Le Commandant Olivier AMAH attendra le 5 Juillet. L’ex Chef d’escadron de la Gendarmerie nationale, Olivier AMAH interpellé pour avoir appeler l’armée à la révolte et à « faire comme en 1966 », était ce jour devant la Chambre d’accusation de la Cour d’Appel de Lomé. Devant les juges, ses avocats ont plaidé pour sa mise en liberté provisoire ou, à défaut, son transfèrement de Mango où il est détenu, vers la prison civile de Lomé. Les magistrats ont mis l’affaire en délibéré jusqu’au 5 juillet. Aujourd’hui à la tête de l’ASVITO (Association des Victimes de Torture) membre du Collectif Sauvons le Togo (CST), monsieur AMAH avait déjà connu la prison dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat où il fut condamné pour complicité. Libéré après le procès, il s’est engagé aux côtés d’autres organisations et partis politiques regroupés au sein du CST qui s’oppose au pouvoir en place.Un autre membre de ce Collectif, monsieur Abass KABOUA qui était également devant les juges pour demander sa mise en liberté provisoire, a vu sa requête rejetée tout comme celle réclamant son transfert de Notsé où il est en détention, vers Lomé. Le Président du MRC (Mouvement des Républicains Centristes) est pour sa part inculpé dans le cadre des incendies criminels des marchés de Lomé et de Kara. Source : | Focus Info
Posted on: Wed, 03 Jul 2013 20:07:50 +0000
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