LES VRAIS-FAUX PROTOCOLES DES SAGES DE SION - LA GRANDE - TopicsExpress



          

LES VRAIS-FAUX PROTOCOLES DES SAGES DE SION - LA GRANDE DÉSINFORMATION Le fameux texte ‘‘ Les Protocoles des Sages de Sion ‘‘ , appelé aussi ‘‘ Le dialogue aux enfers ‘‘ , sont des révélations apparues au 19e siècle. Elles indiquent comment les Illuminatis veulent installer en secret une dictature durable et un Nouvel Ordre Mondial. Dans la version appelée ‘‘ Les Protocoles de Sion ‘‘ , un faussaire antisémite russe, mandaté par les Illuminatis, a créé une désinformation et une polémique en voulant faire croire qu’il s’agissait d’un programme mis au point par un conseil de sages juifs voulant anéantir la chrétienté et le monde arabe pour dominer le monde. Ce livre, qui est bien sur un faux, expose un plan secret très précis de domination juive du monde. Ce plan utiliserait des violences, des ruses, des crises, des guerres et des révolutions. Il s’appuierait sur la modernisation industrielle et le capitalisme pour installer une dictature sémite. La publication à grande échelle de ce texte prétendait dévoiler ce vrai-faux complot des Illuminatis. Cette désinformation, appuyée par la polémique, a donc créé un nuage de discrédit sur ce texte cachant habilement une vérité ainsi transformée en faux. C’est une constante chez nos Maîtres de dire la vérité d’une façon fausse dans la forme de façon à cacher définitivement le fond qui, lui, est vrai. Ce sont les bases mêmes de la désinformation. Or, il a été démontré, en 1920, que ce texte était le décalque dun autre texte préexistant et beaucoup plus secret: ‘‘ Le dialogue aux enfers ‘‘ imaginé entre Machiavel, l’auteur du livre ‘‘ Le Prince ‘‘ et Montesquieu, l’auteur de ‘‘ l’Esprit des lois». Il fut publié en 1864 à Bruxelles par Maurice Joly. Mais peu importe cette fraude et ce détournement d’auteur à but antisémite, car ces idées au fond correspondent parfaitement à l’évolution de la politique mondiale actuelle. Il n’existe à ma connaissance aucune meilleure explication en détail de ce qui se passe aujourd’hui. C’est comme le mode d’emploi pour décoder le journal télévisé quotidien. Tout devient logique dans la marche du monde. C’est pour cela que j’ai choisi d’exposer ici un bref résumé des premiers Protocoles sans penser moi-même, une seconde, qu’une secte juive serait au cœur du Gouvernement Mondial Occulte. Comme d’habitude les juifs ont bon dos. Pour moi ils ont toujours été des scribes et gens érudits, passionnés par leur itinéraire historique et qui sont aussi infiltrés et manipulés que tout le reste du ‘‘ bétail humain». Ils ne sont donc pour les Illuminatis que de parfaits boucs émissaires. Je pense donc que les banquiers juifs ne font que leur éternel métier et ne sont absolument pas à la source de ce plan, même s’ils en sont parfois, à leur insu, les serviteurs zélés. Il est parfaitement vrai que certaines grandes familles juives, comme d’autres appartenant à d’autres confessions, servent très fidèlement et puissamment la cause reptilienne ancestrale. C’est le cas surtout des Rothschild organisés en dynastie dont la toile d’araignée entoure le globe. Renseignez vous sur leurs activités mondiales et je vous garantis que vous ne serez pas déçus. Néanmoins ils ne peuvent absolument pas être considérés comme représentatifs du monde juif sur la planète. Je considère plutôt qu’ils l’ont infiltrée dès le début de leur parcours, car les ancêtres Rothschild sont en fait d’origine ‘‘ kasar ‘‘ d’Asie centrale et non juive. Les princes ‘‘ Kasars ‘‘ ont choisi au 7e siècle le judaïsme pour se différencier à la fois des Byzantins (chrétiens) et des Arabes (musulmans). Ce fut un choix purement politique. Dans ce texte des protocoles, nous reconnaissons parfaitement bien qu’elle en est la source : L’antique Pyramide des Illuminatis. Notons au passage que ce sont ces mêmes Protocoles habilement détournés de façon opportune qui ont historiquement convaincu Adolphe HITLER, Philippe PETAIN et toutes les droites française et européennes que les Juifs étaient très dangereux et à l’origine de la corruption du monde. C’était eux, les Juifs, à cette époque qui représentaient l’axe du mal, justifiant ainsi l’Holocauste selon l’idéologie nazie. Le but était de pousser les juifs en Palestine comme l’avait prévu Albert Pike. Il fut facile d’inciter, par quelques Loges aryennes, ces ‘‘ lourdauds ‘‘ d’autrichiens à revenir aux sources de la race blanche d’Hyperborée. Le texte détourné des Protocoles faisait donc ‘‘ coup triple». Il donnait un motif antisémite aux Nazis affamés de revanche, il occasionnait une guerre installant facilement l’URSS et il enterrait ensuite, par discrédit, la théorie pourtant bien réelle d’un plan secret de dictature mondiale. Ce plan parfait ne pouvait être conçu que par de vrais dieux ! C’est un vrai travail d’orfèvre, digne du génie de nos Maîtres reptiliens, reconnaissons le. Cette fraude intentionnelle des Protocoles, attribués à tord au lobby juif, a permis de créer, ultérieurement, après la guerre, une totale dévalorisation de ce texte puissant dont la majorité des gens pense aujourd’hui qu’il est un faux. L’orfèvre en désinformation a été jusqu’au bout de son art, jusqu’à la perfection. Voilà, parmi tant d’autres, un simple exemple de la manipulation constante, telle que savent la planifier les Illuminatis. Merci donc aussi à ce génial faussaire russe, commandité, qui a permis d’attirer l’attention des chercheurs tenaces sur les détails du projet de dictature mondiale. Ces Protocoles sont parfaitement conformes à la politique actuelle. En voici donc ici un extrait. Chaque protocole correspond à un ordre du jour de stage pour l’enseignement des aspirants des diverses loges Illuminatis. Cest un long texte caractérisé par une absence totale d’émotion, alors quune très grande rigueur danalyse intellectuelle est omniprésente. Or ce sont là les caractéristiques fondamentales du caractère reptilien, froid et calculateur, tel qu’il est décrit dans les plaquettes sumériennes. Pour moi donc, il ne fait aucun doute que ce texte des Protocoles est ‘‘ signé’ car il a bien lodeur et la saveur de nos ‘‘ Saigneurs ‘‘ archaïques pour qui nous ne sommes que ‘‘ leur bétail ‘‘ créé pour les servir. Je ne vous dit pas ‘‘ bonne lecture ‘‘ parce que c’est particulièrement répugnant. Je vous dit alors : ‘‘ Bon courage ‘‘ . PREMIER PROTOCOLE La violence et l’intimidation : Il faut remarquer que le nombre des hommes aux instincts corrompus est plus grand que celui des gens aux instincts nobles. C’est pourquoi les meilleurs résultats s’obtiennent en employant la violence et l’intimidation plutôt que les discussions académiques. Tout homme a soif de pouvoir : chacun aimerait à être un dictateur si seulement il le pouvait, et bien rares sont ceux qui ne consentiraient pas à sacrifier le bien-être d’autrui pour atteindre leurs buts personnels. Le droit réside dans la force : Aux premières époques, les hommes étaient soumis à la force brutale et aveugle, puis ils se soumirent à la loi, qui n’est, en réalité, que la même force mais masquée. De par la loi naturelle, le droit réside dans la force. Le mot « droit » est une idée abstraite qui ne repose sur rien. Il ne signifie pas autre chose que ceci : « Donnez-moi ce dont j’ai besoin pour prouver que je suis plus fort que vous ». Dans un État où le pouvoir est mal organisé, où les lois et la personne du souverain sont annihilées dans un continuel empiétement du libéralisme, j’adopte un nouveau système d’attaque, me servant du droit de la force pour détruire les ordonnances et règlements existants, pour me saisir des lois, pour réorganiser les institutions et devenir ainsi le dictateur de ceux qui, de leur propre