Lidée de son unicité nétait plus un a priori métaphysique - TopicsExpress



          

Lidée de son unicité nétait plus un a priori métaphysique puisé dans ce quAlbertine avait dindividuel, mais un a posteriori constitué par limbrication contingente et indissoluble de mes souvenirs. Nous souffrons tous du trop peu de respect de la personnalité en nous. On a violemment détourné delle notre penser pour loffrir en sacrifice à lEtat, à la science, à celui qui a besoin daide. Nous sommes libres quand nos actes émanent de notre personnalité entière, quand ils lexpriment, quand ils ont avec elle cette indéfinissable ressemblance quon trouve parfois entre loeuvre et lartiste. Sans légoïsme, les gens sont incolores. Ils manquent de personnalité. Notre moi est fait de la superposition de nos états successifs. Mais cette superposition nest pas immuable (...). Perpétuellement des soulèvements font affleurer à la surface des couches anciennes. Patrick McCandy Lwinda ElRey
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 08:14:44 +0000

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