venait d’être créé à Abuja et où le représentant de l’Algérie n’avait rien ajouté à la position de l’Algérie qui est conséquente avec sa politique extérieur et milite pour l’autodétermination du peuple Sahraoui sous l’égide des résolutions de l’ONU et sous le contrôle de la MINURSO.. Ce qui a provoqué l’ire du Maroc dont notre drapeau national en a payé la facture. Le comble de l’ironie c’est que le Makhzen essaye de nous le solder comme étant un acte isolé et le Amine EL Mouminine au rabais fait dans l’aristocratie des médiocres, appela son ambassadeur pour consultation. LES RESULTATS (LA PAIX DES BRAVES A LA MAROCAINE) En voulant faire dans le schéma plus sérieux de la défection de la Wilaya IV qui a vu Si Salah se rendre à l’Elysée, le Maroc n’avait pas trouvé mieux que de tenter de gangréner notre jeunesse en octroyant la nationalité marocaine à un guignol, un certain Khaled, qui ne converse que par rire béat et surement pas pour ses beaux yeux, si ce n’est pour créer de la zizanie chez notre jeunesse. Quand il s’agit de descendre en flamme l’Algérie, les Marocains font feu de tous bois et dansent autour à l’Iroquoise pendant que leurs maitres ont fait faire sortir une sonde automatique de la Voie Lactée pour aller explorer l’espace sidéral. M.R. Y.
Posted on: Mon, 04 Nov 2013 00:02:07 +0000

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