La population juive en France est constituée par des vagues - TopicsExpress



          

La population juive en France est constituée par des vagues d’immigration successives et par leurs descendants. La Révolution Française a émancipé (1790-1791) environ 40.000 Juifs; cependant en 1866, 89.000 Juifs vivaient en France. A cette époque, les principales sources de l’immigration juive étaient les Lander allemands. En 1870, l’Alsace et une partie de la Lorraine où habitait alors la majorité des Juifs français ont été annexées par l’Allemagne. Des Juifs alsaciens et lorrains rejoignent certes la France “de l’intérieur” mais le recensement de la population française de 1872 - le dernier qui enregistre dans l’hexagone l’affiliation confessionnelle - comptait seulement 49.000 Juifs. Toutefois la population juive augmente rapidement : on l’estime vers 1900 à 71.000 personnes, en 1919/1920, après le retour de l’Alsace-Lorraine à 150.000 et en 1940 à 250.000 à 320.000 personnes dont les deux tiers étaient des immigrés plus ou moins récents. Entre 1870 et 1914, l’immigration juive était surtout originaire de Russie, de Pologne, d’Autriche-Hongrie, de Roumanie. Entre les deux guerres, 70.000 Juifs sont arrivés en France. Cette immigration était ashkénaze. Mais à la même époque 15.000 Juifs séfarades nés dans Afrique du Nord s’installent également en France. Après la prise du pouvoir par Hitler en 1933, environ 50.000 juifs allemands puis autrichiens et tchèques ont cherché refuge en France. Avant l’invasion allemande, on estimait à 300.000 le nombre de Juifs, toutes nationalités confondues, vivant en France. Pendant la deuxième guerre mondiale, 76.000 Juifs ont été déportés de France. 2.500 sont revenus. A ces victimes il faut ajouter les morts de la guerre. Au total, 80.000 à 90.000, Juifs de France ont péri entre 1940 et 1944. Aussi, à la fin de la Deuxième guerre mondiale, on estime à environ 180.000 à 200.000 le nombre de Juifs en France. Dès 1945, l’immigration juive reprend: pendant la première décennie après la guerre, arrivent des détenus des camps de concentration et des personnes dites “déplacées” qui fuient l’Europe orientale et centrale où leurs communautés ont été détruites ainsi que la prise du pouvoir par les communistes dans les pays d’Europe de l’Est. Entre 1955 et 1965, on assiste à l’arrivée massive des Juifs d’Afrique du Nord à la suite de la décolonisation de la Tunisie, du Maroc et de l’Algérie. De plus, après la création de l’Etat d’Israël (1948) et après l’expédition israélo-franco-britannique de Suez (1956) arrivent des Juifs d’Egypte. Pendant cette décennie (1955-1965), la France a été le principal pays d’accueil d’immigrants juifs de la diaspora. Sa population juive a doublé passant à environ 500.000 personnes, niveau qu’elle conserve jusque dans les années 1980/90. Grâce aux naturalisations et à l’acquisition de la nationalité par le droit du sol, au moins 95% des Juifs de France sont aujourd’hui des citoyens français. “Je considère que le lobby juif, pas seulement en ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes, et je tiens à le dire publiquement.” – Raymond Barre, Interview sur France Culture (Février 2006) Dans la vision du monde des Juifs, le goy (goyim au pluriel) est le non-juif. Il est considéré comme une bête. D’après même Le Talmud, de loin le plus influant des textes sacrés du judaïsme, il vaut moins qu’un chien. Sa seule vocation est donc de servir son maître Juif sans jamais pouvoir se plaindre. Autrement, il passe pour “raciste”, “antisémite” et les Juifs feront tout pour lui en faire subir les conséquences. En démocratie, l’information est censée être libre et plurielle. En réalité, les médiats importants sont entièrement entre les mains des Juifs, et ce dans pratiquement tous les domaines. Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades, au pire des monstres incarnant le diable. L’antisémitisme serait le mal absolu et, désormais, l’antisémite c’est celui que les Juifs n’aiment pas. J.-P. Elkabbach, Serge Moati, Jérôme Clément/Lehmann, Michel et Marie Drucker, Michel Polac, Alexandre Adler, Rotman, Paul Nahon, Bernard Benyamin, Patrick “de Carolis”, Ivan Levaï, Paul Amar, Kravetz, Emmanuel Chain, Morandini, Arthur, Anne Sinclair, Beatrice Schönberg, Daniel Schneidermann, Michel Field, Pinto, Kieffer, Nakad, Mano, Namias, Hulot, Allal, Fogiel, Galzi, Abitbol, Laurent Weil, Cymes, Beigbeder, Elkrief, Collaro, Gérard Miller, Benjamin Castaldi, Daniela Lumbroso, Dominique Farrugia, Serge Adda, etc. Autant de noms de responsables et animateurs juifs de la télévision (et/ou de la radio) qui déterminent le choix des programmes et leur mode de présentation. Les membres d’un réseau virtuel qui, par-delà les particularités ou même de sourdes rivalités internes participent à une même dynamique au profit d’un objectif commun. A France Culture, Laure Adler et ensuite David Kessler veillent sur les intérêts d’Israël et de la “communauté”. A France-Inter et RFI, c’est Gilles Schneider. A Europe 1, c’est J.Abergel. Et il en est de même si l’on se tourne vers la presse “libre et démocratique” : L’Évènement du Jeudi(disparu en 2000), de Georges-Marc Benhamou et d’Annette Kahn, Marianne, de J-F. Kahn ; Le Nouvel Observateurde Jean Bensaïd dit Jean Daniel ; L’Express, de Servan-Schreiber à Denis Jeambar ; VSD, fondé par Maurice Siegel ; Télérama de Marc Jézégabel et Cie ; Courrier international d’Alexandre Adler puis de Bernard Kapp, Libération de Serge July et des Rothschild. Le plus gros actionnaire du journal Le Monde est Alain de Gunzburg, gendre du milliardaire Edgar Bronfman (N°1 mondial de l’alcool et pdt du Congrès juif mondial). Son principal “surveillant” en est Alain Minc. Le groupe Socpresse de Serge Dassault (Bloch, dit), dit contrôle Le Figaro (où sévit également Alain-Gérard Slama), Spectacle du Monde, Valeurs actuelles, L’Expansion, TV Magazine et plusieurs journaux régionaux (La Voix du Nord, Le Progrès de Lyon, Le Dauphiné libéré, etc.). On peut aussi citer Paris-Match d’Alain Genestar, Lire de Pierre Assouline. Le Nouvel Economiste de Jacques Abergel. Le Point de Franz-Olivier Giesbert. Les Echos des Servan-Schreiber et d’Erik Izraelewicz. Côté livres, les Editions du Seuil du groupe La Martinière (détenu principalement par les frères Wertheimer), Odile Jacob, tout comme Calmann-Levy, La Découverte (ex-Maspero), les Editions de Minuit, Nathan ou Denoël d’Olivier Rubinstein sont également juives. Ce ne sont là que quelques exemples, parmi une multitude d’autres. En moyenne, un quart à un tiers des nouvelles parutions disponibles en librairie, en particulier pour les essais et les études socio-politiques sont signés par des auteurs juifs. Visiblement, en France, il faut bien plus que du talent pour réussir à se faire éditer !
Posted on: Wed, 28 Aug 2013 08:16:30 +0000

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