La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans - TopicsExpress



          

La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, rien n’est tel que Lui et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître MouHammad Al-’Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier MouHammad. Allâh tabâbaraka wa ta^âlâ a donné à Son prophète Ibrâhîm Al-Khalîl ^alayhi s-salâm des miracles éclatants. C’étaient les preuves de son statut de prophète. Parmi eux, il y a la résurrection des oiseaux morts par la volonté de Allâh et Son vouloir. Notre maître Ibrâhîm ^alayhi s-salâm n’a jamais été, à aucune époque dans le doute au sujet de la Toute-Puissance de Allâh ta^âlâ. Depuis son plus jeune âge il a été inspiré et guidé vers le bien et la foi. Lorsque la révélation lui a été descendue, qu’il a reçu sa mission de prophète et que Allâh l’a envoyé en tant que messager pour enseigner aux gens l’Islam, il est parti voir le roi d’un des pays qui s’appelle An-Noumroud, qui était mécréant et niait l’existence de Allâh : il ne reconnaissait pas l’existence de Allâh ta^âlâ. Ibrâhîm ^alayhi s-salâm en débattant avec lui avait dit : ” C’est mon Seigneur qui donne la vie et la mort “. Alors An-Noumroud a dit : ” Moi aussi je donne la vie et je donne la mort “, que Allâh ta^âlâ nous préserve de pareille mécréance. Il libéra alors un homme qui était emprisonné chez lui et qui avait été condamné à mort. Il a dit : ” Voilà, celui-là, je lui ai donné la vie “. Ensuite, il fit tuer un autre homme puis dit : ” Celui-là, je lui est donné la mort “. A ce moment-là, notre maître Ibrâhîm l’a vaincu en lui disant : ” Certes, Allâh fait que le soleil vienne du levant, alors, ramène le soleil du couchant “. C’est alors que celui qui était mécréant n’a plus rien trouvé à dire. Pourtant, An-Noumroud ne s’est pas arrêté à cet événement-là. Il a dit selon ce qui est rapporté: ” A toi de ressusciter les morts ou sinon je te tue “. Ibrâhîm n’a pas eu peur mais, il a voulu montrer à An-Noumroud et à ceux qui étaient avec lui la résurrection des morts, puissent-ils croire en Allâh. Il a invoqué Allâh ta^âlâ et il a dit : ” Seigneur montre-moi comment tu fais revivre les morts “. Cela a coïncidé avec le passage de notre maître Ibrâhîm ^alayhi s-salâm auprès d’une mer. Il trouva le cadavre d’un animal sur la plage. Lorsque la marée était haute, les vagues poussaient le cadavre jusqu’à la terre et les fauves en consommaient. Lorsque les fauves s’en allaient, c’était au tour des oiseaux qui en consommaient. Lorsque la marée était basse, les vagues à nouveau tiraient le cadavre vers la mer et les poissons en consommaient. Ibrâhîm ^alayhi s-salâm invoqua son Seigneur et dit : ” Seigneur, montre-moi comment Tu rassembles les parties de l’animal à partir des ventres des fauves, des oiseaux, des animaux marins pour que cela augmente ma certitude ” . C’est alors que se réalisa un grand miracle qui indique la véracité de ce prophète et qu’il est bien envoyé de la part de Allâh tabâraka wa ta^âlâ. Allâh ^aZZa wa Jall a en effet exaucé l’invocation de Ibrâhîm ^alayhi s-salâm et lui a enseigné comment faire en premier. Tout d’abord, Il lui a ordonné de prendre quatre oiseaux. On dit qu’il a pris un coq rouge, un pigeon blanc, un paon vert, et un corbeau noir qu’il a égorgés et desquels le sang a complètement coulé. Après cela, il les a découpés en petits morceaux et il a mélangé leurs chairs les unes avec les autres avec le sang et les plumes pour que cela soit encore plus étonnant. Puis il a partagé les parties de ce mélange étonnant sur sept montagnes. Il se tint debout de sorte qu’il pouvait voir ces parties. Il a tenu la tête de ces oiseaux dans ses mains et il a dit : ” Venez par la volonté de Allâh ” . C’est alors que ces parties se sont envolées. Ibrâhîm voyait ainsi les plumes voler les unes auprès des autres, le sang se rapprocher de l’autre, les chairs les unes des autres. Les parties se sont regroupées au point que chaque oiseau se tint seul sans tête, pour que cela soit beaucoup plus étonnant pour Ibrâhîm dans la vision qu’il avait demandée. L’âme revint et les oiseaux ont marché vers lui par la Toute-Puissance de Allâh. Chaque oiseau venait prendre sa tête dans la main de Ibrâhîm ^alayhi s-salâm. S’il lui était présenté une autre tête que la sienne il ne l’acceptait pas, et s’il lui était présenté sa tête, il la prenait et elle collait au reste de son corps. Allâh est ^âZiZ, rien ne le vainc et rien de ce qu’Il veut ne peut s’empêcher de se produire. Ensuite, les oiseaux se sont envolés tels qu’ils étaient auparavant. Ils s’étaient envolés à nouveau par la volonté de Allâh, après qu’un grand miracle se soit produit par le prophète Ibrâhîm qui compte parmi les plus éminents des prophètes selon le jugement de Allâh ta^âlâ. Malgré cela, An-Noumroud a refusé de croire : son malheur et son refus ont pris le dessus. Allâh ta^âlâ l’a rabaissé : différentes sortes d’insectes se sont introduits dans sa tête. Sa douleur n’a pas pu se calmer au point qu’on le frappait avec des chaussures et des gifles jusqu’à la mort.
Posted on: Wed, 14 Aug 2013 22:50:42 +0000

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