Les forces de l’ordre doivent considérer comme normal l’attention que des citoyens ou des groupes de citoyens peuvent porter à leur mode d’action (…) Le fait d’être photographié ou filmé dans leur intervention ne peut constituer aucune gêne pour des policiers soucieux des règles déontologiques. L’argument de la vie privée ou du droit à l’image ne tient pas face au droit de contrôle démocratique (ce que l’on appelle la fonction de chien de garde) de la presse dans une société démocratique. On précisera que cela pourra être invoqué aussi bien pour les journalistes que par toute personne remplissant un tel rôle. Olivier Stein, avocat. Voilà. Jespère que cest clair, maintenant !
Posted on: Sat, 30 Nov 2013 16:02:11 +0000