MONSIEUR ELIAS MURR VIENT DETRE NOMME A LA TETE DE LA DIRECTION - TopicsExpress



          

MONSIEUR ELIAS MURR VIENT DETRE NOMME A LA TETE DE LA DIRECTION GENERAL DE LINTERPOL INTERNATIONAL MABROUK A CETTE TRES BELLE NOMMINATION ET BRAVO LE LIBAN Elias Murr ne en 1962 , fils de lancien vice - Premier ministre Michel Murr Nommé ministre de l’Intérieur en 2000 au sein du gouvernement de Rafiq Hariri jusqu’en octobre 2004, il travailla sur l’amélioration de la sécurité, la lutte contre la drogue et le crime organisé. Ses relations tendues avec les forces de renseignement syrien l’éloignent du gouvernement avec la démission de Rafiq Hariri en 2004 et il perd son poste au ministère de l’Intérieur au profit de Soleimane Frangié Jr. Il est nommé vice-Premier ministre et ministre de la Défense au sein du gouvernement de Najib Mikati, chargé d’organiser les élections législatives de 2005 après le retrait syrien. Il échappe miraculeusement à un attentat à la bombe qui l’a visé le 12 juillet 2005 et est grièvement blessé. Il a plus tard accusé implicitement les services syriens d’être derrière cette tentative. Il conserve son poste de vice-Premier ministre et de ministre de la Défense dans le gouvernement de Fouad Siniora. Il a organisé le déploiement de l’Armée libanaise au Sud du Liban, suite à la guerre qui a opposé le Hezbollah à Israël en juillet-août 2006, conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité. En décembre 2010, il est révélé par WikiLeaks quen 2008 Elias Murr aurait fourni des conseils à Israël sur la manière dagir avec le Hezbollah si une nouvelle guerre éclatait Cest quoi lInterpol Interpol (contraction de lexpression anglaise International Police) est une organisation internationale créée le 7 septembre 1923 dans le but de promouvoir la coopération policière internationale. Le nom complet en français est Organisation internationale de police criminelle (OIPC). Son siège est situé dans la ville de Lyon en France. Histoire Les prémices de la création dInterpol datent de 1914 lors du premier Congrès international de police criminelle : des officiers de police, juristes et magistrats de 14 pays se réunissent à Monaco pour discuter des procédures darrestation et dextradition, techniques didentification et centralisation des fichiers. La Première Guerre mondiale suspend cette initiative. Lorganisation est créée le 23 septembre 1923 lors du deuxième Congrès à linitiative de Johann Schober, le directeur de la police de Vienne qui réunit dans sa ville les responsables des forces de polices de vingt pays pour fonder la Commission internationale de police criminelle (CIPC). En 1942, suite à lAnschluss, la CIPC passe sous le contrôle de la Gestapo et son siège, de Vienne, est transféré à Berlin. La plupart des pays membres cessent alors leur coopération. Lorganisation renaît en 1946 sous légide de la France, de la Belgique, du Royaume-Uni et des pays scandinaves. En 1956, le statut est modernisé et la CIPC devient « Organisation internationale de police criminelle-Interpol ». Elle est reconnue en tant quorganisation intergouvernementale par lONU en 1971 et lannée suivante un accord de siège est conclu avec la France. En 2003, un centre de commandement et de coordination est instauré et en 2004, Interpol se dote dun bureau de liaison au siège de lONU à New York. En 2008, le président dInterpol Jackie Selebi est contraint de démissionner, accusé davoir été corrompu par un narcotrafiquant2. Il est condamné à 15 ans de prison pour corruption par le tribunal de Johannesburg le 3 août 2010. Siège Son siège est situé dans le quartier de la Cité internationale, au 200, quai Charles de Gaulle, dans le 6e arrondissement de Lyon en France, depuis le 1er mai 1989. Auparavant, lorganisation était basée à Paris dès 1946 puis rue Armengaud à Saint-Cloud en 1967. Elle dispose par ailleurs de sept bureaux régionaux en Argentine, au Cameroun, en Côte dIvoire, au Salvador, au Kenya, en Thaïlande et au Zimbabwe — et dune représentation aux Nations unies à New York. Structure Pays membres Interpol regroupe un total de 190 pays membres. 