Le pouêt de La République qui appelle Il se dit qu’il n’y a, en ce curieux royaume, Aucune forme abjecte d’ignoble hypocrisie. Nul n’y croit, et pourtant, bonnes pommes ; La fausseté s’implante en La … Démocratie. Aux temps d’autrefois, ceux précédant nivôse, Par la foi du serment dit du jeu de paume ; Le Peuple, s’ébrouant en un combat épique, Mit en son sein, le gros mot : République. Chantant à bas le roi, la cour, les privilèges, Il voulut que son joug n’aille plus en calèches ; Et prenant pour repère, le droit à Liberté Il mit, en protocole, pour tous, l’Egalité. … La Nation, pour chacun, devenait fraternelle. Tout un avait l’espoir d’une juste carrière. La politique ouvrait aux valeurs les plus nobles, Où sages et amuseurs avaient place et rôle Hélas !..., assurément, par diverses manières, D’aucuns s’arrogèrent leurs pleines immunités, Tandis que d’autres s’en voyaient dépouillé Et contraint au devoir, appelé …de réserve. Depuis, le citoyen, n’osant hausser le ton Par crainte du censeur, ou d’encore bien pis Tenu à la gorge par ‘sa’ démocratie, … Agrée, à l’élection, à n’être plus qu’un pion. Ainsi, le Roi des cons, séant sur le grand trône, Entouré d’une cour qui toujours postillonne Emmène ce Pays droit vers la catastrophe Autant par cécité, qu’à m’accorder la strophe. La bonté de ce Roi, à son sourire égale M’étonnera toujours, de ce qu’elle régale Par ci, par là, l’argent qu’elle n’a point gagné. Le serf n’y ayant miette, et toujours à payer. Le 21 07 13. Adrien
Posted on: Sun, 21 Jul 2013 05:29:32 +0000
Trending Topics
Recently Viewed Topics
© 2015