LES LARMES DU GRAND ESPRIT Ils parcouraient les plaines, - TopicsExpress



          

LES LARMES DU GRAND ESPRIT Ils parcouraient les plaines, chevauchaient les montagnes, naviguaient sur les lacs et les rivières. Depuis des générations, sans abuser de la terre mère et de ses trésors. Et sans rien laisser derrière eux, que l’âme de leurs ancêtres, pour veiller sur eux. Ils auraient pu vivre longtemps dans cet éden paradisiaque. La sagesse était en eux. Et puis un jour, les hommes blancs, sont arrivés. Leurs paroles sonnaient faux, leurs mains étaient avides et leurs doigts crochus, leurs religions et leurs doctrines, n’étaient qu’hypocrisie et mensonges. Vous avez essayer de résister, pour préserver vos coutumes et votre façon de vivre. Vous furent massacrés par millions. Et aujourd’hui, les descendants des ces hommes, ce prennent pour les maîtres et les moralisateurs du monde, donneurs de leçons. Indiens mes frères. Peut-être, que parmi, mes aieux, se trouvaient, un de ces blancs qui vous à fait tant de mal est détruit votre paradis. Je vous demande pardon pour lui ou pour eux. En sachant que nos pardons, même par millions. N’effacerons jamais, les milliers d’animaux, que nous avons tués, toutes les terres, que nous vous avons volées, toutes ces rivières et lacs que nous avons pollués et les multitudes de vos frères que nous avons massacrés. En espérant, que nous ne n’anéantirons pas ces terres, qui furent vôtres et sacrées, il n’y a pas si longtemps. Je regarde le ciel, et moi qui ne croit en rien. Il mes semble entendre les tams-tams et les chants, qui résonne, comme une plainte du grand esprit. Il me dit, vous avez spolié mes peuples de leurs terres de naissances. Mais vous n’empêcherai jamais le vent, de faire voyager leurs paroles et leurs âmes, avec leurs frères bisons, et leurs frères aigles au dessus des plaines, des montagnes, des lacs et des rivières. Hommes blancs, vous croyez avoir tous les trésors, dans vos coffres forts, vos banques, vos palais boursiers. Mais il y en a un que vous ne posséder pas, c’est la sagesse et même avec des milliards de dollars, vous ne l’achèterai jamais. Pour l’obtenir, il faudra ouvrir votre cœur à la raison et à l’amour. Hommes blancs, je vous plaints. GUY BOUVOT
Posted on: Wed, 16 Oct 2013 06:42:52 +0000

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