187 des 194 États reconnus internationalement sont membres dInterpol. Les sept pays non membres sont : la Corée du Nord ; les Kiribati ; la Micronésie ; les Palaos ; les Salomon ; les Tuvalu ; le Vanuatu. Trois pays non reconnus comme États internationalement, dépendances des Pays-Bas, sont néanmoins membres de lorganisation : Aruba ; Curaçao ; Saint-Martin. Secretaires genereaux - Autriche, Oskar Dressler : 1923-1945 - France, Louis Ducloux : 1946-1951 - France, Marcel Sicot : 1951-1963 - France, Jean Népote : 1963-1978 - France, André Bossard : 1978-1985 - Royaume-Uni, Raymond Kendall : 1985-2000 - États-Unis, Ronald K. Noble : 2000-réélu en 2010 pour un troisième mandat courant jusqu’en 2015. Présidents depuis la fondation en 1923 - Autriche, Johann Schober : 1923–1932 - Autriche, Franz Brandl : 1932–1934 - Autriche, Eugen Seydel : 1934–1935 - Autriche, Michael Skubl : 1935–1938 - Troisième Reich, Otto Steinhäusl : 1938–1940 - Troisième Reich, Reinhard Heydrich : 1940–1942 - Troisième Reich, Arthur Nebe : 1942–1943 - Troisième Reich, Ernst Kaltenbrunner : 1943–1945 - Belgique, Florent Louwage : 1945–1956 - Portugal, Agostinho Lourenço : 1956–1960 - Royaume-Uni, Richard Jackson : 1960–1963 - Finlande, Fjalar Jarva : 1963–1964 - Belgique, Firmin Franssen : 1964–1968 - Allemagne de l’Ouest ,Paul Dickopf : 1968–1972 - Canada, William Leonard Higgitt : 1972–1976 - Suède, Carl Persson : 1976–1980 - Philippines, Jolly Bugarin : 1980–1984 - États-Unis, John Simpson : 1984–1988 - France, Ivan Barbot : 1988-1992 - Canada, Norman D. Inkster : 1992-1994 - Suède, Björn Eriksson : 1994-1996 - Japon, Toshinori Kanemoto : 1996-2000 - Espagne, Jesús Espigares-Mira : 2000-2004 - Afrique du Sud, Jackie Selebi : 2004-2008 - Singapour, Khoo Boon Hui : 2008-2012 - France, Mireille Ballestrazzi : depuis 2012 Limites Limitations tenant à la nature de lorganisation À cause du rôle politiquement neutre quelle doit jouer, la Constitution dInterpol lui interdit dintervenir dans les affaires ne concernant quun pays membre, ou les crimes militaires, politiques, religieux ou raciaux. Ses activités tournent autour du trafic et production de drogue, du terrorisme, du blanchiment dargent, du crime organisé et de la criminalité transnationale. Il faut ajouter que, contrairement à ce que son nom indique, Interpol nest pas à proprement parler une organisation policière. Il sagit plutôt dune structure détude et danalyse sur la criminalité et le terrorisme. Cest une sorte de grande base de données pour les pays membres, qui produit de lexpertise et de la connaissance. Il ny a pas de « service action » dans cette organisation : les interventions sont menées par les polices de chaque pays, parfois de manière conjointe (auquel cas un des rôles dInterpol est de faciliter la collaboration, en améliorant la communication, etc.). Limitations structurelles La situation actuelle dInterpol est marquée par dimportants problèmes structurels tenant essentiellement à deux raisons : le budget notoirement insuffisant : elle est financée par les contributions des pays membres, représentant approximativement 30 millions deuros soit environ 40 millions de dollars américains ; le nombre élevé de pays participants rendant le fonctionnement de moins en moins fluide. On est là en face dun troublant paradoxe : les discours sur la nécessité de mondialiser la lutte contre le terrorisme abondent mais cette même mondialisation de la lutte entraine des conflits entre États voire des ralentissements de cette lutte. Concurrence avec Europol Depuis le début de la construction européenne, en 1999, sest constituée une structure exclusivement européenne : Europol, qui prend le relais du groupe TREVI, structure ad hoc créée dès 1976. Cest une organisation dissociée dInterpol, née de la volonté des États européens de se doter dinstruments efficaces au sein de lUnion. Cependant dautres facteurs ont contribué à la création dEuropol. Les États européens se sont opposés un certain nombre de fois aux États-Unis et ont fini par conclure à la nécessité de créer leur propre organisation, qui continue toutefois à collaborer avec Interpol. Notice spéciale Interpol-Nations unies En raison dune opération contre Al-Qaïda et les Talibans, Interpol a édifié, dans le cadre de la Notice spéciale Interpol-Nations unies3 et avec la collaboration des Nations unies, la liste des personnes susceptibles de sanctions du Conseil de sécurité des Nations unies. Liste des terroristes susceptibles de sanctions du Conseil de sécurité des Nations unies PHOTO DELIAS MURR, LOGO INTERPOL, BUREAU DE LINTERPOL A LYON (FRANCE)
Posted on: Tue, 22 Oct 2013 07:02:59 +0000

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