L’Eglise refuse de commenter la condamnation à mort du - TopicsExpress



          

L’Eglise refuse de commenter la condamnation à mort du Judaïsme ! L’injonction au silence de son représentant confirme l’intérêt d’étouffer l’affaire ! 24 nov 2013 par Arnold Lagémi Modifier | Désolé de me répéter sur les conditions de reconnaissance de l’infaillibilité. Mais, mon interlocuteur est allé loin, trop loin, beaucoup trop loin ! Il faut que l’enjeu soit bien compris pour en saisir toute la gravité! Le conflit dont il est ici question dénonce une des formes les plus subtiles et les plus perverses du prosélytisme. Aidez moi! Aidez les combats d’Israël! En pleine guerre, (1943) le pape PIE XII juge utile et opportun de composer un texte doctrinal (une Encyclique) qui, abordait une réalité dogmatique : le corps mystique de l’Eglise. Ce texte (Encyclique) se trouvant en accord, me semble t-il, avec les conditions requises par l’Eglise, pour en rendre son contenu éternellement valide, (procédure Ex Cathedra) ne figure pas parmi les textes dits infaillibles. Pourquoi ? L’un de mes correspondants, un ecclesiastique visiblement dépassé par le sujet et, plutôt familier de la théologie des salons genevois, agacé par ma question, me répondit d’abord par une « énormité, » confirmant qu’il n’entendait rien au problème posé : « Cette Encyclique n’est pas concernée par l’infaillibilité. » Aucune explication ! Aucun motif ! N’estimant pas utile d’expliquer un tel aveu de carences, il rajouta, toutefois, en signature, rejoignant par là une des données constantes de l’esprit romain, une injonction au silence : « POINT FINAL. » Oui, vous avez bien lu ! La question dérange, on fait silence. Totalement irrecevable à tous égards. Je précise que cet ecclésiastique est responsables des amitiés judéo chrétiennes, je dirai plutôt des amitiés christiano-silencieuses. Est-ce là réponse d’un ami. Sans réserve, je réponds, NON ! Comme pour bien indiquer sur quel registre, le pontife entendait se situer, les deux conditions impérieuses et incontournables, donnant droit au bénéfice de l’infaillibilité, telles que prévues par la Procédure, ont été honorées et respectées. Le pontife devait s’y exprimer en qualité de Pasteur et docteur, stipulations indispensables au classement de l’Encyclique dans les « textes infaillibles. » (Procédure EX CATHEDRA) Le thème de Ce texte consacré au dogme, condamnait, par ailleurs, l’Alliance avec Israël à mort, frappait les Juifs d’une malédiction éternelle et confirmait le remplacement d’Israël. Nous touchons, peut être ici, la motivation à l’évincement de cette Encyclique, rejetée sans explication. L’Eglise ne souhaitant pas s’expliquer sur les conséquences de la disqualification juive de la nouvelle politique fraternelle de l’Eglise envers les Juifs. L’Eglise a du affronter et faire face au silence du Vatican pendant la Shoah. Il lui faudrait maintenant commenter la déchéance juive. Politiquement, moralement, très, très incorrect !!! Le texte de Pie XII,(ou Encyclique) en raison même de son mode d’expression choisi, le pontife s’exprimant dans les qualités de pasteur et de docteur, définissant un point de la foi, devenait « infaillible, selon les règles de la procédure EX CATHEDRA. Extraits du texte officiel de l’Encyclique : Nous avons considéré comme un devoir de Notre charge pastorale d’exposer à tout le peuple chrétien, dans cette Lettre encyclique, la doctrine du Corps mystique de Jésus-Christ Après avoir, Vénérables Frères, dans l’explication de ce mystère qui embrasse notre union mystérieuse avec le Christ, éclairé les esprits de la lumière de la vérité, comme Docteur de l’Eglise universelle, Nous croyons conforme à Notre charge pastorale de stimuler aussi les âmes à aimer ce Corps mystique. Qu’on nous cite un texte papal où l’auteur, tel Pie XII revendique de s’exprimer en ses qualités de docteur et pasteur ! Pourquoi ce texte, condamnant le Judaïsme et Israël, ne considère t-il pas les conditions accordant implicitement à son contenu un crédit permanent? Pourquoi, n’est-il pas « jugé » par l’Eglise « intouchable ? » (ou infaillible ?) Sur quels points serait-il en défaut pour ne pas être reçu selon la procédure exigée ? En s’exprimant selon les exigences formelles prévues pour jouir de de l’infaillibilité, Pie XII n’indiquait –il pas clairement ses intentions ? J’ai lu les dernières Encycliques et viens d’achever ECCLESIAM SUAM de Paul VI. Nulle part, il n’est fait mention de la qualité de docteur ou de pasteur par lesquelles le souverain pontife aurait décidé de s’exprimer ! Parler dans cette catégorie d’expression c’est accorder au texte le bénéfice de l’infaillibilité. L’Eglise préfèrerait-elle ne pas se prononcer en raison des conséquences qui résulteraient de la reconnaissance plutôt gênante de la permanence de la condamnation d’Israël, que Vatican II n’avait pas pouvoir de modifier, si l’Encyclique était jugée infaillible? Et approuve t-elle l’indigne fuite de son représentant, abandonnant délibérément le débat en cours. Cautionne t-elle son mépris pour Israël en désignant un barbotteur en catéchisme, qui, face à la contradiction évite toute réponse par l’usage d’une dialectique de bazar ! Quand à ceux qui perdureraient dans l’illusion d’une amitié, je tiens à leur intention copie des échanges avec ce Monsieur….Qu’ils jugent sur pièces !
Posted on: Sun, 24 Nov 2013 07:18:37 +0000

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