Mes petit loups, aujourd’hui, je ne mets que peu - TopicsExpress



          

Mes petit loups, aujourd’hui, je ne mets que peu d’informations en ligne concernant le 23 octobre, mais elles sont de qualité comme vous l’allez voir. Je rappelle qu’à 14h 30, salle Marie Mauron, à Sanary, j’accueille Jean-Pierre Brun, professeur au Collège de France où il est titulaire de la chaire des Antiquités nationales. De retour d’une fouille d’urgence qu’il conduit à Pompéi, il nous entretiendra des avancées que l’archéologie apporte à l’heure actuelle sur l’histoire de notre passé. Pour cela, il s’appuiera sur son expérience de terrain (directeur de recherches au CNRS, directeur de l’Institut français de Naples, ancien directeur du Centre archéologique du Var) et ses travaux d’historien (docteur d’Etat). Venez nombreux l’écouter et lui parler. Bien que l’atelier nécessite l’adhésion à l’association « Découvertes et Civilisations » que je préside, la première visite que l’on fait est gratuite. castrum d’Orves corps expéditionnaire d’Afrique création de lUnion de lEurope occidentale (U.E.O.) Entrevue Franco Hitler à Hendaye Entrevue Hitler-Laval à Montoire expédition d’Egypte Gapeau inondations des Pyrénées-Orientales Méounes mise en liquidation du Touring Club de France nouveau cimetière de Saint-Mandrier peste à Bandol, 1720 siège de Toulon, 1793 verrerie de la place des Capucins, La Seyne -1239 – 23 octobre – Collectivités – Selon l’acte 69 du cartulaire de Montrieux, le castrum d’Orves et son territoire sont partagés entre Hugues Jean, prieur de la chartreuse de Montrieux et Guillaume IV de Signes, seigneur d’Evenos, concernant un quart de la seigneurie d’Orves. Ce partage du terroir d’Orvès se fait sur arbitrage de Guy de Solliès, prévôt de la collégiale de Barjols. Guillaume de Signes fit alors reconnaître ses droits et ceux de ses hommes sur le quart du castrum et de son territoire ; l’acte fut souscrit par Geoffroi de Signes, seigneur de Rougiers, Guillaume de Signes, miles de Blanquefort, Aicard d’Orvès et Guillaume de Signes junior: « Evenos, extra turnum castri. De divisione territorii de Auronivis facta cum Guillelmo de Signa. ...Acta sunt hec in castro de Evena, extra turnum dicti castri, in quandam terrascia Raimundi Audefren. (témoins:) Gaufrido de Signa, domino de Rogerio; Hugone de Pradis, milite de Signa; Raimundo de Masalgis, milite; Guillelmo de Signa, milite de Blancafort ; Aicardo de Auroneves, converso domus Montis Rivi; fratre Bertrando de Salis, converso ejusdem domus; fratre Guigone, ...; fratre Durando...; Guillelmo Fabri de Oleolis; Guillelmo Marcho de Tholono; Guillelmo de Signa, filio Guillelmi de Signa, juniore; Guillelmo Alungno de Evena; Aicardo Dominico; Bertrando Lauteudo de Evena; ... » -1266 - 23 octobre : Elevage - Raimond de la Faïsse, baile de Méounes, déclare ne pas avoir autorité pour permettre aux habitants de Méounes de faire paître leur bétail au-delà du Gapeau. Témoins :] Ysnardus Gilii, Guilhermus Caloli, Guilhermus Fabri, Johannes Berardi. [Notaire :] Hugo de Balma -1720 – 23 octobre : Municipalité - Population – Risques majeurs - Santé - le vingt trois octobre, on enregistre un décès dû à la peste à Bandol. -1793 – 23 octobre : Communications - Economie - Municipalité - Population – Services - Pour récupérer le montant du règlement des étapes faites dans sa ville par les troupes de passage (17.202 livres), le représentant du Beausset est obligé de se déplacer jusquà Grasse, où a été transféré le siège du directoire du département, ainsi que le citoyen payeur général. -1801 – 23 octobre : Armée - Municipalité – Santé – Le 14 novembre 1801, l’Administration municipale de Toulon est informée par les intendants de Santé que les insignes des victoires de Bonaparte en Egypte étaient libres de leur quarantaine au Lazaret de Saint-Mandrier où ils se trouvent depuis le 23 octobre. -1810 – 23 octobre : Economie - Industrie – La verrerie de la place des Capucins a suspend sa marche pendant la Révolution mais par un décret du 23 octobre 1810, lempereur Napoléon Ier autorise les J.-J. et J.-B.-Léon Ferry à reprendre à La Seyne leur industrie. -1834 – 23 octobre : Armée – Guerre – International – Municipalité – Population – Ollioules héberge un détachement du 1er régiment de chasseurs : 86 hommes appartenant au corps expéditionnaire d’Afrique. -1887 – 23 octobre : Cimetière – Municipalité - Société – Urbanisme – Dans la séance du Conseil Municipal du mercredi 25 mai 1887, le Maire annonce que la commission dhygiène na pas accepté le terrain Brocard, choisi par la municipalité. Il le regrette, car dit-il, il ny a pas dautre terrain plus propice. Il ajoute que cette décision de la commission dhygiène privera Saint-Mandrier dun nouveau cimetière. Une commission se rend le 23 octobre à Saint-Mandrier afin dy étudier encore lemplacement dun nouveau cimetière. -1940 – 22 octobre : Guerre – International - Dans une petite gare française près de Tours à Montoire, le Führer a reçu, le 22 octobre, M. Pierre Laval, vice-président du Conseil. Lentrevue eut lieu dans le train spécial du chancelier en présence de M. von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères allemand. On sait que le lendemain, Adolf