Lumières dans la nuit Une revue Ufologique qui traite des - TopicsExpress



          

Lumières dans la nuit Une revue Ufologique qui traite des phénomènes inexpliqués ! dimanche 9 juin 2013 LDLN 412 Par Blog LDLN le dimanche 9 juin 2013, 21:58 - Nouveau Numéro ! Le premier article de ce numéro 412 fait le point sur les événements du 6 juin 1983, un point qui n’est pas définitif, et qu’il faudra réactualiser en fonction des éléments qui feront surface. Rappelons qu’il s’agit d’un cas flagrant d’OMGD (observations multiples à grande distance), et qu’en conséquence, il n’y a pas lieu de s’interroger sur la réalité des témoignages, mais seulement sur la nature de ce que tant de personnes ont observé ce soir-là, quelques minutes avant 23 heures, dans la région PACA et le Nord de l’Italie (ainsi qu’en région parisienne, à Bordeaux et jusqu’en Sardaigne !). Une thèse a été avancée, en 1987, expliquant les observations de cette soirée par « un bolide ». A première vue, l’idée peut paraître raisonnable, si l’on présuppose que tous les témoins ont vu le même objet, et si l’on ne prend en considération que les récits compatibles avec l’explication avancée ! Mais quand on examine les témoignages dans le détail, on s’aperçoit que cette explication ne tient pas : il aurait fallu que le bolide soit capable de changer de cap (ce qui a été signalé aussi bien en Italie que dans la région du Mont Ventoux), et même qu’il soit capable de suivre une trajectoire en forme de siphon d’évier ! Il aurait fallu, également, qu’il fût muni d’une rangée de hublots, et capable de projeter une traînée lumineuse… vers l’avant ! En outre, des témoins, aussi bien en France qu’en Italie, affirment avoir vu « la » chose à très courte distance, et même « rasant les toits ». On l’aura deviné : cette explication ubuesque n’a pas été proposée, mais présentée comme une évidence, à avaler sans discussion. Tout cela nous rappelle bien des souvenirs (18 juillet 1967, 5 novembre 1990, etc). Jean-Marie Bigorne nous expose ensuite un cas qui remonte au 20 janvier 1974, et qui mérite de passer à la postérité : il s’agit du passage lent, à très basse altitude, au-dessus d’une centrale électrique, d’un disque lumineux émettant des faisceaux sur tout son pourtour, puis s’élançant dans le ciel « à une vitesse foudroyante ». Les effets physiques intéresseront ceux qui cherchent à comprendre « comment ça marche » : le passage de l’objet a perturbé le fonctionnement de deux postes de télévision encore alimentés en 110 Volts, mais n’a pas affecté les postes alimentés en 220 Volts . En outre, le principal témoin oculaire a noté des effets physiologiques : conjonctivite durant plusieurs jours, et éruption de boutons sur tout le corps. Ce cas est donc à ajouter à notre liste de dommages physiques aux personnes, publiée dans LDLN 339, 344 et 345. Après cela, une jeune femme nous expose l’étrange aventure qu’elle a vécue, un soir de juin 2009, sur la côte Sud de la Crète. Nous avons là un exemple de plus d’interaction mentale, puisque le lendemain matin, cette jeune femme a mis un certain à se rappeler ce qui s’était passé au début de la nuit. Le sujet suivant concerne une série d’apparitions qui, a priori, n’ont rien à voir avec le phénomène OVNI, mais qui s’intègrent parfaitement parmi les « problèmes connexes » : il s’agit des observations de fauves parfaitement inattendus dans nos contrées, et qui s’évanouissent sans laisser de traces, et surtout, sans qu’on retrouve jamais leurs dépouilles. Nous en avions publié une liste récapitulative dans le numéro précédent, mais voici une avalanche d’exemples supplémentaires, concernant un puma, six (ou sept ?) panthères noires, un tigre, et un gros félin non identifié, suivi de ses deux petits ! Tout cela pourrait paraître farfelu, si les sources d’information n’étaient pas parfaitement identifiées. C’est à n’y rien comprendre. Dans la rubrique ‘’observations récentes en France’’, on trouvera quelque quatorze observations faites entre le 17 août 2012 et le 6 mars de cette année. Deux d’entre elles comportent la prise de photos, qui sont reproduites sur la couverture. Et à tout cela, il faut ajouter les très nombreuses photos obtenues par un chercheur inlassable, Stéphane Brignone, qui passe la plupart de ses nuits à traquer le phénomène. Les résultats qu’il obtient ne sont pas tous convaincants au même degré, mais quelques uns de ses clichés sont stupéfiants (comme on le verra encore dans LDLN 413). Et il faut savoir que d’autres personnes, sans consacrer autant de temps à l’énigme, obtiennent des résultats comparables. Un exemple est présenté dans ce numéro, avec la photo du « têtard » de Batz-sur-Mer. Jean-Pierre D’Hondt nous rappelle divers exemples de ce qu’il appelle « l’effet téléobjectif », effet dont nous avons vu récemment un exemple assez stupéfiant, avec le cas des Estables (LDLN 410) : un témoin observe un objet insolite à une certaine distance, mais il en distingue certains détails, comme s’il avait pratiquement le nez dessus. Vient ensuite la seconde partie de l’article de Jean Sider, intitulé « mimétisme et polymorphisme des ovnis ». On est là, probablement, au cœur du problème OVNI, tant sont nombreux les témoignages qui appuient cette interprétation. Suite aux articles que nous avons publiés récemment, au sujet des « interactions mentales » entre le phénomène et les témoins, Dominique Moreau nous rappelle un exemple caractéristique : quand un photographe professionnel observe, son appareil en mains, un ovni dans de bonnes conditions, et ne prend pas de photos, on peut supposer que la chose observée exerce sur lui une influence qui inhibe un réflexe. Le 27ème chapitre de notre série « Tout ça ne date pas d’hier » concerne deux observations faites en France, pendant l’occupation, par des soldats allemands. L’article est illustré par un tableau qui récapitule 14 autres observations d’ovnis faites pendant la seconde guerre mondiale. On trouve ensuite une analyse d’un livre qui concerne la plus remarquable observation d’ovni datant de cette époque : celle de Los Angeles, le 25 février 1942. Le livre est celui de Terrenz Sword, The Battle of Los Angeles. Il s’agit d’un livre extrêmement riche en informations, mais qui laisse diverses questions en suspens. Le 25 février 1942 garde son mystère. Ce numéro s’achève sur la rubrique « les Nouvelles » et sur quelques remarquables photos de Stéphane Brignone.
Posted on: Sat, 20 Jul 2013 11:36:08 +0000

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