volonté, ont libéralement renoncé à leur puissance et nous l’ont conférée. La vraie liberté : Les rênes du Gouvernement étant abandonnées, il s’ensuivra qu’elles seront immédiatement saisies par une nouvelle main, parce que la force aveugle de la foule ne peut exister un seul jour sans chef. Le nouveau Gouvernement ne fait que remplir la place de l’ancien que son libéralisme a affaibli. L’or est entre nos mains : L’anarchie nous livre les peuples. De nos jours, la puissance de l’or a supprimé celle des autorités libérales. Il fut un temps où la religion gouvernait. L’idée de liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec discrétion. Il suffit de donner un instant à la foule le pouvoir de se gouverner elle-même pour qu’elle devienne, aussitôt, une cohue désorganisée. Dès ce moment, naissent des dissensions qui ne tardent pas à devenir des conflits sociaux ; les États sont mis en flammes et toute leur importance disparaît. Pas de morale en politique : La politique n’a rien de commun avec la morale. Un souverain gouverné par la morale n’est pas un habile politicien .Celui qui veut gouverner doit recourir à la ruse et à l’hypocrisie. En politique, les grandes qualités humaines d’honnêteté et de sincérité deviennent des vices et détrônent un souverain plus immanquablement que son plus cruel ennemi. Il faut semer l’anarchie dans les masses : Un esprit logique et sensé peut-il espérer réussir à gouverner les foules par des arguments et des raisonnements, alors qu’il est possible que ces arguments et ces raisonnements soient contredits par d’autres arguments ? Si ridicules qu’ils puissent être, ils sont faits pour séduire cette partie du peuple qui ne peut pas penser très profondément, étant entièrement guidée par des raisons mesquines, des habitudes, des conventions et des théories sentimentales. La population ignorante et non initiée, ainsi que tous ceux qui se sont élevés de son sein, s’embarrasse dans les dissensions de partis qui entravent toute possibilité d’entente, même sur une base d’arguments solides. Toute décision des masses dépend d’une majorité de hasard, préparée d’avance, qui, dans son ignorance des secrets de la politique, prend des décisions absurdes, semant ainsi dans le Gouvernement les germes de l’anarchie. Du mal temporaire auquel nous sommes actuellement obligés d’avoir recours, sortira le bienfait d’un gouvernement inébranlable qui rétablira le cours du mécanisme de l’existence normale détruit par le libéralisme. La fin justifie les moyens. Il faut, en dressant nos plans, que nous fassions plus attention à ce qui est nécessaire et profitable qu’à ce qui est bon et moral. Nous avons devant nous un plan sur lequel est tirée une ligne stratégique dont nous ne pouvons nous écarter sans détruire l’œuvre des millénaires passés. La foule est aveugle : Pour élaborer un plan d’action convenable, il faut se mettre en l’esprit la veulerie, l’instabilité et le manque de pondération de la foule incapable de comprendre et de respecter les conditions de sa propre existence et de son bien-être. Il faut se rendre compte que la force de la foule est aveugle, dépourvue de raison dans le discernement et qu’elle prête l’oreille tantôt à droite, tantôt gauche. Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tombent tous deux dans le fossé. En conséquence, les parvenus, sortis des rangs du peuple, fussent-ils des génies, ne peuvent pas se poser en chefs des masses sans ruiner la nation. L’impuissance des partis : Le peuple livré à lui-même, c’est-à-dire à des chefs sortis des rangs, est ruiné par les querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs et qui créent les troubles et le désordre. Est-il possible à la masse de juger avec calme et d’administrer sans jalousie les affaires de l’État qu’il ne lui faudra pas confondre avec ses propres intérêts ? Peut-elle servir de défense contre un ennemi étranger ? C’est impossible, car un plan, divisé en autant de parties qu’il y a de cerveaux dans la masse, perd sa valeur et devient inintelligible et inexécutable. Seul gouvernement possible : l’autocratie : Seul un autocrate supérieur peut concevoir de vastes projets et assigner à toute chose son rôle particulier dans le mécanisme de la machine gouvernementale. C’est pourquoi nous concluons qu’il est utile au bien-être du monde que son gouvernement soit entre les mains d’une seule personne responsable et prédestinée. Sans le despotisme absolu, pas de civilisation possible, car la civilisation ne peut avancer que sous la protection d’un chef, pourvu qu’il ne soit pas entre les mains de la masse. La foule est barbare et le prouve en toute occasion. Dès que le peuple s’est assuré la liberté, il se hâte de la transformer en anarchie qui, par elle-même, est le comble de la barbarie. Alcoolisme, drogues et corruption : Considérez ces brutes alcoolisées stupéfiées par la boisson, dont la liberté tolère un usage illimité ! Allons-nous permettre à nos membres de les imiter ? Le peuple est abruti par l’alcool, la jeunesse est détraquée par la drogue à laquelle l’ont incitée nos agents corrupteurs. La force et l’hypocrisie : Notre devise doit être : « Tous les moyens de la force et de l’hypocrisie ». Seule la force pure est victorieuse surtout quand elle se cache dans le talent indispensable aux hommes d’État. La violence doit être le principe, la ruse et l’hypocrisie la règle, pour combattre ces gouvernements qui ne veulent pas déposer leur couronne. Ce mal est le seul moyen d’arriver au bien. Ne nous laissons donc pas arrêter par l’achat des consciences, l’imposture et la trahison, si par eux nous servons notre cause. En politique, n’hésitons pas à confisquer la propriété, si nous pouvons ainsi acquérir soumission et pouvoir. La fin justifie les moyens. La terreur : Notre État, suivant la voie des conquêtes pacifiques, a le droit de substituer aux horreurs de la guerre des exécutions discrètes et plus expéditives qui sont nécessaires pour maintenir la terreur et produire une soumission aveugle. Une sévérité juste et implacable est le principal facteur de la puissance d’un État. Ce n’est pas simplement pour l’avantage qu’on peut en tirer, mais encore par la passion du devoir et de la victoire que nous devons nous en tenir au programme de violence et d’hypocrisie. Nos principes sont aussi puissants que les moyens que nous employons pour les mettre à exécution. C’est pourquoi nous triompherons non seulement par ces moyens mêmes, mais par la sévérité de nos doctrines, et nous rendrons tous les Gouvernements esclaves de notre Super-Gouvernement mondial. Il suffira que l’on sache que nous sommes implacables quand il s’agit de briser la résistance. Liberté-Égalité-Fraternité : Nous fûmes les premiers, jadis, à crier au peuple : « Liberté, Égalité, Fraternité », ces mots si souvent répétés, depuis lors, par d’ignorants perroquets, venus en foule de tous les points du globe autour de cette enseigne. A force de les répéter, ils ont privé le monde de sa prospérité et les individus de leur vraie liberté personnelle si bien protégée naguère contre la populace qui voulait l’étouffer. Les soi-disant sages et intelligents, ne discernèrent pas combien étaient vides ces mots qu’ils prononçaient et ne remarquèrent point combien ils s’accordaient peu les uns avec les autres et même se contredisaient. Ils ne virent pas qu’il n’est aucune égalité dans la Nature qui créa elle-même le contraire par des types divers et inégaux d’intelligence, de caractère et de capacité. De même en est-il pour la soumission aux lois de la Nature. Ces prétendus sages n’ont pas deviné que la foule est une puissance aveugle et que les parvenus sortis de son sein pour gouverner sont également aveugles en politique ; ils