Hitler rencontrait le général Franco à la frontière espagnole, et le surlendemain, le maréchal Pétain, dans la même petite gare française. Voici le premier document photographique sur la rencontre du Führer et de M. Pierre Laval. Ce dernier, qui vient de pénétrer dans le wagon spécial, serre la main d’Adolf Hitler. On reconnaît, au fond, M. von Ribbentrop, et de profil, le Docteur Schmitt, l’interprète officiel. -1940 – 22 octobre : Catastrophe naturelle - Communications – Population – Santé - Urbanisme - Cent morts dans les inondations des Pyrénées-Orientales. Le désastre, sans précédent, atteint des proportions catastrophiques. Vichy, 22 octobre. Plus de cent personnes seraient mortes ou disparues et les dégâts s’élèveraient à un milliard de francs à la suite des inonda¬tions dans les Pyrénées- Orientales, qui ont obligé un mil¬lier de personnes à se sauver du département. On a recueilli les détails du désastre à Vichy, aujourd’hui même, à la suite du rétablisse¬ment des communications télé¬phoniques avec Perpignan. Cette ville avait été évacuée, on le sait, à cause de la crue du Tech. Amélie-les-Bains a été particuliè¬rement éprouvée. Le Canet- Plage et Port-Vendres ont été isolés par les eaux. La Croix-Rouge expédie des vivres, des vêtements et des médicaments dans la région par la voie des airs, puisque toutes les communications routières et ferroviaires ont été inter¬rompues. Cependant, on mande de Perpi¬gnan aujourd’hui que les pluies ont cessé. Le secrétariat d’État aux Com¬munications s’est préoccupé des destructions consécutives aux inondations dans le département des Pyrénées-Orientales. Des ingénieurs ont été sur place dès les premières heures. Ajoutons qu’un inspecteur géné¬ral avait immédiatement reçu mission de se rendre sur place. M. Berthelot a adressé par télé¬gramme l’autorisation d’une ouverture de crédits pour les travaux de rétablissement des com¬munications. A l’heure actuelle, les dernières nouvelles reçues de la région sinistrée indiquent qu’à Narbonne la pluie a cessé de tom¬ber et que la décrue s’accentue. Les quartiers de la Charité, de Lorraine, d’Arnizan et des Arè¬nes, qui étaient les plus grave¬ment inondés, sont à peu près dégagés. Cependant, la situation reste stationnaire dans la plaine de Mandirac, encore recouverte pas les eaux qui atteignent par endroits 1 m 50 de profondeur. La nuit dernière, les eaux de refoulement venues de l’ancien étang salin ont coupé la voie de Narbonne à Perpignan entre Mandirac et Dirussan ; le trafic ferroviaire a été interrompu pen¬dant quelques heures. Les rou¬tes de Narbonne à Cursac, Lézignan et Salies-de-Béarn sont complètement dégagées, mais on circule encore difficile¬ment de Villedome à Rossac. -1940 – 23 octobre : International – Société - Entrevue Franco Hitler à Hendaye. -1954 - 23 octobre : Collectivités – Géographie – International - Société - Accords de Paris créant lUnion de lEurope occidentale (U.E.O.). -1983 – septembre et décembre : Collectivités – Municipalité - Urbanisme - Les plans deau de Saint-Mandrier entourés par les quais Jean Jaurès et Séverine appartiennent à lEtat qui en laisse la gestion à la Chambre de Commerce du Var. Or, depuis 1968, le Touring Club de France gérait une parie de ce domaine public maritime dans le cadre dun contrat passé avec la Chambre de Commerce : le sous traité dexploitation. Mais depuis que le T.C.F. a déclaré sa faillite et été mis le 23 octobre 1983 en liquidation, cet accord est annulé et la gestion sen retourne à lEtat. Un contrat avait été signé entre les deux intéressés et devait se terminer en 2006. La Municipalité espère acquérir en location lancienne salle du restaurant qui appartenait au T.C.F. Elle lobtiendra et cette salle sera baptisée Salle Bailly de Suffren. -2013 – 23 octobre : Archéologie – Histoire - 14h 30, salle Marie Mauron, à Sanary, j’accueille Jean-Pierre Brun, professeur au Collège de France où il est titulaire de la chaire des Antiquités nationales. De retour d’une fouille d’urgence qu’il conduit à Pompéi, il nous entretiendra des avancées que l’archéologie apporte à l’heure actuelle sur l’histoire de notre passé. Pour cela, il s’appuiera sur son expérience de terrain (directeur de recherches au CNRS, directeur de l’Institut français de Naples, ancien directeur du Centre archéologique du Var) et ses travaux d’historien (docteur d’Etat). Venez nombreux l’écouter et lui parler. Bien que l’atelier nécessite l’adhésion à l’association « Découvertes et Civilisations » que je préside, la première visite que l’on fait est gratuite. Voilà, ce sera tout pour aujourd’hui, je vous souhaite une très bonne journée. Bises aux filles Cordiale poignée de main aux gars CPMG d’Okapi à Grizzly et aux autres Eclaireurs. Références : André Rossel, 1985. Eugène Castellan E., 1937, p. 12 ; p. 295. Gabrielle Démians d’Archimbaud, tome 3, chap. III, p. 90 Gérard Delaforge, Le Beausset et la Révolution française… Gisèle Argensse, 1989, p. 37 ; p. 88 ; p. 126. Henri Ribot, archives personnelles Jean-Charles Volkmann, 2003. Louis Baudoin, 1965, p. 268-271. M. Cayol, 1980 Paris-Soir, 23 et 30 octobre 1940
Posted on: Wed, 23 Oct 2013 05:24:23 +0000

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