L’ambiance des offices sur le Ramadan continue d’encenser spirituellement le « foyer » de LIBERTE 2… Pourvu que ça dure matériellement…pour ses participants assidus comme le prédicateur ATHOUMANI ASSIMAKOU , ABOU SOIYAD LE PARRAIN , le DOYEN HACHIM MOHAMED, FAYAD O’CONOR , ANLAOUDINE, TIGANA, IDRISSE GASTON, ABDALLAH YOUSSOUF MOUSTAKIM, YOUNES MAGADZOO… L’envie de revenir aux vraies valeurs s’est toujours heurté dans son cheminement conscientisant avec quelque chose qui est reconnu sous les traits d’un « système.» La résistance à la reconnaissance de notre responsabilité sur ce sursaut novateur est arrivé à un niveau tel que nous avons perdu la notion du bonheur , de la solidarité, de l’humilité…de l’humain. Elle agit sur nous en termes de confusion, de pertes de repères , d’affaissement du pratique au « bon niveau » des prescriptions religieuses ou de tous les moyens intellectuelles…philosophiques à employer pour mener à bien une vie qui ne soit censurée….vilipendée par de personnes éclairées à tout point de vue. Sur ce, comprendre divinement le sens du mois béni du Ramadan est une opportunité pour chacun de nous, celle de se ressaisir et plus particulièrement de se rendre compte que nous ne sommes jamais pas seuls lorsqu’il s’agit de se sortir du mauvais pas… Un appui fortement divin est là… Un grand traitement de faveur, de grâce…de protection qui peut se répandre de la part de DIEU SOUHANAHOU WATAANLA sur les croyants si tenté évidemment qu’ils passent leur temps en dévotions comme l’attachement ,l’obéissance…la soumission au « bon niveau » de dogmes, des grands principes de la moralité religieuse dont La Sainte Vierge MARIAME et son « fils » ISSA AANLAY SALAM avaient montré la voie…le cheminement hautement spirituel. Dans un contexte où la dictature de déviance et du vice est incrustée dans les rouages « crasseux », archaïques de notre mentalité, les tentations vers des agissements, des paroles outrageantes en vers le Seigneur SOUBHANAHOU WATAANLA se signalent banalement dans les « sorties de route » à la croyance…à la foi et qui font que rares sont des quidams qui nonobstant les prières…les offices n’en sortiront pas blancs comme neiges, ce phénomène à haute teneur de péché ,..de parfum de perdition prévalant dans nos sociétés malades ne peut pas évidemment être du goût d’ ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA. En fait, le mois béni du Ramadan est un de ces moments fort mystiquement qui nous font passer le mieux le « message » selon lequel « nous appartenons tous et toutes à ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA et c’est à lui que nous retournons. » Cette reconnaissance l’est d’autant plus que les portes de l’enfer sont fermées à « double tour » pendant les trente longs jours du jeûne et celles du Paradis grandement…gracieusement ouvertes. Rappelons également que ce fut surtout des moments précis de l’histoire de religions révélées qui avaient vu l’ « atterrissage » du Coran ici-bas. Avec les saintes écritures, le Seigneur SOUBHANAHOU WATAANLA dans ses œuvres rédemptrices ( YA OUTRAZA WANA DAMOU ZE MBI ), étaient comme les supplices qu’avaient connu ISSA AANLAY SALAM en ce bas monde, notamment dans sa mission de racheter de gens qui avaient pris une nette résolution de revenir de leurs erreurs…leurs péchés et de ceux qui de son vivant par impiété, « cailllassage » de la foi en DIEU se verront maudis à jamais. En effet, le mois béni de Ramadan est quelque chose dont l’existence n’a de faire-valoir, de signification spirituelle qu’en ALLH SOUBHANAHOU WATAANLA qui de la grandeur de sa mansuétude( OUCHOUHOULIA NA MWANA DAMOU ) l’avait fait « descendre » comme le coran pour permettre tout un chacun de nous déviant sur les bords à la pratique au « bon niveau » d’attachement, d’obéissance…de soumission à ce que commande notre religion, de se racheter…et de retrouver notre « place » une fois au paradis. A ce registre, nous sommes sur un de volets qui font