La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie - TopicsExpress



          

La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie - Victor Hugo Illuminations de la Maison de Victor Hugo le soir du 30 novembre 2013 - Chaque 30 novembre, la Maison de Victor Hugo est illuminée par la Ville de Paris dans le cadre de la Journée mondiale des Villes pour la vie/ Villes contre la peine de mort initiée par la Communauté de Sant’Egidio et soutenue par Ensemble contre la peine de mort...Maison de Victor Hugo - 6 place des Vosges - 75004 Paris - standard : 01 42 72 10 16 - La Ville de Paris conserve les deux maisons que Victor Hugo occupa le plus longtemps, l’hôtel de Rohan-Guéménée, à Paris, et Hauteville House à Guernesey. L’hôtel de Rohan-Guéménée devient musée en 1902, grâce à la donation que fait Paul Meurice à la Ville de Paris. L’appartement habité par Victor Hugo de 1832 à 1848, restitue aujourd’hui sa vie au fil des trois périodes déterminantes : avant l’exil, pendant l’exil, depuis l’exil. Le musée présente deux expositions temporaires par an mettant en valeur les oeuvres des collections et du dessinateur visionnaire que fut aussi Victor Hugo. Hauteville House fut achetée en 1856 grâce au succès des Contemplations, et donnée à la Ville de Paris en 1927 par les descendants de Victor Hugo.Victor Hugo était né le 26 février 1802 à Besançon et mourut le 22 mai 1885 à Paris, cétait un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du xixe siècle....Le roman de Victor Hugo, Le Dernier Jour dun condamné (1829) et Claude Gueux en 1834 engagent une réflexion directement sociale, mais ils ne sont pas plus aisés et à défini également un grand retentissement......La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie....Discours à l’Assemblée constituante, 15 septembre 1848...Victor Hugo saisira toutes les tribunes pour défendre labolition de la peine de mort, comme dans son discours du 15 septembre 1848. « [...] Messieurs, il y a trois choses qui sont à Dieu et qui nappartiennent pas à lhomme : lirrévocable, lirréparable, lindissoluble. Malheur à lhomme sil les introduit dans ses lois. Tôt ou tard elles font plier la société sous leurs poids, elles dérangent léquilibre nécessaire des lois et des mœurs, elles ôtent à la justice humaine ses proportions ; et alors il arrive ceci, réfléchissez-y, messieurs, que la loi épouvante la conscience [...] »
Posted on: Sat, 30 Nov 2013 20:38:58 +0000

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