Louise Harel - Marcel Côté : une alliance - TopicsExpress



          

Louise Harel - Marcel Côté : une alliance contre-nature Montréal, une cité perdue...parJean-Luc Gouin -------------------------------------------------------------------------------- Je suis consterné. M. Marcel Côté est non seulement un Canadian s’opposant depuis toujours à L’ndépendance du Québec, mais chacun de ses « argumentaires » en ce sens, et il en a livré de très nombreux au fil des ans (largement publiés dans les journaux de Gesca-Desmarais-Pratte..., on s’en doute un peu), n’a jamais, mais vraiment jamais dépassé la copie d’un étudiant de Secondaire. C’en est même consternant d’indigence. Dimension économique comprise. J’ajouterais : surtout ! Et je précise d’emblée que je ne tiens pas ce propos sous couvert, ou motif, plus ou moins avoué, que le soussigné, d’évidence, ne partage pas, de manière générale, les opinions politiques ou les orientations idéologiques de cet individu. Au contraire. Pour ma part, j’éprouve une réelle considération pour un adversaire politique intellectuellement honnête et articulé, et qui sait défendre ses thèses avec intelligence (et qui en outre, qualité tout aussi rare, se voit investi d’un véritable respect pour l’intelligence de son auditoire). Cette considération pour la différance constitue, au reste, le fondement même de la Démocratie sans lequel celle-ci n’est qu’un vain mot. Bref, M. Marcel Côté ne possède ni les compétences, ni l’armature intellectuelle, ni l’envergure politique pour occuper les fonctions de maire de la plus importante Cité du Québec (M. Denis Coderre non plus, remarquez ; mais ne nous égarons pas...). Aussi je ne comprends pas du tout que madame Louise Harel, qui incarne tout le contraire de M. Marcel Côté (c’est-à-dire : femme de coeur, d’idéal, de haute compétence, et qui possède un sens indéfectible des intérêts supérieurs du Québec), puisse s’associer — n’ayons pas peur des mots, même s’ils ne font pas le lit de la rectitude politique de notre temps — à un individu aussi médiocre. Il y a des limites, à la fin, à offrir de hautes responsabilités à des citoyens absolument incapables d’en faire quelque chose de sain, de beau et d’utile, au bénéfice des véritables intérêts de la collectivité québécoise. Mais nom de nom ! N’avons-nous pas déjà eu, concitoyens, plus que notre extrême quota d’incompétence, de malversation et de bêtise, depuis plus d’une décennie, avec les Jean Charest, les Gilles Vaillancourt, les Michael Applebaum et autres Arthur Porter...??? Le Québec, un peuple ou un troupeau qui aspire à en finir au plus vite ? Un trou dans la peau ! Et je signe et rechigne, Jean-Luc Gouin, citoyen du pays de Gilles Vigneault, cet éternel jeune battant de la Liberté... qu’il faudrait... cloner à hauteur de 8 millions d’exemplaires (pardon ! Gilles)
Posted on: Wed, 03 Jul 2013 16:21:45 +0000

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