La menterie pol’tik de Tara Eyéghé Dans le genre foutage de - TopicsExpress



          

La menterie pol’tik de Tara Eyéghé Dans le genre foutage de gueule, Jean Eyéghé Ndong n’a pas son pareil. Profitant des antennes de Gabon Télévision qui l’accueillait dans le cadre de l’émission La Grande Interview (19/9), l’ancien PM n’est pas allé chercher bien loin pour tenter apâter l’électorat des Akébé, qu’on sait acquis à l’vance au PDG et à certains partis de la majorité républicaine pour l’émergence. Pour Tara Eyéghé, en effet, « Libreville n’est pas un corps de garde, Libreville n’appartient à personne mais à tous les Gabonais. Vous savez, je vais vous faire une confidence. Quand Monsieur Jean Boniface Assélé avait voulu briguer la mairie de Libreville, j’avais dit, pourquoi pas. Mais je vais vous dire que j’ai été combattu de la part de certains membres de ma propre communauté. » Donc si on le sit à la trace, Jean Eyéygéh Ndong serait prêt à se retirer au profit de JB Assélé ? Mais c’est vrai que n’ayant toujours évolué qu’en famille, Tara Eyéghé n’a pas oublié que ce JB là est avant tout l’oncle maternelle... de son petitfils Ali Bongo Ondimba ! Tara Eyéghé, ce veinard Un drôle de specimen politique, ce Nza Fe! Agent municipal dès son retour au pays en 1980, il est ensuite aperçu dans les milieux de la Prévoyance sociale où il a occupé les fonctions de directeur général adjoint. Elu député, il fait son entrée au gouvernement au poste de secrétaire d’Etat avant d’y être éjecté sans ménagement. Rongeant son frein au Palais Léon Mba, on disait de lui qu’il était devenu aigri et qu’il ne se gênait pas de critiquer le PDG, accusé par lui de tous les maux dont souffrirait le Gabon. le chantage marche à merveille puisque quelques temps plus tard, il est rappelé au gouvernement mais cette fois, en qalité de ministre délégué chargé de la Privatisation. Une position qui lui permet de briller de mille feux lors de la concession de la SEEG. Une opération «réussie »(sic), qui lui ouvrira par la suite et à la surprise générale, toutes grandes les portes de la primature. C’était du temps où «son fils» Omar présidait aux destinées du pays. Le même Omar sur le cercueil duquel Tara Eyéghé n’hésita pas à déverser sa bile et toute sa haine des Bongo, devant un aréopage d’invités de haut vol, parmi lesquels les présidents français Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. C’était en août 2009. Quatre ans sont passés, avec un Jean Eyéghé ndong prétendument devenu opposant radical (sic), et le voilà qui refait surface en se déclarant candidat au poste de maire de Libreville... après avoir été reçu, la veille, par son petit‐fils Ali Bongo Ondimba qui, entre‐temps, est devenu président de la République. Au quartier, on est de plus en plus convaincu d’une chose: Tara Eyéghé n’évoluera jamais qu’en famille !
Posted on: Sun, 29 Sep 2013 16:08:16 +0000

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