la physionomie des offices( MOUHIMOU YAHE DARASSA ) sur le Ramadan et qui permet de prendre la mesure un tant soit peu les pans ( OOUMPVA ) de ces desseins de notre Seigneur SOUBHANOU WATAANLA dont le côté hautement mystique…impénétrable n’est plus un secret pour personne. Une occasion pour le prédicateur ATHOUMANI ASSIMAKOU de dégager autant que faire se peut ces thématiques qui ont trait à l’envie de revenir aux vrais valeurs comme cette possibilité le plus humainement possible de vivre en « frère » et « sœur » sans ce côté ruinant…infamant des manière d’être et d’agir qui ont dévasté outrageusement nos sociétés malades. Par exemple, entendre que sous ce mois béni ALLH SOUBHANAHOU du haut de son magistère céleste tend la main à tout le monde, ce geste fort humain avait surpris plus d’un croyant qui à l’époque de prophètes se demandait de quoi il s’agissait… Sous ce rapport, si il est impossible de comparer du haut de son magistère DIEU sa « main » à quelque chose, c’est que notre Seigneur SOUBHANAHOU WATAANLA est extraordinaire…insaisissable, avait toujours clamé le prophète MOHAMED, paix salut sur lui. Au final, lorsque une « main tendue » d’ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA en ce mois spécial avait été magnifiée de la sorte, elle est forcément tout sauf ce dont l’entendement humain peut concevoir…s’imaginer. Encore une fois pendant cette période du Ramadan, c’est des moments « porte ouverte » qui n’ont rien de ce dévoiement à la pratique religieuse qui est entaché des déviances dont en exemplarité …cheminement la Sainte Vierge MARIAME pulvérisait ( AISSAKADA… ) dans son attachement, son obéissance…soumission au « bon niveau » aux prescriptions de grands principes de la moralité religieuse. Plus que jamais cette période de privations s’est vue une occasion inouïe pour tout un chacun de nous qui tient pour ambitions spirituelles d’éponger les erreurs, les turpitudes, négligences…les péchés, de battre sa coulpe comme disent les chrétiens.( TSI KOBALI GAME FAGNO MAZAMBI ) Une haute manière pour ALLH SOUBHANAHOU WATAANLA d’arracher l’humanité au vice…à la misère morale pour la rendre comme une planche de salut dans le droit chemin qui sauve…. Ce mois béni l’est d’autant plus que notre Seigneur SOUBHANAHOU WATAANLA s’est vue à l’imaginaire collectif évoluer sur un de ces marqueurs de sa puissance, celle qui dans sa manière de sévir , rappelle à l’ordre toutes ses créatures. C’est vrai que sous ce magistère céleste, les génies ( YE MADJINI NE HAYAWANI…NA NECHAITWANI ) sont tenus en respect par DIEU. Une telle volonté divine est portée à un degré tel que les quidams qui avaient dévié dans leur croyance…foi, et qui ont fait vœu sous cette occasion inouïe de se racheter une fois avoir obtenus la protection…la miséricorde d’ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA en ce mois béni, ne seront pas gênés aux entournures. Sur la base de saintes écritures, il a été dit que pendant ce mois béni ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA quitte les « cieux » tous les minuits jusqu’à six heures du matin pour rejoindre ici-bas où vivent ses créatures auxquelles sa mansuétude… miséricorde est immense. Toutefois, ce qui va se passer en cette période à potentialités de pardon….de confessions, n’a rien de quelque chose de lisse comme un acquis qui est déjà dans la poche. En fait, si pendant ce mois béni de Ramadan les forces invisiblement nuisibles( LES MAUVIAIS ESPRITS ) avaient été mises hors d’état de nuire par notre Seigneur SOUBHANAHOU WATAANLA, d’autres « ennemis » terriblement destructeurs sont encore là… Concrètement, nous ne sommes pas en tant qu’être humain en matière du fonctionnement de notre liberté qu’un être de raison, d’intelligence…de sagesse. Les passions, ces sentiments intenses et durables qui sont reconnues sous les traits psychologiques de l’amour, de la haine, des ambitions, de la cupidité, de l’avarice et tant d’autres manières d’être et