Le Directeur Général Adjoint de la police centrafricaine, le - TopicsExpress



          

Le Directeur Général Adjoint de la police centrafricaine, le Général Adoum Rakis met sous les verrous deux porteurs illégaux d’armes de guerre Les opérations de désarmement se poursuivent. Elles sont pratiquement à la fin de leur deuxième phase et selon le secrétaire général permanent du Conseil national de sécurité, une troisième phase serait envisageable si la deuxième phase ne donne pas les résultats escomptés. C’est vers quoi nous tendons présentement avec les «couacs» que connaissent ces opérations. De son côté, la police avec son D.G.A, Adoum Rakis ne croise pas les bras. La République centrafricaine en général et Bangui particulièrement n’a plus de poudrière depuis le 24 mars 2013. La population civile, les militaires et les ex-éléments de la Séléka constituent chacun en ce qui le concerne ses propres poudrières. C’est une réalité aussi vraie. C’est dans cette optique, que la police est obligée de s’investir dans les opérations de désarmement en sus la FOMAC. Les éléments de la FOMAC sont à la phase de désarmement dite forcée ; mais le résultat est toujours mitigé. Est-ce la troisième phase qui sera celle qui permettra de ramasser la quasi-totalité des armes qui circulent dans la ville? Cela est moins sûr! Nous voulons pour preuve, les armes que le DGA de la police centrafricaine, le Général Adoum Rakis est en train de ramasser. La population est étonnée de voir la FOMAC s’intéresser rien qu’aux domiciles des ex-Séléka, surtout des hauts gradés sans tenir compte de la population civile et des éléments des forces de défense et de sécurité notamment les ex-GP dont certains disposent encore des armes. Somme toute, nous osons croire pour notre part que la FOMAC doit s’investir davantage sur les autres pistes que de se focaliser sur les barons de l’ex-Séléka. Pour preuve, deux détenteurs illégaux d’armes de guerre interpellés par le Directeur général adjoint de la police, Général Adoum Rakis croupissent dans les locaux de l’OCRB centrale depuis quelques jours. Des faits : un élément des forces de défense et de sécurité de l’ex-RDOT, devenu BIT était allé rendre visite à ses parents au pont Sò. Reconnu comme tel, il a été mis en joue par des personnes armées. S’étant tiré d’affaire, il met la police en mouvement. C’est ainsi que le D.G.A de la police centrafricaine, Général Adoum Rakis et le Commandant Mahamat Ibrahim, accompagnés des policiers se sont rendus sur les lieux. Dès leur arrivée, Ils ont constaté un attroupement de jeunes. Ces derniers étaient encerclés et deux d’entre eux étaient appréhendés. Ayant pris peur, ils demandaient aux policiers de ne pas les brutaliser car ils savent où se trouvent des armes. C’est ainsi qu’ils avaient fait venir ces derniers chez eux, en leur indiquant là où se cachaient ces armes. Il s’agissait d’un fusil de guerre Famas, d’une roquette, des protèges d’obus de mortier et diverses munitions de guerre. Ces armes et munitions de guerre sont déposées au Camp de Roux après qu’elles ont été présentées aux hautes autorités. Concernant les deux jeunes interpellés, ils disent qu’ils sont des civils et prétendent que ces armes appartiennent à un gendarme avec qui, ils ont loué ensemble des appartements. C’est ce dernier qui a enterré ces armes mais quand il les cachait, certaines personnes le voyaient. Comme le désarmement a commencé, son entourage a pris peur et aurait voulu déplacé ces engins de mort mais, malheureusement, ils ont été surpris. Ces armes ont été enfouies sous un bananier dans un grand sac. Il appartient à la FOMAC douvrir les yeux
Posted on: Sun, 10 Nov 2013 20:22:32 +0000

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