n’ont pas compris davantage qu’un homme destiné à régner, fût-il un imbécile, peut gouverner, tandis qu’un autre qui n’a pas reçu l’éducation voulue, fût-il un génie, n’entendra rien à la politique. Fin des régimes dynastiques : Ce fut sur cette base, cependant, que fut fondé le régime dynastique. Le père enseignait au fils le sens et le cours des évolutions politiques de telle manière que, sauf les seuls membres de la dynastie, personne n’en eût connaissance et n’en pût dévoiler les secrets au peuple gouverné. Avec le temps, le sens des vrais enseignements, tels qu’ils avaient été transmis dans les dynasties, de génération en génération, se perdit, et cette perte contribua au succès de notre cause. Notre appel « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents, des légions entières qui portèrent nos bannières avec extase. Pendant ce temps, ces mots, tels autant de vers rongeurs, dévoraient la prospérité des bourgeois, détruisaient leur paix, leur fermeté et leur union, ruinant ainsi les fondements des États. Ce fut cette action qui amena notre triomphe. Elle nous donna, entre autres choses, la possibilité de jouer notre as d’atout : l’abolition des privilèges de la Noblesse, seule protection qu’avaient contre nous les nations et les pays. Sur les ruines de l’aristocratie naturelle et héréditaire, celle-là même qui nous a servis si longtemps, nous élevâmes une aristocratie secrète, exclusivement fidèle à nous. Nous l’établîmes sur la richesse tenue sous notre contrôle et sur la science promue par nos savants. Flatter les faiblesses et les passions : Notre triomphe fut facilité par le fait que, grâce à nos relations avec des gens qui nous étaient indispensables, nous avons toujours appuyé sur les cordes les plus sensibles de la sensibilité humaine, exploitant la faiblesse de nos victimes, leurs convoitises, leur insatiabilité, les besoins matériels de l’homme.Chacune de ces faiblesses, prise à part, est capable de détruire toute initiative ; à l’inverse, en les flattant, nous mettons la force de volonté du peuple à la merci de ceux qui voulaient le priver de cette initiative. La liberté nous livre le pouvoir. Le caractère abstrait du mot « Liberté » a permis de convaincre la populace que le Gouvernement n’est qu’un gérant représentant le propriétaire, c’est-à-dire la nation, et qu’on peut s’en débarrasser comme d’une paire de gants usés. Le seul fait que les représentants de la nation peuvent être déposés les livra à notre pouvoir et mit pratiquement leur choix entre nos mains DEUXIÈME PROTOCOLE Nécessité des guerres économiques : Il est indispensable à nos desseins que les guerres n’amènent aucune altération territoriale. Dans ces conditions, toute guerre sera transférée sur le terrain économique. Alors, les nations reconnaîtront notre supériorité en voyant les services d’arbitrage que nous rendons aux deux adversaires. Alors, nos droits internationaux balayeront les lois locales devenues caduques et gouverneront les pays comme les gouvernements individuels leurs sujets. C’est par la ruine que nous ferons mettre genoux à terre à nos ennemis. Fonctionnaires serviles : Nous choisirons parmi le public des administrateurs aux tendances serviles. Ils seront inexpérimentés dans l’art de gouverner. Nous les transformerons facilement en pions sur notre échiquier où ils seront mus par nos savants et sages conseillers, tout spécialement formés dès la plus tendre enfance pour notre Gouvernement Mondial. Les gens simples ne profitent pas des observations fournies par l’Histoire vraie qui pourrait les effrayer, mais ils s’en tiennent à une routine de théories apprises. Il faut donc leur écrire l’histoire qu’ils doivent croire afin qu’ils n’en tirent aucun principe réel. Nous n’accordons en général aucune importance aux gens simples. Qu’ils s’amusent jusqu’à ce que les temps soient accomplis ; qu’ils vivent dans l’espérance de nouveaux plaisirs, ou dans le souvenir des joies passées. Qu’ils croient que ces ensembles de lois théoriques que nous leur avons inspirés sont d’une suprême importance. Ils adorent les jeux de l’esprit. Avec cette idée en perspective et le concours de nos médias, nous augmenterons sans cesse leur confiance aveugle en ces lois et faux concepts. L’élite intellectuelle s’enorgueillira ainsi de sa science et, sans la vérifier, la mettra en pratique telle que la lui auront présentée nos agents, pour former leurs esprits dans le sens voulu par nous. Selon le degré de leur bêtise, nous créerons même des prix d’excellence. Ne croyez pas que nos assertions sont des mots en l’air. Considérez le succès des Darwin, Marx et Nietzsche, préparé par nous. Pouvoir d’adaptation permanent : Pour ne pas risquer de commettre des fautes dans notre politique ou dans notre administration, il nous est essentiel d’étudier et d’avoir bien présents à l’esprit les courants de la pensée, le caractère et les tendances des nations. Siècle après siècle, nous serons vigilants pour ne pas être surpris. Le triomphe final de notre plan est dans son adaptabilité au tempérament des sociétés que nous voulons contrôler par une infiltration de l’intérieur. Elle ne peut réussir que si son application pratique repose sur l’expérience du passé, jointe à l’observation du présent et la préparation du futur. Nos agents se doivent pour cela de posséder une vraie connaissance distincte de celle des masses. La presse : Ils étaient autrefois tous entre les mains des Gouvernements, une grande puissance par laquelle ils dominent et orientent l’esprit public. La presse révèle les réclamations vitales de la populace, informent de ses sujets de plainte, et, parfois, créent le mécontentement. La libre parole est née de la presse. Mais les Gouvernements n’ont pas su tirer parti de cette force et elle tomba habilement entre nos mains. Par la presse, tout en restant dans la coulisse, nous avons acquis l’influence et l’honorabilité qui mystifie les bourgeois riches et parvenus ayant profité de la ruine que nous avons provoquée chez les nobles. L’or et notre sang : Grâce à la presse maintenant au service exclusif de nos actions, nous accumulâmes l’or, bien qu’il nous en coûtât des flots de sang ; il nous en coûta le sacrifice de bien des nôtres, mais chacun de nos sacrifices vaut bien celui de milliers d’hommes ordinaires. TROISIÈME PROTOCOLE Le cercle du Serpent symbolique : Aujourd’hui, je puis vous assurer que nous ne sommes plus qu’à quelques pas de notre but final. Encore une courte distance à franchir, et le cercle du Serpent symbolique - le signe de notre Confrérie - sera complet. Quand ce cercle sera fermé, il entourera tous les États de l’Europe et du monde par des chaînes indestructibles. Pour atteindre les chefs d’État : Bientôt s’écrouleront les échafaudages qui existent actuellement, parce que nous leur faisons continuellement perdre l’équilibre pour les user plus rapidement et les mettre hors de service. Les gens s’imaginaient qu’ils étaient suffisamment solides et que leur équilibre serait durable. Mais les supports des échafaudages - c’est-à-dire les chefs d’État - sont gênés par leurs serviteurs inutiles, entraînés qu’ils sont par cette force illimitée de l’intrigue qui leur est propre et grâce à la corruption qui règne dans les palais et ministères. N’ayant aucun moyen d’accès au cœur de son peuple, le souverain ne peut se défendre des intrigants avides de pouvoir. Comme le pouvoir vigilant a été séparé par nous de la force aveugle de la populace, tous deux ont perdu leur signification, parce qu’une fois séparés ils sont aussi impuissants qu’un aveugle sans sa canne. Opposer les partis : Nous avons dressé tous les pouvoirs les uns contre les autres en encourageant leurs tendances libérales vers