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[La divulgation des conversations INBOX,un acte de cybercriminalité en notre sein dénoncé par Le camarade Tchedjougou Ouattara .A lire et faire lire] RESISTANCE CYBERACTIVISTE : Attention ! De plain-pied dans la cybercriminalité ! Je m’apprêtais à publier ma réflexion promise sur l’art du positionnement en politique, lorsque le devoir m’astreint à prévenir les uns et les autres sur l’émergence, dans le milieu des résistants cyber activistes, de dérives manifestement délictueuses, ce, afin que nul n’en ignore. Car, la bible déclare que « Faute de connaissances, mon peuple périt ». En d’autres termes, on peut pécher, de bonne foi, par ignorance. En effet, s’il est admis que l’évocation de la cybercriminalité oriente de facto tous les regards vers les bandes des cybers escrocs, il importe de relever que les manquements délictueux liés au moyen de l’internet ne se limitent pas à cette pratique des brouteurs. Et pour cause ! Il m’a été donné d’être témoin de la perpétration d’infractions répétitives à la loi pénale, par certains d’entre nous, cette semaine même. En effet, un résistant facebooker très célèbre parmi nous, m’adressa un message IN BOX pour m’entendre dire que j’aurais dit de méchantes choses à son encontre auprès d’un ami commun à nous, donc IN BOX. Mais finalement, les écrits auraient été mis à sa disposition par le destinataire avec lequel ou avec laquelle il serait aussi ami (e). Aussi le frère se sentait-il en droit de me soumettre à un interrogatoire serré, en vue de la vérification des propos à moi imputés. Après avoir été amusé par une telle entreprise, comme pour imiter Jesus à la Croix qui prononça « Pardonne-leur Seigneur, ils ne savent pas ce qu’ils font.. », je renvoyai tout simplement mon interlocuteur à sa copie quant à ce qu’il est manifestement dangereux pour lui-même, de tenter de tenter de faire reconnaître un droit sur la base d’un non droit. A part ces deux cas dont j’ai eu personnellement connaissance, il m’est aussi revenu que cette pratique est devenue un jeu en notre sein, en ce que c’est quotidiennement que plusieurs s’amuseraient à transférer malicieusement, et sans le consentement préalable de l’émetteur, des échanges IN BOX qu’ils ont avec certains amis. Alors que je réfléchissais sur le mécanisme approprié au titre de ma modeste part contributive au profit des uns et des autres à appréhender le caractère hautement délictueux des aveux de ce type, un autre combattant, connu de tous, le frère FIER IVOIRIEN m’informait également avoir été victime de cette pratique de la part d’un élément de la même écurie. Dès l’abord, à titre de compassion, je rétorquai au combattant FIER IVOIRIEN : « vois-tu maintenant en quoi, et, pourquoi l’intellectualisme ambiant est indiscutablement relatif… » ? Mais, chers amis combattants, en quoi s’analyse le caractère délictueux de la violation des échanges en IN BOX ? Il est de notoriété publique que lorsqu’on veut faire un post quelconque ou un commentaire subséquent, on le fait à l’intention de tous. Dès lors, en quoi s’analysent les échanges IN BOX ? DE LA NATURE JURIDIQUE DES ECHANGES EN IN BOX : Au plan factuel et moral, nul facebooker ne peut valablement nier que lorsqu’on choisit délibérément d’échanger avec un ami facebooker IN BOX, c’est qu’on entend parler des choses dont on n’a pas envie qu’elles soient évoquées sur la place publique. Dès lors, non seulement que du point de vue du droit, ces échanges IN BOX tiennent valablement lieu de vraies correspondances, mais mieux, leur caractère strictement privé est hors de débat ; A l’aune de ce qui précède, et en dehors du caractère immoral de l’action, n’apparaît-il-il pas dangereux pour cette catégorie de face bookers, parmi nous, de s’estimer en droit, de confesser impunément la violation de correspondance privée dont ils n’ont jamais été destinataires ? En Côte d’Ivoire toute violation de correspondance tombe sous l’empire des dispositions du code pénal et expose le fautif à une peine privative de liberté allant de 15 jours à 6 mois, assortie d’une amende de 20.000 F à 200.000 francs ; Chers camarades combattants facebookers, ne nous y trompons, être activiste de facebook n’absout personne. En plus des aveux, il est plus aisé de rechercher la responsabilité pénale ou autre d’un facebooker qu’en toute autre