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Nb: une grande soirée du phenomene cr7 fallait un match « hors-norme », une « mentalité de gagnant » pour que l’équipe de France inverse la tendance face à l’Ukraine et se qualifie pour le Mondial brésilien. Si beaucoup en doutaient, les Bleus l’ont fait. Au terme d’un match séduisant et dominé de bout en bout, ils ont refait leur retard de deux buts pour créer un exploit retentissant (3-0). Retentissant, et historique. Commentaires RECHERCHER Chercher FLASH ÉQUIPE EQUIPE DE FRANCE 08:11 » EdF : Benzema surpris par le public 07:00 » EdF : Deschamps se moque des critiques... 01:47 » Quand les Bleus arrosent les journalistes ! 00:43 » EdF : Deschamps prolongé jusqu’en 2016 ! 19/11 » France-Ukraine : les compositions 19/11 » EdF : le message lancé par Domenech aux Bleus 19/11 » Edf : Hollande soutient les Bleus 19/11 » EdF : le mea culpa de Laurent Koscielny 18/11 » EdF : la compo probable contre l’Ukraine 18/11 » EdF : la terrible stat de Patrice Evra ! 18/11 » EdF : Lloris croit à la remontée face à l’Ukraine et en livre la recette 18/11 » EdF : l’UNFP appelle à la mobilisation générale ! 18/11 » Cascarino cartonne les Bleus 18/11 » TF1 prend ses distances avec les Bleus 17/11 » Porto : Lucho veut voir Mangala et les Bleus au Mondial 17/11 » EdF : Roger Lemerre croit à l’exploit 17/11 » EdF : ce que Deschamps et Le Graët ont dit aux joueurs... 17/11 » Edf : Pogba déjà leader malgré ses vingt ans 17/11 » EdF : Valbuena sait la France meilleure que l’Ukraine 17/11 » EdF : Ribéry veut montrer un autre visage 17/11 » EdF : Giroud compte sur le public français 17/11 » EdF : Varane titulaire pour le retour face à l’Ukraine ? Voir plus de flash : France – Ukraine : les notes du match Karim Benzema et la France verront le Brésil ! ©Maxppp La Rédaction FM Suivre @footmercato Tweeter 9 An error occured: Undefined variable: DailymotionPlayerInstream at undefined line undefined 90 minutes pour réaliser un exploit. Battue 2-0 lors de son barrage aller en Ukraine, l’équipe de France était au pied du mur. Pour ce retour au Stade de France, il fallait afficher du changement, surtout dans l’attitude sur la pelouse. Tous les acteurs l’ont clamé cette semaine, évoquant une prise de conscience collective, et au-delà de cela, un « état d’esprit revanchard. » Certains en doutait, les premières minutes ont répondu favorablement : dès les premiers instants, les Bleus ont prouvé leur envie, celle de se projeter vers l’avant, de faire preuve d’agressivité. Et il ne faut pas bien longtemps, pour voir les occasions fuser. Une frappe de Valbuena (2e) et une tête de Pogba (3e) sonnent comme les promesses de l’exploit tant attendu. Une petite période de possession ukrainienne pose un doute, finalement dissipé par un premier but : sur un coup-franc de Valbuena, Ribéry tente la volée et sollicite Pyatov, lequel relâche le ballon dans les pieds de Sakho qui n’a qu’à pousser le cuir au fond (1-0, 22e). Le Stade de France commence à y croire. Et la suite de la rencontre vient le conforter dans cette idée. Car les Bleus poursuivent leur domination. Ils gagnent tous les duels, font étalage d’une volonté et capacité à aller de l’avant rarement entrevus, et surtout, continuent de voir les opportunités se présenter. Pogba s’essaie à une nouvelle frappe lointaine, et Valbuena force Pyatov à l’acrobatie (31e). C’est finalement Karim Benzema, qui concrétisera l’écrasante supériorité française : l’avant-centre du Real réceptionne un ballon contré et trompe alors le portier d’une frappe