Le Petit Edito en perd son Latin Partit, pas à pieds, mais juste - TopicsExpress



          

Le Petit Edito en perd son Latin Partit, pas à pieds, mais juste avec mes mains, pour rédiger le Petit Edito, afin que comme chaque matin, à jouer le petit futé, car à malin, malin et demi, je fasse sourire mes Amis décomplexés, car il reste vrai que là où il y a de la gène il n’y a pas de plaisir. Les mots, pêlemêle, à la pelle et tout emmêlés, devinrent confus, inversement aux écrits de Confucius, quoique. Comme un avion sans aile, ou sur un bateau sans moteur, j’ai du ramer dans l’espoir de les réaccorder. N’étant point pianiste, ni guitariste, ni virtuose de l’arpège en général, donc n’ayant pas de corde ni de crin à mon archet, d’accords, mais pas ceux d’Evian ni d’aucune eau de source d’ailleurs, en désaccords, j’ai du piocher dans le talon de mes neurones, du moins l’un des deux, et pas des Dieux car le talon n’était pas celui d’Achille, pour retrouver le sens de mes rimes. Ces dernières virevoltaient, tournoyaient et me donnaient plus l’impression d’être dans un sens giratoire et sur une voie sans issue que sur la voie royale de Ségolène et de sa bravitude. Je pris donc parti, de droite à gauche, de prendre la plume de mon canard d’une page, afin d’y semer, ça et là, quelques graines d’idées, dans l’intime espoir d’y voir fleurir dans leurs sillons, le début de ma chronique. Chronique que nique, pas ta mère elle n’y est pour rien, les mots collés les uns aux autres en mot à mot, ne voulaient rien dire, ils se taisaient, pas un son, pas un gros mot. Ma tête, mon cerveau, tout n’était que maux à tant mots écrire pour ne rien dire. La blancheur de ma feuille me fit alors blêmir, car mes amis ne pourraient pas lire, comme un cachet d’aspirine sans eau, l’effervescence de ma satire, même dans les coins, matinale. J’étais mal à l’aise, proche du malaise, et pas du malaisien car j’étais à Madagascar, peur que ma pomme tombe dedans, et même sans sauna j’eus des vapeurs. Aurais-je attrapé quelques maladies de Noms Allemand, ou de vraies d’ailleurs. Pas de tremblement ni de séisme, je me souviens de mon adresse, quand bien même que je sois maladroit. Ouf ! L’Allemagne ne m’a pas occupé, du moins pas encore, avec la crise on ne sait jamais. Etait-ce donc juste une absence, pourtant j’étais bien là, et las aussi, même si j’étais seul, donc bien accompagné. Je me suis donc dit, emprunt de schizophrénie ou de dédoublement de ma personnalité, tu as voulu faire un Edito journalier ou en CDI, il va te falloir prendre un nègre, sur Madagascar ceci ne doit pas être si dur à trouver, du moins, moins dur que de l’Ebène, qui par la noirceur de la déforestation assombris les recherches ! Cette phrase m’illumina de sa clarté ! Un peu aveuglé, je suis presbyte, mais pas Homo, de tant d’éclats luminescent, j’entrevu la lumière, comme l’aurait dit les Blues Brother…. J’avais peur de la page vierge, bien que la connaissant, elle n’était pas si pure que cela, sans être une fille de joies, même si je rigolais bien avec elle ! Allez Bonne Journée à tous « Se donner du mal pour de petites choses, c’est parvenir à de grandes avec le temps » Samuel Beckett
Posted on: Fri, 30 Aug 2013 06:06:36 +0000

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