" Le printemps des larmes" Poème XXXXXVIII Dans une main Dans - TopicsExpress



          

" Le printemps des larmes" Poème XXXXXVIII Dans une main Dans une main, tel tenait une pertuisane, et il exprimait cette attitude partisane, celle de celui qui savait aller en guerre, pour y défendre une cause en cette terre. Dans l’autre main, tel tenait une dague un symbole pour un mandat qu’on brigue, pas en une réelle loi qu’on saura dire, qu’autre liberté qu’on viendrait interdire. Pour valeur, ni l’une, l’autre n’était congrue, qu’autre, en telle raison qu’il n’a pas crue, qu’ainsi, on vint à désigner d’agitateur, celui qui, d’opinion, se montrait un orateur. Se réclamer d’une existence bienveillante, il entendait partager une pensée pétillante, telle qui ne paraîtra pas ampoulée, si ce n’est d’affirmer une vérité refoulée. Tel peu pour lequel il saurait se manifester, est du semblable sur ce qu’on irait pester, lorsqu’on est tel que rien ne peut altérer, autant celui qui n’endure pas une colère. Pas un tort, ne pas être un vilain profane, en l’instant qui provoque une chicane, qu’à la place du cœur, pas une pierre, il devient le lieu où toute peine s’enterre. Qu’on naisse, jamais on n’apporte l’intrigue, on ne porte même pas l’idée d’une langue, tel temps qui encore prévient à instruire, pour tout mystérieux qui viendrait le nuire. En tel instant décisif d’où on apprend la rue, S’exercer à la traverser, en fait une recrue, qu’enfin on arrive à distinguer le prédateur, qui serait pourtant semblable à tel vaticinateur. A cela il s’essaye à une expression vaillante, lorsque telle condition fut bien éveillante, d’une indigence dont on aurait reculée, par la conséquence qui en serait découlée. Et la tuer, que de cela, il put en consister, de fait, en la réalité où il entendait rester, tel humain qui ne peut emporter une ère, ce temps qui ne redresse pas une frontière.
Posted on: Wed, 25 Sep 2013 22:40:44 +0000

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