Mise au point du Ministre des Affaires Etrangères et de la - TopicsExpress



          

Mise au point du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération au sujet des prétendus faux passeports délivrés par le Ministre mar, 28/05/2013 - 13:59 -- Ass A la suite des informations pour le moins malveillantes publiées par le journal «Le Glaive», le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération se sent en devoir de publier la mise au point suivante, en guise de droit de réponse au journal «Le Glaive». Voici, en effet, la vérité des faits et de la procédure 1- Passeport diplomatique établi au nom d’une jeune fille arrêtée à Maya-Maya et qui a avoué avoir corrompu deux (2) agents du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération, en l’occurrence Madame OKONDZA et Monsieur MOUKILAT 2- Passeport établi aux noms des enfants du colonel «ONDZE» et qui seraient, en réalité, des enfants BIDOUNGA arrêtés à Roissy, documents établis par Madame OKONDZA avec la complicité de l’agent OPOSSO (Karim) en fuite en France. Ces cas et d’autres bruits ont conduit le Ministre à saisir la Police, depuis plus d’un an. En attendant la suite, le Ministre a suspendu ces agents et mis en place un nouveau système. C’est la dame OKONDZA Ambroisine, qui n’ayant pas réussi à réintégrer le système, a fait du chantage, en soutirant des documents officiels qu’elle a remis à son amant NOUMAZALAY, fils du défunt Président du Sénat, qui a menacé les services du Ministère, avant de saisir la Maison Militaire du Président de la République. Informé des procédures engagées devant ce dernier service, le Ministre a pris des contacts pour le respect des enquêtes menées à la DGST qu’il a de nouveau saisi. Cette décision a déplu à un commandant «TOKYO» qui a menacé de faire tomber les têtes au Ministère. Avec la complicité de l’amant d’OKONDZA, la campagne médiatique de dénigrement a commencé. Le Ministère demeure serein, la seule inquiétude étant la divulgation des dossiers d’Etat dans la rue: le caractère sensible ici est le volet diplomatique de l’accord passé avec la France et surtout l’image à l’extérieur de nos services, une question de crédibilité et de confiance. A ce sujet, le 16 mai 2013, l’Ambassadeur de France a été reçu en audience au Ministère et de la Coopération par le Ministre d’Etat, garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits Humains et le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération. A cette occasion, le diplomate français s’est félicité de la bonne gestion par le gouvernement congolais de l’accord sur le flux migratoire qui lie les deux Etats. En ce qui concerne les compétences, le Ministre est habilité, en vertu de l’article 7 du décret fixant les conditions d’attribution du passeport diplomatique, à examiner, discrétionnairement, les demandes émanant des autorités, et n’a pas à se justifier devant ses agents ou les médias dont certains organes comme «Le Glaive» et d’autres se livrent continuellement à des actes de provocation systématiques, sans qu’il soit formellement établi que leurs dirigeants justifient des qualifications requises pour être reconnus et agréés comme journalistes. Toute cette cabale qui porte atteinte à l’honneur des personnes et au crédit des institutions, à l’intérieur comme à l’extérieur de nos frontières, est orchestrée par Madame OKONDZA Ambroisine et Messieurs MOUKILAT et NOUMAZALAY et leurs complices, tous susceptibles d’être convaincus d’actes de concussion, de corruption, de faux et usage de faux en écriture publique avec comme support le Journal «Le Glaive». Monsieur NOUMAZALAY, amant d’OKONDZA Ambroisine, menace tout le monde et diffuse des fausses informations, à partir des formulaires de demande de passeport frauduleusement soustraits des archives du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération. Ainsi, la diffusion par le journal «Le Glaive» des photographies et autres documents concernant des personnes qui détiennent des passeports de façon régulière, de même que les amputations mensongères sur le Ministre dans cette affaire de corruption avérée, ne peuvent qu’engager la responsabilité pénale et civile de cet organe de presse et de ses dirigeants pour atteinte à l’honneur et à la considération d’autrui, ainsi qu’au crédit des institutions nationales. Dès lors, il devient urgent, impérieux et vital, pour notre société, que le Conseil Supérieur de la Liberté de Communication assainisse, profondément et sérieusement, les milieux de la presse, étant entendu que ces agissements et comportements regrettables et blâmables ne sauraient, sur plainte des victimes, laisser indifférentes les autorités judiciaires, gardiennes des droits et libertés de tous les citoyens. Le Ministre.
Posted on: Thu, 15 Aug 2013 01:47:38 +0000

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