NEWS: Bienvenu Okiemy a délibérément menti au gouvernement , même pour son âge et il vient de détourner 90 millions destinés à Globecast France Il existe des ministres qui ne devraient plus avoir leur place au gouvernement. C’est le cas du véreux ministre de la communication, des relations avec le parlement, porte parole du gouvernement. On compte sur les doigts d’une main ceux qui accordent encore du crédit à Monsieur Bienvenu Okiemy. Un ministre de la communication, franc- maçon qui plus est, qui s’est dévoyé dans une magouille sans précédent à son ministère. « Bienvenu Okiemy est le ministre le plus corrompu et corrupteur du gouvernement », soutenait dernièrement un opérateur économique au cœur de sa mafia. En outre, nombreux sont ceux qui le qualifient de menteur. Ils n’ont pas tort. Okiemy n’est pas aussi jeune ministre qu’on le suppose Le mensonge chez Bienvenu Okiemy n’a plus de honte ni de limite. L’intéressé n’est pas aussi jeune ministre comme on aime à le soutenir, soi-disant né le 14 juillet 1972. Bienvenu est né à l’hôpital général de Brazzaville à une date antérieure à celle qu’il a déclaré officiellement à la république. Idem pour son grand frère Willy Désoh. Les deux ont vu leurs âges rectifiés pour être scolarisé en France. Une source qui a requis l’anonymat était surprise d’apprendre du gouvernement que le ministre de la communication était né en 1972 puisque, selon elle, en cette année, ce dernier aimait déjà à courir avec une petite culotte trouée aux fesses dans le voisinage immédiat. « C’est tout de même curieux qu’à peine né, monsieur le ministre courait déjà », a-t-il fulminé. Et si Bienvenu Okiemy s’entête à dire le contraire, nous nous sentirons obligés de donner la preuve au public en publiant deux copies de ses actes de naissance distincts, le vrai et le faux. C’est dire que le ministre de la com a délibérément menti au gouvernement au sujet de son âge, comme il l’a d’ailleurs fait avec le paiement de Globecast, une société française qui se charge de l’acheminement des signaux des programmes audiovisuels congolais au moyen du satellite NSS7 à qui le Congo devait quatre cent vingt-trois mille cent-cinq et quarante neuf euros (423.105.49) soit plus de 275 millions, rien que dans la période du 10 février 2010 au 9 Août 2011. Un protocole d’accord signé le 1er juin 2011 entre la république du Congo, représentée par Bienvenu Okiemy et le ministre des Finances Gilbert Ondongo d’une part, et GlobeCast par son responsable commercial zone Afrique Lionel Antoine d’autre part, fixe les modalités de payement de cette dette dans la période allant de décembre 2011 à décembre 2015. Quand Bienvenu Okiemy détourne 90 millions destinés à Globecast Figurez-vous qu’en 2011, se servant de son DAF, Bienvenu Okiemy fera croire aux gestionnaires du Trésor public qu’il avait déjà débloqué dans son propre budget 90 millions pour le payement de GlobeCast et qu’il fallait dans ces conditions que le Trésor rembourse l’argent dépensé. Ce que les agents du Trésor feront dans l’ignorance totale. Ainsi, 90 millions liquide sortiront du Trésor public et seront remis au DAF qui les acheminera vers le ministre de la communication, Bienvenu Okiemy, tout en ignorant cette magouille. D’après certaines confidences, le coursier (le DAF) avait été remercié en monnaie de singe alors que ce dernier se sentit obligé, quelques temps après, de se décarcasser auprès du secrétaire général à la présidence, Jean- Baptiste Ondaye, afin d’obtenir du président de la république des ordres auprès du même Trésor public pour le payement manu militari de GlobeCast quand cette société avait interrompu le signal de Télé-Congo à cause de la somme détournée par Bienvenu Okiemy. Pour éclairer la lanterne publique, lorsque Globecast retire son signal, les images disparaissent. Il n’apparaît plus dans les écrans de télévisions que le noir. A ce moment, on fait souvent croire à une panne technique alors qu’il n’en est rien. « Voler n’offusque pas le roi » Pour éviter donc de ridiculiser tout un Etat, le gouvernement dut payer, sans jamais se rendre compte, deux fois la société Globecast. La première fois Monsieur Bienvenu Okiemy lui avait vendu du vent et empoché à titre privé les 90 millions de FCFA destinés à la société française et la deuxième fois, ladite société put recouvrer son argent. « Voler n’offusque pas le roi, c’est lorsqu’on veut prendre son fauteuil que cela pose problème », aime à renchérir le ministre de la communication. Allusion à peine voilée fait à l’impunité dont-il jouit de la part du chef de l’Etat. Un manque d’autorité du président de la république à l’endroit de ce prédateur de ministre dont sont complices ses protecteurs, Jean Jacques Bouya, Christel Sassou- N’guesso et les services de police qui sont bien au parfum de ses malversations financières.
Posted on: Sun, 06 Oct 2013 09:37:27 +0000
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