l’indépendance. Nous avons favorisé toute entreprise dans ce sens ; nous avons mis des armes formidables aux mains de tous les partis et nous avons fait du pouvoir le but de toute notre ambition. Nous avons transformé les Gouvernements en arènes pour les guerres de partis. Pour ruiner le pouvoir : Bientôt le désordre flagrant et la banqueroute apparaîtront partout. D’incorrigibles bavards ont converti en parlottes les assemblées parlementaires et administratives. D’audacieux journalistes et des pamphlétaires impudents attaquent continuellement les pouvoirs administratifs. Pour notre bénéfice, des abus de pouvoir prépareront définitivement l’effondrement de toutes les institutions, et tout tombera en ruines sous les coups de la populace en fureur. Des droits fictifs pour les masses : Les gens sont justement asservis par le boulet de la pauvreté, d’une manière plus sûre qu’au temps des lois du servage. De celui-ci, ils pouvaient se libérer d’une manière ou de l’autre, tandis que rien ne les affranchira de la tyrannie du besoin que nous avons judicieusement créée. Nous avons ainsi eu soin d’insérer, dans les Constitutions, des droits qui sont pour la masse purement fictifs. Tous les soi-disant « droits du peuple » et ne peuvent exister que sous forme d’idées inapplicables en pratique. Le pouvoir contre le peuple : Qu’importe à un ouvrier prolétaire, opprimé par son sort, qu’un bavard obtienne le droit de parler, ou un journaliste celui de publier une sottise quelconque ? A quoi sert une Constitution au prolétariat s’il n’en retire d’autre avantage que les miettes que nous lui jetons de notre table, en échange de ses votes pour l’élection de nos fidèles agents ? Les droits républicains sont une ironie pour le pauvre, car la nécessité du travail quotidien l’empêche de n’en retirer aucun avantage, et ils ne font que lui enlever la garantie de salaire fixe et assuré, le rendant dépendant des grèves, des patrons et des camarades. Noblesse et profiteurs : Sous nos auspices, la populace extermina l’aristocratie qui, dans son intérêt propre, avait pourvu aux besoins du peuple et l’avait défendu, car son intérêt est inséparable du bien-être de la populace. De nos jours, ayant détruit les privilèges de la noblesse, le peuple tombe sous le joug des profiteurs rusés et des parvenus. Protection des communistes. Nous tenons donc à passer pour les libérateurs du travailleur, venus pour le délivrer de cette oppression en lui suggérant d’entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d’anarchistes et de communistes. Nous protégerons toujours ces derniers, feignant de les aider par principe de fraternité et d’intérêt général pour l’humanité, évoqué par la branche socialiste de notre Maçonnerie. Notre véritable intérêt veut, au contraire, la dégénérescence des petites gens. Notre force consiste à maintenir la masse des travailleurs dans un état constant de besoin et d’impuissance, parce qu’ainsi nous l’assujettissons à notre volonté ; et dans son entourage, le travailleur ne trouvera jamais ni pouvoir ni énergie pour se dresser contre nous. Détruire les obstacles : Nous gouvernerons les masses en tirant parti des sentiments de haine allumés par l’oppression et le besoin. Et, au moyen de ces sentiments, nous nous débarrassons de ceux qui entravent notre marche. Quand viendra pour nous le moment de couronner notre « Maître du Monde », nous veillerons à ce que, par les mêmes moyens - c’est-à-dire en nous servant de la populace - nous détruisions tout ce qui serait un obstacle sur notre route. Les crises économiques : Cette haine sera encore accrue par l’effet que produiront les crises économiques qui arrêteront les marchés et la production. Nous créerons à la fin une dernière grande crise économique universelle par tous les moyens détournés possibles et à l’aide de l’or qui est presque entièrement entre nos mains. Nous aurons auparavant ruiné toutes les monnaies fiduciaires qui ne seront plus porteuses de confiance. Simultanément, nous jetterons à la rue, dans toute l’Europe, des foules énormes d’ouvriers. Ces masses seront alors heureuses de se précipiter sur ceux qui ont du bien et que, dans leur ignorance, elles ont jalousés dès l’enfance : elles répandront leur sang et pourront ensuite s’emparer de leur patrimoine. Le libéralisme doit disparaître. Nous avons persuadé les gens que le libéralisme les conduirait au règne de la raison. Notre despotisme sera de cette nature, car il sera en situation d’abattre toute rébellion et de supprimer, par une juste rigueur, toute idée libérale dans toutes les Institutions. Le concept libéral se révélera être la source de la catastrophe. Il sortira définitivement de l’esprit des masses. La grande révolution : Quand la populace s’aperçut qu’au nom de la liberté, on lui accordait toute espèce de droits, elle s’imagina être la maîtresse et essaya de s’emparer du pouvoir. Naturellement la masse aveugle se heurta à d’innombrables obstacles infranchissables. Alors, ne voulant pas retourner à l’ancien régime, elle déposa sa puissance à nos pieds. Souvenez-vous de la Révolution française, que nous appelons « la Grande » : les secrets de sa préparation, étant l’œuvre de nos agents, nous sont donc bien connus. A partir de ce moment, nous allons conduire les nations de déception en déception, de sorte qu’elles en viennent à désavouer les démocrates en faveur du Roi-Despote éclairé que nous préparons au monde. La « liberté » : Le mot « liberté » met la société en conflit avec toutes les puissances, même avec celle de la Nature et du cosmos. C’est pourquoi, lorsque nous arriverons au pouvoir, il nous faudra effacer le mot « liberté » du dictionnaire humain, comme étant le symbole du pouvoir bestial. Mais rappelons-nous que ce bétail s’endort dès qu’il est rassasié et qu’il est facile alors de le charmer et de l’asservir. QUATRIÈME PROTOCOLE L’évolution de la république : Toute république passe par diverses phases. La première ressemble aux premiers jours de fureur. La seconde, c’est le règne du démagogue faisant naître l’anarchie pour ensuite lui substituer le despotisme. Ce despotisme n’est pas officiellement légal mais il est caché et invisible. Il est généralement sous le contrôle de notre organisation secrète, qui agit derrière un agent, ce qui la rend d’autant plus audacieuse et sans scrupule. Ce changement sera profitable à l’organisation qui pourra ainsi se débarrasser brutalement de vieux serviteurs auxquels il aurait fallu sinon donner d’importantes gratifications. La puissante action occulte des Loges : Comment attaquer un pouvoir qui serait invisible ? C’est impossible ! Or, c’est ce qu’est notre Gouvernement mondial et occulte dans son fondement. Il est indétectable par la masse et les gradés de ce monde sont à notre service. Les multiples loges infiltrées jouent inconsciemment, dans le monde entier, le rôle d’un masque qui cache en permanence notre but. Mais l’usage que nous allons faire de ce pouvoir dans notre plan d’action, et jusque dans nos quartiers généraux, reste à jamais ignoré du monde en général grâce à ce masque gigantesque. Détruire la foi en Dieu : La liberté pourrait être inoffensive et exister dans les gouvernements et les pays sans être préjudiciable à la prospérité du peuple, si elle ne reposait pas sur la religion et sur l’amour de Dieu ou sur la fraternité, idées qui sont en opposition directe aux lois fondamentales de la création lesquelles ont prescrit la soumission à l’autorité. Gouverné par une telle foi, le peuple serait sous la seule tutelle des paroisses et vivrait paisiblement sous la direction des pasteurs, eux-mêmes soumis à la Providence divine. C’est pourquoi nous devons toujours perturber et détourner à notre profit le travail