croisée (2-0, 34e). Ironie du sort, lui qui s’était injustement vu refuser un but valable pour un hors-jeu inexistant quelques minutes plus tôt, se trouvait cette fois dans une position illicite. Les compteurs remis à 0, le constat était donc double à la pause, l’EdF ayant ainsi refait son retard en l’espace de 45 minutes. Et comme si le vent avait définitivement tourné, les hommes de Didier Deschamps voient un nouvel élément jouer en leur faveur à dès la reprise. Coupable d’un tacle en retard et dangereux sur Ribéry, le défenseur central Khacheridi est en effet expulsé (47e), laissant l’Ukraine à 10. Une aubaine pour les Bleus, qui, cependant, se frottent à une solide résistance par la suite et un bloc regroupé. Matuidi et Cabaye se rapprochent du but, Benzema et Ribéry tentent en force (58e, 64e) mais la précision fait défaut. Un souci qui semble tenace, jusqu’à l’approche du dernier quart d’heure. Cabaye règle enfin la mire en forçant Pyatov à l’arrêt (71e), imité dans la foulée par Evra (72e). Les signes annonciateurs du but espéré, finalement inscrit par Gusev contre son camp (3-0, 73e) devant la pression de Sakho sur un centre de Ribéry. Objectif atteint, les Bleus termineront la rencontre balle au pied. Et ils pourront, au coup de sifflet final, se targuer d’avoir réalisé un exploit historique. Aucune équipe n’avait réalisé pareil renversement de situation en barrages, ils l’ont fait. D’autant plus fort, dans le contexte hostile où ils évoluaient. En attendant, Didier Deschamps et ses hommes iront bien au Brésil. L’homme du match : Sakho (8) : Un engagement de tous les instants du roc de Liverpool, récompensé par le but de l’ouverture du score, consécutif à un corner (22e). Il a ensuite poussé Gusev au csc (73e), synonyme de libération pour les Bleus. Défensivement, le natif de Paris, sur l’homme et dans les airs, a verrouillé l’axe avec des interventions musclées (1e, 6e, 55e, 62e) et décisives sur de grosses occasions adverses (19e, 45e +1). Averti (45e). France : Lloris (6) : le capitaine de l’équipe de France n’a pas eu grand-chose à faire, mais il a eu le mérite d’être vigilant sur les rares situations chaudes des Ukrainiens, en captant un coup franc vicieux (16e), en se couchant bien sur un ballon qui traînait dangereusement dans ses 5,5 mètres (70e) et en gobant parfaitement la dernière occasion adverse (90e +3). Debuchy (5,5) : s’il a eu du mal à prendre le dessus sur ses adversaires en phase offensive (un seul centre 39e), le défenseur de Newcastle s’est attaché à bien tenir son couloir face à un Konoplyanka toujours menaçant. Attentif, il a effectué plusieurs bonnes interventions (18e, 40e, 45e +1, 68e). Un sauvetage providentiel sur sa ligne (45e +1) et une frappe à côté à signaler (67e) par ailleurs. Averti (69e) et remplacé par Sagna (78e). L’arrière-droit a fait le métier pour contenir les timides offensives ukrainiennes en fin de match sur la droite. Varane (6) : le Madrilène, de retour de blessure, a assuré dans le jeu aérien, domaine très important ce soir, et sur la majeure partie de ses relances courtes (une seule erreur sans gravité 14e et quelques ballons longs perdus). En revanche, il a parfois semblé fébrile dans les duels balle au pied face aux Ukrainiens (27e). Sakho (8) : voir ci dessus Evra (6,5) : le latéral gauche, malgré une absence sans conséquence (18e), s’est montré sûr dans son couloir, au diapason de ses partenaires dans l’envie, à l’image de son tacle rageur (26e). Présent devant pour apporter le danger en soutien de Ribéry, comme sur son petit numéro et son