matière. DES MOYENS D’ADMINISTRATION DE LA PREUVE DES CRIMES LIES A FACEBOOK Contrairement à ce que certains pouvaient penser, Facebook demeure une personne morale jouissant d’une personnalité juridique que l’on peut attraire devant les instances judiciaires lorsqu’une personne morale ou physique estime que ses droits ont été piétinés par son biais. Pour les besoins de l’administration de la preuve, une simple production du relevé des faits délictueux de la période incriminée, suffira pour constater la réalité ou non de la violation de la correspondance alléguée, et qui demeure le sujet de la présente alerte. Il s’infère de ce qui précède que ce n’est pas parce qu’on est sur facebook qu’on peut s’autoriser n’importe quel comportement, alors surtout que nul n’est censé ignorer la loi. Cette mise en garde à chacun et à tous est d’autant sérieuse qu’il ne peut être contesté l’existence de précédent judiciaire pour crime lié à FACEBOOK à l’encontre d’un des nôtres ayant bâti sa notoriété sur cet instrument du net. Je sais que plusieurs d’entre nous, à l’exception de quelques rares, n’ignorent pas l’existence de cette procédure actuellement pendante devant les tribunaux, et qui n’est pas de nature à ne pas saper gravement, au plan international, le sérieux du boulot que vous les résistants abattent en union de cœur sur FACEBOOK. Des procédures judiciaires naissent tout simplement parce que certains d’entre nous croient que FACEBOOK est un no man’s land. Ils semblent offrir le spectacle d’une course insensée, ne tenant aucun compte des règles de l’art, dans le style de à qui mieux mieux, à l’effet de remporter le grand prix de celui qui aura donné l’information la plus inédite (même s’ils n’en sont pas les vrais auteurs) et avec célérité. Finalement on se retrouve comme dans le cas évoqué, attrait devant les tribunaux pour faits délictueux liés à l’internet. Oui, parce que l’un des medias Camerounais a estimé, à bon droit d’ailleurs, qu’une information émanant de lui, a été relayée, en fraude à ses droits, tout d’abord sur FACEBOOK, et ensuite, reprise par la presse ivoirienne à partir de facebook, ce media a proprement traduit ce camarade là devant les instances judiciaires et la procédure demeure pendante. Ce signal fort semble t-il avoir été perçu ? Loin s’en faut ! C’est pourquoi, une fois encore, ne nous y trompons pas ! Que les affirmations, les attaques politiques tous azimuts ne nous induisent en erreur quant aux cas des particuliers. Sur les infractions qu’on pouvait qualifier de politique, le monde entier sait aujourd’hui que sur les action judiciaires à caractère politique, liées à la Côte d’Ivoire, la Justice, depuis Abidjan à la Haye, vaincue elle aussi comme les victimes de l’impérialisme, se tient dehors, à la fenêtre, pour suivre le déroulement de l’audience que dirigent les vrais criminels, avec pour accusés, les vraies victimes. Dès lors, ne confondons pas tout. Car, si un acte délictueux et dommageable à une personne est posé ici, que chacun soit préparé dans sa tête à y répondre de citoyen à citoyen. Pour ce qui me concerne, si je me suis abstenu volontiers, de mentionner les noms des personnes engagées dans de telles actions, c’est parce que pour moi l’essentiel qui est la libération de la Côte d’Ivoire d’abord, prime tout. Sinon, l’un des suspects se disant résider à Boston aux USA, le mécanisme pour la placer face à sa responsabilité qui a été abondamment abordée ne semble pas être la difficulté majeure. J’observe tout simplement que cette personne m’ayant placé au pied du mur pour voir si je suis un vrai maison, disons, pour s’imprégner des vraies raisons pour lesquelles ce régime dictatorial a fait de ma modeste personne l’une des cibles, emportant tous mes véhicules, pillant tout chez moi, je lui montrerai si j’en suis un bon ou un mauvais. Cependant, l’intérêt de la présente démarche visait à attirer avec instance l’attention de tous les combattants facebookers sur une telle pratique délictueuse : Ce n’est ni légal, ni un droit pour toi, de publier ou de transmettre à qui que ce soit, pour quel que motif que ce soit, les échanges que tu as eus avec un ami commun. Cela peut te conduire au-delà du virtuel FACEBOOK, c’es-à-dire dans une vraie prison. Que nul n’en ignore !
Posted on: Sat, 02 Nov 2013 13:27:40 +0000

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