des prêtres quelle que soit leur religion .Nos ancêtres ont toujours respecté ce principe depuis la nuit des temps pour le plus grand bien de notre plan secret. Ruiner les masses avec la spéculation boursière : Pour détourner l’attention des bourgeois de notre plan secret, il est essentiel que nous l’attirions du côté du marché libéral de la bourse, en sorte que toutes les nations avides de gains ne s’occuperont pas de nous, dans cette agitation universelle. Pour que cette liberté puisse disloquer et ruiner la vie sociale des gens, il faut que nous établissions ainsi le commerce mondial non pas sur l’offre et la demande de biens qui tendrait à terme vers l’équilibre, mais sur une base constamment spéculative, ce qui aura pour résultat d’empêcher les joueurs de retenir entre leurs mains les richesses tirées de l’industrie et du commerce. Comme il sera facile pour nous de contrôler les cours des marchés, les richesses passeront directement dans nos coffres par l’intermédiaire de nos agents, pendant que les marchés continueront à spéculer sur des titres fictifs prometteurs que nous aurons créés Entretenir la soif de l’argent : La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société frustrée, démoralisée, égoïste et sans scrupules. Cette société deviendra sans principe et compétemment indifférente aux idéaux de la religion et de la politique dont elle aura même le dégoût. La passion de l’argent sera son seul but et elle fera tous ses efforts pour se procurer cet argent qui, seul, peut lui garantir les plaisirs matériels dont elle sera devenue dépendante. Alors par pure haine des classes supérieures, les classes inférieures se joindront à nous contre la bourgeoisie privilégiée. Nous devrons en effet périodiquement affaiblir celles-ci en la pointant du doigt car à terme c’est elle qui risquerait de soupçonner une partie devenue visible de notre plan. CINQUIÈME PROTOCOLE Un gouvernement despotique bienvenu : Quelle sorte de gouvernement pourra-t-on donner à des sociétés où la masse criera famine, où la corruption aura pénétré partout, où les richesses ne pourront s’acquérir que par des moyens frauduleux, où les querelles domineront, où la morale sera soutenue par le châtiment et où les sentiments patriotiques et religieux auront disparus ? Quelle forme de gouvernement pourra-t-on donner à ces sociétés, si ce n’est la seule forme despotique ? Nous pourrons ainsi organiser un gouvernement central et fort, de façon à obtenir pour nous-mêmes les pouvoirs sociaux tels que nous les entendons. Nous réglerons ainsi la vie politique de nos sujets, comme s’ils étaient autant de rouages d’une machine. Des lois imposées restreindront graduellement la liberté. Notre règne se développera ainsi en un despotisme éclairé si puissant qu’il pourra à tout moment et en tout lieu écraser les opposants récalcitrants. Le pouvoir nécessite la ruine de la religion : Au temps où le peuple croyait au droit divin de ses souverains, il se soumettait paisiblement au despotisme de ses monarques. Mais, du jour où nous inspirâmes à la populace la notion de ses propres droits, elle regarda les rois comme de simples mortels. L’onction sacrée disparut à ses yeux. Lorsque nous lui eûmes enlevé sa religion, le pouvoir fut jeté dans les rues comme propriété publique, et nous nous en emparâmes. De plus, parmi nos talents administratifs, nous comptons également celui de l’hypnose des masses au moyen d’une phraséologie et de théories habilement construites. A notre connaissance, la seule société capable de maîtriser comme nous cette science serait celle des Jésuites qui nous assistent et que nous avons jadis mis en place. Mais nous sommes parvenus aujourd’hui par précaution à la discréditer aux yeux de la foule et à l’infiltrer au bénéfice de notre cause. Désunion organisée des peuples : Des nations pourraient envisager de se liguer contre nous. Comme nous ne voulons courir aucun risque, nous nourrissons les profondes racines de leur haine mutuelle qui ne peuvent ainsi être extirpées. Nous les mettons en désaccord les unes avec les autres en exacerbant ainsi les intérêts nationaux depuis des siècles. Nous y mêlons des préjugés de religion, de tribu et de race. De tout cela il résulte que pas un seul gouvernement ne trouvera d’appui chez ses voisins lorsqu’il fera contre nous appel à leur aide, parce que chacun d’eux pensera qu’une action intentée contre nous pourrait être désastreuse pour son existence individuelle. Nous sommes trop puissants et le monde doit compter avec nous. Les gouvernements ne peuvent même pas faire un traité de peu d’importance sans que nous y soyons secrètement impliqués par nos agents. Une fois les conflits organisés en secret, nous établissons ensuite des traités de paix dans l’attente bien sûr que celle-ci soit rompue, ce qui ne tarde jamais très longtemps. Le « génie » légitime de la race supérieure : Nous sommes les vrais gérants légitimes faits pour administrer la terre après que notre Maître en ait créé le dernier adam pour son service. Les lois cosmiques nous donnèrent génétiquement le pouvoir pour accomplir cette œuvre jusqu’à son terme. S’il se trouvait un autre génie dans le camp ennemi, il pourrait nous combattre, mais un nouveau venu ne pourrait se mesurer à de vieux vainqueurs de notre espèce, et le combat serait d’une nature si titanesque que le monde n’en aurait encore jamais vu de semblable, même dans les temps oubliés. Il est donc déjà trop tard pour leur autre génie. Notre plan ne peut plus trouver aujourd’hui d’opposition. L’argent seule puissance gouvernementale : Tous les rouages du mécanisme de l’État sont mus par une force qui est entre nos mains, à savoir l’argent. La science de l’économie politique, élaborée par nos savants, a déjà prouvé que la puissance du capital, bien dirigée vers nos coffres, surpasse le prestige de la couronne. Le capital, pour avoir le champ libre, doit obtenir le monopole de l’industrie et du commerce. Ceci est en voie d’être réalisé, dans toutes les parties du monde, par une main invisible. Un tel privilège donnera un pouvoir politique aux industriels choisis parmi nous et qui, s’enrichissant de profits excessifs, opprimeront facilement le peuple. Il deviendra plus important de désarmer le peuple que de le mener à la guerre. Il est plus important d’utiliser pour notre cause les passions brûlantes que de les éteindre, d’encourager les idées des nôtres et de s’en servir pour nos desseins que de les écarter. Des discours éloquents insupportables : De tout temps, les nations, comme les individus, ont pris les mots pour des actes. Satisfaits de ce qu’ils entendent, ils remarquent rarement si la promesse a vraiment été tenue. C’est pourquoi, dans le seul but de parader, nous organiserons des institutions dont les membres, par des discours éloquents, prouveront et glorifieront leur contribution au « progrès ».Nous nous donnerons une attitude libérale vis-à-vis de tous les partis et de toutes les tendances, et nous la communiquerons à tous nos orateurs. Ces orateurs seront si loquaces qu’ils fatigueront le peuple de leurs discours, à ce point qu’ils lui rendront tout genre d’éloquence insupportable. La confusion de l’opinion publique : Pour s’assurer les faveurs de l’opinion publique, il faut, tout d’abord, l’embrouiller complètement en lui faisant entendre de tous côtés et de toutes manières des opinions contradictoires, jusqu’à ce que les gens soient perdus dans leur labyrinthe. Ils comprendront alors que le meilleur parti à prendre est de n’avoir aucune opinion en matière politique. Ceci est le premier secret. Le second secret, nécessaire au succès de notre gouvernement, consiste à multiplier à un tel degré les lois du pays que personne ne soit