L’insécurité quotidienne est le résultat de la violence d’un système politique : 10 à 20 000 sans-abris, 24 % de sans-emplois, et dans certains quartiers plus de 50 % de la jeunesse frappée, 25 % des marseillais n’ont aucun diplôme, voilà la violence d’un système financier, qui de fait par le « no future » imposé, amène certains, à vivre d’expédients. C’est cette violence et cette insécurité-là (économique et sociale) qui génèrent « l’insécurité ressentie ». lerouetacoeurouvert.blogspot.fr/2013/09/marseille-en-commun-comme-projet.html
Posted on: Sun, 22 Sep 2013 19:38:25 +0000