Midi Madagasikara du 12/07/13 « Messieurs les chercheurs - TopicsExpress



          

Midi Madagasikara du 12/07/13 « Messieurs les chercheurs réviser vos copies » La langue indonésienne vient de la langue malgache Dans cette publication, nous allons comparer les résultats effectués par les Européens au sujet de l’origine des Malgaches se basant sur les données de l’Université et Musées scientifiques des Antiquités de Leiden Pays-Bas, qui est aussi un musée municipal de Lakenhal, et les résultats des recherches faites par le Professeur Rabi se basant sur les récits du Pert Hem Hru et sur l’histoire assyro-babylonienne et persépolitaine transmis par l’écriture hiéroglyphe et cunéiforme. Cette dernière est conservée dans la bibliothèque d’Assurbannipal (668-627), dans le Nabonid chronique et le cylindre de Cyrus II le Grand (556-530). La linguistique indonésienne a été créée par H. Neubronner Van der Tuuk dans son « Wörterbuch Lesebuch und Lehrbuch », mais par contre, son développement et sa méthode scientifique sont dus à Hendrick Kern qui y consacra sa vie. De nombreux chercheurs européens ont étudié en Indonésie un grand nombre de langues et de dialectes ; et leurs travaux font honneur à l’Ecole de Leiden. En 1893, le Docteur Renward Branstetter de Lucerne commençait la publication de ses « malaio-polynesische Forschung ». Ce sont ses travaux qu’on a pris pour guide. Les résultats des recherches effectuées par ces Européens convergent vers un point : la langue malgache est une langue austronésienne : « outline of a grammar of the malagassi language » (Royal Asiatic Society 1865 – p :410-446 – Van der Tuuk), A. Marre « aperçu philologique sur les affinités de la langue malgache avec le javanais, le malais et les autres principaux idiômes de l’Archipel indien » (Acte du 6é CIO section Polyne Leiden – 1895). Au temps de la « Gola », « Fahagola », le roi Sharruken « Sargon II » s’empara de Samarie et déporta la population en Assyrie, ainsi dix des treize tribus hébraïques y sont installées, d’où elles ne reviendront jamais et où très rapidement nous perdons leur trace. Ces Hébreux étaient non seulement dénaturés mais ont perdus tout-à-fait l’idiôme de leurs aieux accoutumés comme ils l’étaient au dialecte assyrien et aux caractères plus modernes dont les chaldéens avaient été les inventeurs. Dans cette horrible situation où la confusion battait son plein, délaissées par YHWH leur Dieu, perdues au fin fond d’un pays qui ne leur appartenaient pas, des nouvelles règles de grammaire sont nées, une nouvelle langue est apparue : le malgache. Première règle : disparition de « ch » et de ses dérivés devant un mot. « ch » était un pronom relatif hébraïque. Prenons l’exemple « shir » (chanson en hébreu), d’après cette règle, il devient « hir » mot assyrien : « hira » en malgache (chanson). Toujours d’après cette première règle, nous obtenons « men » de « shemen » : huile en hébreu. La deuxième règle de grammaire est l’ajout de « ka » suffixe chaldéen ; de cette deuxième règle de grammaire, nous obtenons « menaka » : huile ; ce qui démontre que « minyak » indonésien vient du mot malgache « menaka ». Notons que le « ka » est employé en français et qui s’écrit « q.u.e » : chimique, géométrique, géologique…..c’est le « ca » espagnol. Justifions ces règles par l’application du mot malgache « fahalemana ». En enlevant le « fa » de « va » qui veut dire « dans » et le « ha » qui est un article hébraïque, nous obtenons la racine de ce mot : « lemana ». Il existe encore une troisième règle assyro-babylonienne, l’ajout du suffixe « na ». Appliquons la réciproque de la troisième règle, nous obtenons « lema ». En remettant de nouveau le « sa » réciproque de la première règle, nous obtenons « salema » : paix. De même, les dérivés de « ch », « sa » « so » « si » « se » disparaissent après une conjugaison ; « sarona » devient « manarona », « soratra » devient « manoratra », « sisika » devient « manisika », « sepotra » devient « manepotra ». Les mots hébreux sont engloutis dans ce genre de règles grammaticales où il est impossible de sortir de cette nouvelle jungle de mots. Prenons l’exemple de « Barat » qui veut dire Ouest ou vent de l’Ouest en langue austronésienne. Monsieur Vérin était d’avis que les Malgaches étaient dans la confusion et ils ont perdu le sens de direction. En effet, toutes les langues et dialectes austronésiens disent « Barat » sauf les Malgaches qui disent « avaratra » : Nord . Voici un tableau provenant de la recherche de Otto Dempwolf : Malai barat westwind Batak barat westen Sunda barat westen Java barat westen Dayak barat westwind Makassar bara’ westen Tagalog habagat westwind Sangir bahe westen Ibanag abagat westwind Nias bara westen Malagassi avaratra norden Démontrons d’une autre manière, cherchons l’origine du mot malgache “Andrefana” : Ouest, pour justifier que le mot « avaratra » veut dire Nord. Et s’il en est ainsi, les Austronésiens disent des bêtises. Dans le mot « andrefana », une nouvelle règle s’est formée : la règle dite chaldéo-hébraïque, l’ajout de « ND » entre le « A » et le « R », ce qui rend « arefana » «andrefana ». En appliquant la réciproque de la troisième règle, nous obtenons « aref » : c’est le mot assyrien qui veut dire « Ouest » dont un dialecte nous donne « erep » où le « a » devient « e » et le « f » devient « p » ; c’est l’origine du mot « Europe » : là où le soleil se couche. Le mot arabe « MAGHREB » : « Ouest » est le dérivé de ce mot où le « a » devient « gh » prononcé comme le « « r » grasseyé parisien » et où le « f » devient « b » comme « ereb ». Des recherches intensives de ce mot « Barat » : Ouest ou vent de l’Ouest, ont abouti à un résultat étonnant. Le mot « Barat » vient du groupe de mot malgache « oram-baratra » : orage, prononcé en austronésien devient « Barat ». En effet, le mousson accompagné de grande pluie frappe chaque année les côtes Ouest des pays austronésiens et c’est pour cette raison que les autochtones prennent le « Barat » pour « Ouest ou vent de l’Ouest». Le mot austronésien « Barat » vient du mot malgache « oram-baratra ». Monsieur Vérin en sortirait honteux et confus. Jurerait sûrement qu’on l’y prendrait plus ! Professeur RABI A suivre
Posted on: Sat, 13 Jul 2013 18:08:05 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015