plus capable de penser clairement dans ce chaos. Les hommes cesseront ainsi de se comprendre les uns les autres. Cette politique nous aidera également à semer des dissensions parmi tous les partis, à dissoudre toutes les puissantes collectivités et à décourager toute initiative individuelle pouvant gêner nos projets. Il n’est rien de plus dangereux pour nous que l’initiative personnelle : S’il y avait aussi un cerveau bien fait par derrière, elle pourrait nous faire plus de mal que des millions d’individus en révélant tout simplement notre plan. Il nous faut diriger l’éducation des sociétés de telle façon que, chaque fois que l’initiative est requise pour une entreprise, elles s’avouent à la fin désespérément vaincues. La tension produite par la liberté d’action perd de sa force dès qu’elle se heurte à la liberté concurrente d’autrui ; de là, les chocs moraux, les déceptions et les échecs. Le Super-gouvernement mondial : Par tous ces moyens nous opprimerons tant les gouvernements des nations qu’ils seront contraints de nous demander de les gouverner internationalement. Dès que nous aurons atteint une telle position, nous pourrons aussitôt absorber toutes les organisations du monde entier et former notre super-gouvernement universel. Nous remplacerons les gouvernements existants par un monstre que nous appellerons l’Administration du Super gouvernement mondial. SIXIÈME PROTOCOLE L’absorption des grandes fortunes : Bientôt nous nous mettrons à organiser de grands monopoles - réservoirs de richesses colossales - dans lesquels entreront les grosses fortunes, en sorte qu’elles sombreront ensemble, avec le crédit de leur gouvernement, le lendemain de la crise politique. Que nos agents économistes mesurent bien l’importance de ce grand projet. Nous devons employer toute espèce de moyens possibles pour développer les bienfaits de notre Super-gouvernement, le présentant comme le protecteur et le rémunérateur de tous ceux qui, volontairement, se soumettent à nous. Nous devrons ruiner pour cela l’aristocratie par les impôts. L’aristocratie, comme puissance politique et sociale, ne doit plus exister. Il est donc inutile de nous en occuper désormais de ce point de vue .Mais, comme propriétaires fonciers, les aristocrates sont encore dangereux pour nous, parce que leur indépendance est assurée par leurs ressources. Il nous est donc indispensable de dépouiller à tout prix l’aristocratie de ses terres. Pour arriver à ce but, la meilleure méthode est la corruption et l’impôt. Cette méthode maintiendra les revenus des biens fonciers au minimum. Les aristocrates qui, par les goûts dont ils ont hérité, sont incapables de se contenter de peu, seront bientôt ruinés. Pour drainer toutes les richesses : Il faut qu’en même temps nous protégions le plus possible le commerce et l’industrie, et tout particulièrement la spéculation, dont le principal rôle est de servir de contrepoids à l’industrie. Sans la spéculation, l’industrie accroîtrait les capitaux privés et tendrait à relever l’agriculture en affranchissant la terre de dettes et d’hypothèques avancées par les banques agricoles. Il est essentiel que l’industrie draine toutes les richesses de la terre et que la spéculation verse entre nos mains ces mêmes richesses ainsi captées. Par ce moyen, les gens seront jetés dans les rangs du prolétariat. Alors ils se courberont devant nous pour obtenir le droit d’exister. Encourager le luxe : Afin de ruiner les gens les plus riches et d’activer la spéculation, nous encouragerons la passion effrénée du luxe . Salaires et « vie chère » : Nous augmenterons les salaires, ce qui ne soulagera pas les ouvriers, car, en même temps, nous élèverons le prix des objets de première nécessité, sous prétexte de mauvaises récoltes. Fausses doctrines économiques : Pour que les gens ne se rendent pas prématurément compte de la véritable situation des affaires, nous la dissimulerons sous un désir apparent d’aider les classes ouvrières dans la solution des grands problèmes économiques, dont nos théories économiques facilitent la propagande de toutes les manières possibles. SEPTIÈME PROTOCOLE Les conflits militaires : L’extension favorable pour nous des conflits et l’augmentation des forces armées sont essentielles à la réalisation du plan. Il faut que nous arrangions les choses de façon qu’il n’y ait dans tous les pays qu’un immense prolétariat dont tous les individus seront autant de soldats et d’agents de police dévoués inconsciemment à notre cause. Dans toute l’Europe et aux USA, ainsi que sur les autres continents, nous devons exciter la sédition, les dissensions et l’hostilité mutuelle. Il y a à cela double avantage : d’abord nous commandons par ces moyens le respect de tous les pays qui savent bien que nous avons le pouvoir de créer les soulèvements à volonté ou aussi de restaurer l’ordre quand nous le voulons. Tous les pays vont saccoutumer à recourir à nous quand la répression deviendra nécessaire. Nous créerons de grands organismes de coordination internationale qui seront tous entre nos mains. En second lieu, nous entretiendrons ces actions dans les ministères de tous les gouvernements où nous sommes infiltrés, non seulement au moyen de notre politique officielle, mais par des conventions commerciales et des obligations financières. Pour atteindre ces fins, il nous faudra recourir à beaucoup de ruse et d’artifice pendant les négociations et les débats. Dans ce qui s’appelle le « langage officiel », nous semblerons adopter la tactique opposée et paraîtrons honnêtes et conciliants. Ainsi, les gouvernements des pays secondaires à qui nous avons appris à ne regarder que le côté apparent des affaires, nous considéreront comme les bienfaiteurs et les sauveurs de l’humanité. Buts des guerres : Nous devons être à même de répondre à toute opposition par une déclaration de guerre du pays voisin de l’État qui ose se mettre en travers de notre route ; mais si ces voisins, à leur tour, devaient se décider à s’unir contre nous, il faudrait leur répondre en déchaînant une guerre mondiale. Nous ne saurions risquer une défaite. D’autre part les conflits armés permettent un développement important de l’industrie militaire qui est l’une de nos plus grandes ressources. L’opinion publique : Pour favoriser notre plan mondial, qui est près d’aboutir après tant de siècles, il nous faut influencer les gouvernements par ce que l’on nomme l’opinion publique. Elle est créée par nous au moyen de la plus grande des puissances : la propagande. Mises à part quelques insignifiantes exceptions sans influences réelles, tous les grands journaux du monde sont entre nos mains. Voilà l’un de nos grands succès. Grâce à cette nouvelle arme et afin de démontrer que tous les gouvernements nous sont asservis, nous manifesterons notre pouvoir à celui qui serait le plus critique envers nous, au moyen de crimes, de violences, c’est-à-dire par un règne de terreur. Nous dirigerions d’autre pays contre lui. HUITIÈME PROTOCOLE Une justice adaptée : Nous devons nous assurer tous les moyens dont nos ennemis pourraient se servir contre nous. Nous aurons recours aux expressions les plus compliquées de la loi, afin de nous justifier dans le cas où nous serions obligés de prendre des décisions qui pourraient sembler trop hardies ou injustes. Car il sera important d’exprimer de telles décisions d’une manière si énergique, qu’aux yeux du peuple elles puissent paraître de nature excessivement morale, équitable et juste. Notre organisation secrète devra s’entourer de toutes les forces de la civilisation au sein de laquelle il aura à agir. Il attirera à lui les publicistes, les avocats, les praticiens, les administrateurs, les diplomates, et, enfin, tous ceux que nous aurons