Les temps sont tellement dures pour la soi-disant opposition syrienne qu’elle ne sait plus ce qu’elle dit, fait, voit, constate. C’est la bérézina totale. On se souvient qu’elle n’a jamais voulu négocier dès le départ parce qu’elle n’existait finalement pas. Elle faisait la volonté de l’Occident qui croyait pouvoir gagner Damas et chasser le président Bachar al-Assad au bout d’un mois. Hélas, le calcul s’est avéré faux. Sentant aujourd’hui le vent tourner, n’ayant pas/plus la possibilité de négocier en force, elle se perd en conjectures.
Posted on: Wed, 05 Jun 2013 01:01:43 +0000