Malheureusement, en Enfer, un démon ordinaire devient moins pire - TopicsExpress



          

Malheureusement, en Enfer, un démon ordinaire devient moins pire que Lucifer, le Patron. En effet, on pourrait dire, aujourdhui, que Rudasingwa qui est un intellectuel -- je préfèrerais le mot instruit -- civil paraît innocent dans ce qui sest passé et ce qui continue à se passer dans la région des grands lacs. Eh bien, pas vrai à mon humble avis. Ce sont justement des gens comme Rudasingwa, le défunt Kimenyi et autres Jean Munyampenda qui ont construit intellectuellement le disctateur sanguinaire PKagame... Cela devient pire, dans le cas Nyamwasa où linstruit devient en même temps le tueur. Le général Nyamwasa est personnellement responsable de beaucoup de cas de massacres. Sopposer à PKagame ne len innocente pas du tout. Si je nétais pas profondement contre la peine capitale, jallais dire que tous ces gens ne méritent rien dautre que la pendaison, discrète pour ne pas leur donner une quelconque importance. Dailleurs, à part leur réel désamour avec PKagamé, ont-ils déjà présenté leurs excuses envers leur peuple, le peuple rwandais, et leurs voisins congolais? Sils lont fait, cest apprécié davance! Mais il faudra quils aillent au-delà des apparences. Plutôt que de chercher à se positionner comme des futurs leaders du Rwanda, ce que la RDCongo, la Tanzanie et le Burundi, même lOuganda (sans Mu7) ne leur permettra pas, il faudrait quils fassent sincèrement et publiquement mea culpa devant tous les peuples des Grands Lacs. Un pouvoir démocratique sous la houlette de la majorité hutu sera toujours meilleure garante de la stabilité dans ce pays et dans la région. Seulement, il faut toujours faire attention ici: ne pas être pris dans un piège faussement ethnique [car les Tutsi ne constituent pas un groupe ethnique sans leur majorité hutu au sens ethnographique stricte! (à ce sujet précis, voir léconomiste Sayinzoga, un rwandais hutu et/ou lhistorien burundais Émile Mworoha)]. Cest toujours encore là la question de se demander comment les Tutsi pourraient se réclamer constituer un groupe ethnique en RDCongo -- quimporte ce que rapporte lAîné Ndaywell en période de guerre et doccupation; il me comprend -- quand ils nen constituent pas un dans leur pays dorigine. Dans le même ordre didée, on peut disputer les concepts BanyaMulenge et BanyaVyura inventés très récemment car ils ne sont pas connus dans le pays dorigine... Sur le plan politique, on pourrait également se demander comment un Kinyoni deviendrait chef coutumier quand bien même il nest pas sur son territoire, le Burundi, mais en plus il nest même pas descendant de la famille royale du Burundi, les Mwambutsa. Sinon, il devrait en demander la couronne car après le prince Charles Ndizeye (?), il ny a plus dhéritier masculin du trône au Burundi! Au delà de la spéculation précédente, je crois quun Tutsi, aussi humble que Joseph Sebarenzi que jai eu lopportunité de rencontrer, une fois choisi par son peuple, les BanyaRwanda, ferait un bon candidat acceptable par les pays voisins. Mais encore, faudra-t-il que sa communauté travaille dans le sens de le faire connaître au Rwanda et ailleurs au lieu de salligner derrière ces meurtriers civils ou militaires qui ne méritent rien dautre quune prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle! Merci pour votre attention. Mastaki Bayange From: Nzinink To: Nzinink Sent: Monday, October 28, 2013 7:43:18 AM Subject: [AFRICAFORUM] Assassinat du président Habyarimana : un ex-bras droit de Kagame souhaite une confrontation avec lui oeildafrique/assassinat-du-president-habyarimana-ex-bras-droit-kagame-souhaite-confrontation/ Assassinat du président Habyarimana : un ex-bras droit de Kagame souhaite une confrontation avec lui by Alain Serge on 27th-octobre-2013 Juvénal Habyarimana Photo d’archives du président rwandais Juvénal Habyarimana, le 23 avril 1991 à Paris afp/Daniel Janin Théogène Rudasingwa, un ancien bras droit du président rwandais, aujourd’hui passé dans l’opposition en exil, a demandé à être confronté à Paul Kagame sous une supervision internationale pour prouver que l’actuel homme fort de Kigali est le principal responsable de l’assassinat du président Juvénal Habyarimana dans la soirée du 6 avril 1994. L’assassinat de ce président hutu est considéré comme l’élément déclencheur du génocide d’avril à juillet 1994 qui a fait, selon l’ONU, près de 800.000 tués, essentiellement au sein de la minorité tutsie. « J’invite le président Paul Kagame à se soumettre avec moi au détecteur de mensonge (test polygraphique), sous la supervision internationale, sur la question de savoir qui a abattu l’avion du président Habyarimana en 1994 », déclare, sur sa page facebook, cet ancien directeur de cabinet de l’actuel chef de l’Etat rwandais. « Nous pourrions tous les deux nous soumettre au détecteur de mensonge sous les auspices d’un panel d’enquêteurs internationaux constitué par l’Union Africaine et les Nations Unies », poursuit l’accusateur, qui est également ancien secrétaire général du Front patriotique rwandais (FPR), le parti du président Kagame. « En avril 2012, j’ai témoigné devant la juge français Marc Trevidic, pour confirmer que le président Paul Kagame est responsable » de l’attentat contre l’avion du président Habyarimana, rappelle cet ex-ambassadeur du Rwanda aux Nations Unies. Rudasingwa a fait cette déclaration en réaction à certains internautes rwandais qui l’accusaient, après son témoignage, le 14 octobre dernier devant la justice espagnole, de porter des accusations mensongères comme le président Kagame. Après avoir témoigné devant un magistrat espagnol, Mudasingwa rapportait sur sa page facebook : « Aujourd’hui, j’ai comparu devant le juge d’instruction espagnol Andreu Merelles afin de témoigner que le président Paul Kagame est responsable de la mort de neuf citoyens espagnols ». Le juge Andreu Merelles avait en février 2008 émis 40 mandats d’arrêt à l’encontre d’officiers supérieurs de l’armée rwandaise pour actes de génocide, crimes contre l’humanité, crimes de guerre et terrorisme commis au Rwanda et en République démocratique du Congo (RDC) entre le 1er octobre 1990 et 2002. A l’origine des mandats d’arrêt, la mort de neuf ressortissants espagnols massacrés dans le nord du Rwanda en janvier 1997. Il existe aussi, selon la justice espagnole, suffisamment de preuves contre l’actuel président rwandais Paul Kagame pour l’inculper pour crimes de guerre. Toutefois, il ne peut être poursuivi en raison de l’immunité accordée aux chefs d’Etat encore en exercice. Parmi les personnalités visées par les mandats espagnols, figure l’ancien chef d’Etat-major de l’armée rwandaise, le général Faustin Kayumba Nyamwasa, aujourd’hui exilé en Afrique du Sud et qui milite, avec Rudasingwa, au sein d’un parti d’opposition en exil qu’ils ont fondé avec d’autres transfuges de l’actuel régime. Le général en exil plaide son innocence. Dans un entretien accordé à RFI en juillet dernier, il déclarait : « En ce qui me concerne, oui, je suis prêt à rencontrer le juge espagnol. Je lui donnerai les preuves dont je dispose et je laverai mon nom ». Oeildafrique avec l’APA
Posted on: Tue, 29 Oct 2013 11:37:18 +0000

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