formés dans nos écoles spéciales. Ces gens connaîtront les secrets de la vie sociale, ils seront maîtres de toutes les langues rassemblées dans le vocabulaire politique ; ils connaîtront à fond le côté intérieur de la nature humaine avec toutes ses cordes les plus sensibles, sur lesquelles ils auront à jouer. Ces cordes constituent le cerveau des gens, leurs bonnes et leurs mauvaises qualités, leurs tendances et leurs vices, les particularités des castes et des classes. Il va sans dire que ces sages conseillers de notre puissance auxquels je fais allusion ne seront pas choisis parmi les gens simples, mais parmi l’élite. Professeurs d’économie : Nous entourerons notre gouvernement de toute une armée d’économistes. C’est la raison pour laquelle la science de l’économie est le principal sujet enseigné dans nos écoles spéciales. Nous aurons autour de nous des milliers de banquiers, de négociants et, ce qui est plus important encore, de millionnaires, parce qu’en réalité l’argent décidera de tout. Exploitation des gens tarés : Cependant, tant qu’il ne sera pas possible de remplir les postes de gouvernement directement avec tous nos frères, nous confierons ces postes importants à des gens dont les antécédents et la réputation sont si mauvais, qu’ils forment un abîme entre eux et la nation, et à des hommes tels, qu’au cas où ils enfreindraient nos ordres, ils pourraient s’attendre à être jugés et emprisonnés. Et tout ceci dans le but de les obliger à défendre nos intérêts jusqu’à leur dernier souffle. Le but est proche : Somme toute, nous ne rencontrerons aucune opposition. Notre gouvernement est dans une situation si extraordinairement forte devant la loi que nous pouvons presque le définir par l’énergique expression de dictature. Je peux honnêtement dire que, pour le temps présent, nous sommes des législateurs ; nous tenons des assises et infligeons des peines : nous mettons à mort ou faisons grâce ; nous sommes, pour ainsi dire, le commandant en chef chevauchant à la tête de toutes les armées. Nous gouvernerons par la force puissante parce que les restes d’un parti, puissant jadis, sont entre nos mains ; ce parti nous est aujourd’hui assujetti. Nous avons des ambitions illimitées, une convoitise dévorante, une vengeance impitoyable et une haine intense. Nous sommes la source d’une terreur s’étendant au loin. Dénonciation possible : Les nations pourraient prendre les armes contre nous si nos plans étaient prématurément découverts ; mais, en vue de cette possibilité, nous pouvons nous reposer sur la mise en action d’une force si formidable qu’elle ferait frémir les hommes les plus braves. Le cas échéant nous aurions bientôt la capacité militaire de faire sauter toutes les cités du monde, avec leurs institutions et de mettre à genoux toutes les armées car nous les commandons en secret grâce à nos agents infiltrés. Les Loges, instrument de propagande : Mais vous le savez parfaitement bien vous-mêmes, pour que la multitude en arrive à hurler cette requête, il faut que dans tous les pays on trouble continuellement les relations qui existent entre le peuple et les gouvernements. Nous devons entretenir un état de souffrance permanent par : les hostilités, les guerres, les guérillas, la criminalité, les procès confus, et même le besoin, la précarité, les maladies, et cela à un tel degré que les gens ne voient d’autre issue à leurs malheurs qu’un appel à notre argent et à notre complète souveraineté. Mais si nous donnons à la nation le temps de se ressaisir, il est peu probable que pareille opportunité se représente. Les relais que sont l’immense réseau de nos divers loges entrera alors en action localement pour proposer des solutions au cœur de la grande crise et en arrêter la douleur .Nos loges entraineront ainsi la reconnaissance de la majorité dupée. Nos représentants deviendront ainsi de futurs élus locaux potentiels en récompense de leur action salvatrice. Ce que cachent les Loges : Pour quelle raison avons-nous été conduits à imaginer notre plan et à l’implanter au sein du peuple ? Nous le leur avons inculqué sans lui en laisser comprendre le sens intime. Qu’est-ce qui nous a poussés à adopter une telle ligne de conduite, sinon ce fait que, notre groupe étant infiniment minoritaire, nous ne pouvions atteindre notre objet par des moyens directs, mais seulement par des moyens détournés.Telle fut la cause réelle de notre infiltration de la Maçonnerie et autres loges rosicrucienne, templières, siciliennes, chinoises ou japonaises, dont ces pourceaux de gens n’ont pas approfondi le sens, ni même soupçonné le but. Ils sont attirés dans la multitude de nos ordres qui sont là uniquement pour jeter de la poudre aux yeux derrière la vitrine honorable de quelques bonnes œuvres. Le plan sera déjà mis en application que les vénérables membres des Ordres n’auront toujours pas encore compris de quoi il s’agit et comment nous les utilisons à leur insu. C’est cette force du très petit nombre, que nous sommes, qui a fait notre force depuis la Genèse et vis-à-vis du bétail qui nous doit la vie. Ne sommes-nous pas, nous, les gardiens responsables de cette sphère devenue nôtre par notre seul courage NEUVIÈME PROTOCOLE Les livres et les journaux : Quel est actuellement le rôle joué par les livres et les journaux ? Ils servent à déchaîner sur les peuples les plus violentes passions, ou, quelquefois, des luttes égoïstes de partis qui peuvent être nécessaires à nos desseins. Ils sont souvent creux, injuste, faux, et sans intérêt culturels. Nous les mettrons sous le joug et les conduirons avec des rênes solides ; nous devrons également nous assurer le contrôle de toutes les formes de publications. Il ne serait d’aucune utilité pour nous de contrôler la presse si nous restions exposés aux attaques des livres. Nous ferons du produit de la publicité, actuellement si coûteuse, une ressource avantageuse pour notre gouvernement, en introduisant un droit de timbre spécial et en contraignant les éditeurs et les imprimeurs à nous verser une caution afin de garantir notre gouvernement contre toutes espèces d’attaques de la part de la presse et des livres. En cas d’attaque, nous répondrions de tous côtés par des procès. Ces mesures seront une importante source de revenus. Certainement, des organes de partis ne regarderont pas à payer de fortes amendes, mais, après une seconde attaque sérieuse contre nous, nous les supprimerons totalement. Nul ne pourra impunément toucher au prestige de notre infaillibilité politique. Pour interdire une publication, nous trouverons le prétexte suivant : - la publication qui vient d’être supprimée excitait, dirons-nous, l’opinion publique, sans aucune raison ou aucun fondement. Je vous prie de bien remarquer que, parmi les publications agressives, se trouveront celles qui auront été créées par nous dans ce dessein ; mais ces dernières n’attaqueront notre politique que sur les points où nous nous serons proposé un changement. La censure permanente : Aucune information n’atteindra la société sans passer par notre contrôle. Ceci est déjà pour nous un point acquis par le fait que toutes les nouvelles sont reçues de toutes les parties du monde par un petit nombre d’agences de presses qui les centralisent. Lorsque nous serons arrivés au pouvoir, ces agences nous appartiendront entièrement et ne publieront que les nouvelles qu’il nous plaira de laisser paraître. Si, dans les conditions actuelles, nous avons réussi à obtenir, sur la société, un contrôle tel qu’elle n’entrevoie les affaires du monde qu’à travers des lunettes colorées que nous lui avons mises devant les yeux ; si, dès maintenant, aucune barrière ne peut nous empêcher de pénétrer les secrets d’État, ainsi que les nomme la masse