L’ORIGINE D’EWALE par Dieudonné Ngando Macky, mercredi 11 mai 2011, 23:10 · L’ORIGINE D’EWALE A NOS JOURS DOUALA Les Douala sont originaires du Congo (BRAZZAVILLE) ils avaient pour ancêtres DIKOTA du group ethnique des BAKOTA c’est la suite du partage inéquitable d’un éléphant tuer a la chasse, que leurs aïeux ! MBE, au XVIe siècle, s’est sépare de la souche. Et l’émigration fut de part et autres dans tout le continent. Compte tenu que tous même les congolais sont de la race bantous, nous sommes de la descendance d’un pays que l’on appelait au temps d’HOMERE par les grec, AIGYPTOS. Ce nom vient d’AMANA – HIKUPTAH que les Egyptiens appelaient pays des noirs (KEMET) un Aïeul dans la race bantous appelé MBEH, traversa la mer rouge de la méditerranée jusqu’au Congo. En réalité KEMET ce premier pays des noirs en AFRIQUE, était une partie intégrante dans la zone ETHIOPIENNE mais le découpage géographique européen fait en sorte que la superficie de KEMET se retrouve dans le territoire des EGYPTIENS L’exode se fait vers le nord du pays vagues et par générations successives, et les fugitifs atteignent le territoire appelé le Cameroun. Ils traversèrent par vague tantôt petites, tantôt grandes, diverses régions de la meurtrière forêt vierge équatorial. Une parties des rescapes arrivèrent ensuite chez les BASSA de NDONGA à PITTI puis à LON NGASSE ils empruntèrent alors la voie fluvial, la Dibamba : et leur importante flotte, d’une cinquantaine de pirogue, débucha sur le quai de Manoka : puis remonta a l’estuaire du fleuve du Wouri. Après une descendance généalogique, l’émigration va progresser de part et autres. C’est à cet endroit précis qu’après des années durant EWALE MBEDI et EKAKANGA MBEDI venant de PITTI retrouvèrent les BASSA. Il se raconte qu’un jour, certains pêcheurs douala, prient la liberté d’aller pêcher le plus loin possible de leur base de PITTI et arrivèrent près du fleuve ou habitaient les BASSA y étant, ils virent les peaux des bananes sur l’eau en direction de l’endroit où ils pêchaient. Les pêcheurs observèrent de très près ces épluchures et eurent l’idée de remonter le fleuve dans l’espoir de retrouver les hommes en amont. Ils redoublèrent le courage et quelques heures plus tard virent devant eux des cases alignées et bâties le long du fleuve. Les plantes de macabo, bananes, plantains maniocs, et autres qui s’agitaient au gré du vent. Cette découverte causa une vive joie aux pêcheurs. La communication étant difficile parce qu’il s’agissait de la rencontre de deux peuples différents et parlant des langues différents, les pêcheurs durent causer avec les signes des mains touchant et retouchant leurs ventres, remuant la bouche comme pour mâcher, puis pointant du doigt au bananier. Les BASSA par ces gestes comprirent que ces pêcheurs étaient affamés. Après quelques échanges des gestes les BASSA leur offre quelques vives en échange du poison. Ce premier contact fut rapporté à EWALE MBEDI et EKAKANGA MBEDI en termes « nous avons découvert des hommes là bas qui nous ont vendu beaucoup de vives » Ils ont dit de leur amener toujours du poison en échange de vivre. EWALE et EKAKANGA MBEDI ne se décidèrent pas pour autant immédiatement de quitter leur base de PITI pour se rapprocher du lieu d’échange. C’est avec l’habitude et compte tenu de l’hospitalité réservée aux pêcheurs par les BASSA notamment pour les mets copieux que ceux-ci servaient à leurs amis EWALE que ce dernier finir par demander un emplacement pour s’installer. Malgré l’opposition d’une partie du peuple BASSA, l’autre partie était d’accord. La cohabitation entre les BASSA et EWALE MBEDI et son frère EKAKANGA MBEDI fut très appréciée au début et le marché du poisson et des vivres devinrent grands. Quelques temps après, à cause d’une brouille, EKAKANGA se sépare de son frère EWALE, traversa le fleuve et alla s’installer sur l’autre rive appelées aujourd’hui BOJONGO. EWALE et ses enfants se multiplièrent si bien que la terre occupée dans la zone du plateau JOSS devint réduit, ce qui obligea EWALE à demander une autre parcelle de terrain. Les BASSA et EWALE et son frère EKAKANGA se sépare de son frère EWALE, traversa la fleuve et alla s’installer sur autre rive appelée aujourd’hui BOJONGO. EWALE et ses enfants se multiplient si bien que la terre occupée dans la zone du plateau JOSS devint réduit, ce qui obligea EWALE à demander une autre parcelle de terrain. Les BASSA rejetèrent cette nouvelle demande. Ce refus justifie par ailleurs ne fut apprécié pars les requérants qui déclenchèrent les hostilités traduisant par les haines, querelles, pratique de sorcellerie, mort subit donc les victimes résignées furent les BASSA. Les plus grands scandales étaient nés des fiançailles. Il y eut de part et d’autre des règlements de comptes, à savoir la main coupé d’une fille BASSA par un de pêcheurs EWALE, et le coup tranché d’une fille des pêcheurs EWALE par un BASSA. Les BASSA fatigués de ces batailles et autre maux et r «répugnant de plus en plus cette cohabitation inconfortable, décidèrent les BASSA d’abandonner cet emplacement à EWALE et ses enfants. Les Douala payèrent mal cette hospitalité et refoulèrent leurs généreux hôtes dans l’arrière pays. EWALE épousa sa cousine Germaine MAPOK, (MAPOKA en douala) l’une des filles de son oncle, NGASSE tel que nous l’avions démontre dans l’arbre généalogique. En effet, ce foyer…… Composé de MBONGO MUSSA et enfin MUKOKO en générale forme la composition de l’énorme famille que nous appelons les SAWA de MANFE à KAMPO. L’évolution de la grande famille nous retrouvons à nos jours des Bakoko aujourd’hui dans les Bonamatoumbé, à Bele Bele Ils font partie integrante des Bona Doo. Les BASSA, quelque uns sont aujourd’hui partie intégrant des Sodiko. ALL IN ONE
Posted on: Thu, 11 Jul 2013 11:26:06 +0000
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