d’agir qui nous gonflent et qui sont gonflantes pour le prochain, font foncièrement partie également de notre « nature pécheresse . » Sous l’impulsion de ces forces qui dévoient le côté pensant ,réfléchi…sage de l’être humain, il peut se passer des agissements à même de dévaster moralement n’importe quel citoyen lambda , d’outrager nos mœurs policés d’honnêteté, de modestie…de rectitude. Choisissant l’exemple d’une vie qui témoignait d’une fidélité à l’attachement, à l’obéissance…soumission au « bon niveau » aux prescriptions des grands principes de la moralité religieuse, le prédicateur ATHOUMANI ASSIMAKOU a évoqué le cas édifiant de OMAR IBN HATTOIB. Un aspect qui permet de sortir au grand jour ce côté ostensiblement dictatorial en matière de déviance et du vice. A ce niveau, la propension en tant qu’un simple humain à vouloir toujours être premier en intelligence, en force, en pouvoir, en habillement, en beauté, en succès…en tant d’autres hochets ( BATANI, MAFITSI YA DOUNIANI ) qui ne font courir que les imbéciles, n’avait pas été de tout point de vue une expérience heureuse pour le sage OMAR IBN HATTOIB. Sous une colère noire, il avait mis au rebus, accroché sur une branche d’un arbre un vêtement de « classe » que les musulmans de haute préséance dans la société mettaient pendant les fêtes…les cérémonials en son temps. Sur ce, grande fut la surprise des gens de son époque lorsqu’au hasard de rencontre ils l’avaient trouvé au bas de l’arbre en train de flageller ce « pardessus arabe » dénommé « DJOUBA » comme si il s‘agissait d’une personne qui faisait l’objet d’une réprimande. Evidemment, ce fut une « folie » qui n’était pas sans envoyer un « message », faire tirer un enseignement à la OUMA. Des quidams qui se plaisent à fonctionner sous l’emprise des passions ( MDJIFAHARICHO… ) se verront à la longue, à leur risque et péril moins que chien devant ALLAH SOUHANAHOU WATAANLA et cela pour avoir attenté à ces manière d’être et d’agir qui sont tout sauf quelque chose de gonflant, de gloriole qui est fortement banni par les grands principes de la moralité religieuse. Vivre en bonne intelligence, en « égalité » loin de nos airs superbes ( OUDJIKAZA…OUDJIWONA) avec son prochain…la OUMA est un de ces pans( NGOUZO ) louables de l’humilité dont le respect est ostensiblement l’une de clés en matière de rédemption.( AOUTOWA YE MAZAMBI …) D’ailleurs, le prosternement rituel des musulmans pendant la prière y est pour beaucoup… Plaquer quotidiennement genoux, mains et front contre terre dans les cinque prières est assez évocateur de ce côté sans « passions », humble…de vrais croyants. En tout état de cause, ALLAH SOUBHANAHOU WATAANLA s’est toujours montré dans les saintes écritures, avec ses prophètes intraitable envers ces dévoyés passant sous ce registre : « La montée en grandeur, en suffisance…en folie d’ orgueil de sentiment de se croire la huitième merveille du monde, supérieur à son prochain ne hissera jamais une personne aussi haut en altitude qu’une montagne « Everest. » A ce compte-là, nous sommes édifiés ce que le vrai « DJIHAD. » Devant nos imperfections…insuffisances, cette bataille sur nos passions n’est pas celui de l’islamisme à la marque de fabrique de BEN LADEN mais celle qui relance au goût du jour…de ces croustillants offices, cette capacité à pouvoir nous dominer, maîtriser … nous-même. . Qui est ce sage qui disait qu’un quidam à même de régenter ses pulsions dévastatrices fait preuve de plus de force qu’un guerrier qui prend de villes… ? Ainsi, point n’est besoin de mettre du tralala dans nos façons d’être et d’agir envers no « frères » et nos « sœurs » tout comme c’est contre-productif d’infuser de la redondance dans nos discours comme affecter des grands mots, ; d’expressions exagérées ;des phrases à effet pour baratiner…mousser. HACHIM MOHAMED, « Doyen », journaliste de formation.
Posted on: Sun, 04 Aug 2013 23:51:10 +0000
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