populaire, quelle ne sera pas notre situation, lorsque nous serons officiellement reconnus comme les dirigeants du monde, dans la personne de notre Empereur mondial ? Celui qui voudra devenir éditeur, libraire ou imprimeur et producteur devra obtenir un certificat et une licence qui, en cas de désobéissance, lui seraient retirés. Les canaux par lesquels la pensée humaine trouve son expression seront mis entre les mains de notre gouvernement, qui les utilisera comme organe éducateur et qui empêchera ainsi le public d’être dérouté par le « progrès décadent» et par le libéralisme utopique. Nous ne permettrons pas à la presse de faire aucun compte rendu d’affaires criminelles ; il faut que le peuple pense que le nouveau régime est si satisfaisant que le crime même n’existe plus. Là où le crime sera commis, il ne devra être connu que de la victime et de ceux qui, par hasard, en auront été les témoins, mais de ceux-là seuls. Notre gouvernement neutralisera la mauvaise influence de la presse indépendante, et nous acquerrons un empire énorme sur l’esprit humain. Si nous permettons dix périodiques privés, nous en lancerons trente nous-mêmes, et ainsi de suite. Mais le public ne doit pas avoir de ces mesures le plus léger soupçon ; aussi, les périodiques par nous publiés devront paraître de vues et d’opinions contradictoires, inspirant ainsi confiance et présentant une forme attrayante à nos ennemis sans défiance, qui tomberont de la sorte dans notre piège et seront désarmés. Au premier rang, nous placerons la presse officielle. Elle veillera constamment à la défense de nos intérêts, et, par suite, son influence sur le public sera relativement insignifiante. Au second rang, nous placerons la presse semi-officielle, dont le devoir sera d’attirer les tièdes et les indifférents. Au troisième rang, nous placerons la presse qui se donnera l’air de nous faire opposition et qui, dans l’une de ses publications, semblera notre adversaire. Nos véritables ennemis croiront à la sincérité de cette opposition et nous laisseront voir leurs cartes. Distraire pour mieux tromper : Pour les empêcher de se découvrir une nouvelle ligne de conduite en politique, nous distrairons la masse par toutes sortes de divertissements nouveaux: Nous allons bientôt lancer des annonces invitant le peuple à prendre part à des concours de tout genre : artistiques, sportifs, loterie. Ces nouveaux divertissements distrairont définitivement l’esprit public des questions qui pourraient nous mettre en conflit avec la populace. Comme le peuple perdra graduellement le don de penser par lui-même, il hurlera avec nous, pour cette raison bien simple que nous serons les seuls membres de la société à même d’avancer des idées nouvelles. Ces voies inconnues seront ouvertes à la pensée par des intermédiaires qu’on ne pourra soupçonner être des nôtres. Massacres pour la cause : Combien clairvoyants étaient nos anciens Sages lorsqu’ils nous disaient que, pour atteindre un but réellement grand, nous ne devions pas nous arrêter devant les moyens, ni compter le nombre des victimes devant être sacrifiées à la réalisation de la cause ! Nous n’avons ainsi jamais compté les victimes du bétail humain, et, bien que nous ayons dû sacrifier un assez grand nombre des gens de notre ordre, nous allons donner au final à notre planète une situation telle qu’elle ne l’eût jamais rêvée. Un nombre relativement restreint de victimes de notre côté et bien sûr considérable du côté du bétail a sauvé la planète entière dune destruction certaine. Tout homme doit inévitablement finir par la mort. Il vaut mieux hâter cette fin pour ceux qui entravent le progrès de notre cause, plutôt que pour ceux qui la font avancer. Nous mettons discrètement à mort les curieux de telle manière que nul, en dehors de notre Fraternité, n’en peut avoir le moindre soupçon. Les victimes elles-mêmes ne peuvent s’en douter à l’avance. Tous meurent quand il est nécessaire, d’une mort apparemment naturelle. Connaissant ces faits, notre fidèle Fraternité n’ose protester contre ces exécutions bien nécessaires. Par ces moyens, nous avons coupé à sa racine toute protestation contre nos ordres. Nous prêchons le libéralisme aux gens, mais, d’autre part, nous tenons notre propre nation dans une entière sujétion. La supériorité légitime de la caste des gérants planétaires : Le cerveau de lhomme ordinaire étant de nature bestiale, il est incapable d’analyser et d’observer finement une situation et de prévoir les conséquences que peut avoir un cas présenté sous un certain jour. Ils ne font que voir les faits, mais ne les prévoient pas, et sont incapables d’inventer quoi que ce soit, à l’exception, peut-être, de choses matérielles. De tout cela, il ressort clairement que la nature elle-même nous a destinés à conduire et à gouverner le monde. C’est, précisément, dans cette différence d’origine entre les gens et nous-mêmes que nous pouvons aisément voir le signe de notre nature surhumaine dont lorigine est bien antérieure et biologiquement supérieure à celle de lhomme. Nos plans secrets : Dans tout ce que je vous ai dit jusqu’ici, j’ai cherché à vous faire un tableau exact du mystère des événements actuels et de ceux du passé .Nous en verrons le résultat dans un avenir prochain. Je vous ai montré nos plans secrets mis à exécution dans nos rapports avec le peuple, puis notre politique financière. Je n’ai plus que quelques mots à ajouter. La richesse de toute la planète est entre nos mains : La plus grande force des temps présents est concentrée entre nos mains. En deux jours, nous pouvons faire sortir de nos trésors secrets n’importe quelle somme même la plus astronomique puisque nous créons nous-mêmes les monnaies et les crédits à travers toutes les banques centrales qui nous appartiennent .Est-il nécessaire, après cela, de prouver que notre gouvernement est voulu par le créateur ? Est-il admissible qu’avec d’aussi vastes richesses nous ne soyons pas capables de faire triompher notre vraie cause pour le bien, c’est-à-dire pour la restauration de l’ordre sous notre Gouvernement mondial qui est encore occulte mais brillera bientôt au grand jour ? Peut-être faudra-t-il employer encore une fois la violence dune autre guerre, mais cet ordre sera définitivement établi. Lavènement du nouveau ROI PLANÉTAIRE : Nous prouverons que nous sommes en fin de compte les bienfaiteurs qui avons rendu au monde torturé la paix et la sécurité perdues. Nous donnerons au monde l’occasion de goûter cette paix et cette liberté, comme nous les avions déjà données en Eden après notre arrivée sur cette belle planète. Mais nous y mettrons une condition expresse : celle d’adhérer strictement à nos lois, car elles sont celles de nos dieux .Notre domination sera glorieuse parce qu’elle sera forte et qu’elle gouvernera et guidera, sans se mettre à la remorque des chefs de la populace imparfaite ou de poètes délirants, quels qu’ils soient, clamant des paroles insensées qu’ils appellent de grands principes et qui ne sont, en réalité, que des utopies. Notre puissance sera l’organisatrice de l’ordre, principe du bonheur public. Le prestige de cette puissance attirera envers le futur ROI PLANÉTAIRE une adoration mystique, en même temps que l’assujettissement de toutes les nations restantes. Une vraie puissance ne doit céder devant aucune faiblesse. Personne n’osera s’en approcher avec l’intention de la diminuer, ne fût-ce que d’un fil, tellement cette idée engendrerait de peur. Fin des extraits choisis. Il existe d’autres protocoles, jusqu’à plus de vingt…………………… la-grande-revelation/les-vrais-faux-protocoles-de-sion-a1797428
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 19:06:32 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015