décalage pour Ti’Franck (64e), il n’a été en position de centre que deux-trois fois, sans trouver sa cible (67e). Cabaye (8) : en un mot : énorme. La sentinelle des Bleus a abattu un boulot monstrueux. Exemplaire dans l’engagement, le Magpie a enfilé son costume de patron pour imprimer le rythme dans l’entrejeu. Des récupérations balle à la pelle, des orientations de jeu bien senties et bien exécutées, ainsi qu’un autre tir dangereux (71e) : un match quasiment parfait. Matuidi (6) : le Parisien a mis du temps à entrer dans son match, mais il s’est finalement révélé primordial au milieu, aidant à la fois Cabaye dans les basses besognes et se projetant vers l’avant à souhait. Généreux comme à son habitude, il lui a malheureusement manqué un peu de lucidité pour conclure ses actions (51e, 63e). Pogba (7,5) : le Bianconero a pesé de tout son poids au milieu, bien plus mordant qu’à l’aller. Intéressant dans le jeu long, grâce à ses merveilleuses transversales, et les petits espaces, grâce à sa protection de balle, il s’est créé plusieurs occasions (9e, 25e) sans parvenir à cadrer. Valbuena (7,5) : à droite, le Marseillais a avalé un terrain monstrueux. Il s’est montré sans cesse disponible, jouant simple dès qu’il le pouvait. Il a fait briller Pyatov sur une magnifique frappe (31e) avant de servir Benzema de la poitrine sur le deuxième but tricolore (33e). Très performant sur coups de pied arrêtés. Précieux, comme toujours en Bleu. Ribéry (6,5) : le n° 7 a créé le danger à chaque débordement (2e, 23e, 51e), provoquant d’ailleurs l’expulsion de Kacheridi en début de seconde période (47e). Il a toutefois eu tendance à trop porter le ballon, là où le jeu simple s’imposait parfois, même si sa passe pour Benzema aurait mérité mieux (58e). Deux frappes au-dessus (64e, 81e) par ailleurs. Benzema (5,5) : l’attaquant du Real Madrid a fait ce qu’on attendait de lui en marquant (33e). A part ça, un match pas franchement emballant. Souvent pris en position de hors-jeu, il a eu du mal à bien combiner avec ses partenaires et à se montrer dans la surface adverse. Un tir au-dessus (58e) et un bon décalage pour Ribéry (81e) à signaler. Remplacé par Giroud (82e). Le Gunner se créé deux occasions de la tête d’entrée (85e, 86e). Ukraine : Pyatov (6,5) : en dépit des buts qu’il encaisse, on ne peut pas reprocher grand-chose au portier ukrainien. Il ne peut rien sur la réalisation de Benzema (34e), et stoppe des tirs avant les buts de Sakho (22e) et de son coéquipier Gusev (73e). Entre-temps, il s’est illustré avec des parades folles sur Valbuena (31e) et Giroud (86e), ainsi qu’avec des prises de balles qui ont soulagé une défense dépassée. Un match solide. Mandziuk (3) : le latéral droit ukrainien, qui n’était pas présent lors du match à Kiev, n’a pas eu la réussite de son prédécesseur. Comprendre par-là, qu’il a éprouvé toutes les peines du monde face à un certain Franck Ribéry. On ne compte pas le nombre de débordements de l’ailier français, qui s’est littéralement amusé de son vis-à-vis ce soir. Khacheridi (2) : soirée cauchemardesque pour le central ukrainien. Apparu solide à l’aller, le défenseur a livré la prestation inverse au retour. Placement hasardeux, interventions trop musclées… et en apothéose, l’expulsion suite à un énième tacle en retard sur Ribéry (47e). Y est pour beaucoup dans le naufrage des siens. Rakytskiy (4) : apparu un peu mieux que son acolyte de défense centrale. Mais impossible, au regard de la physionomie, d’évoquer un match plein de l’Ukrainien. Hormis quelques duels aériens glanés, il a eu énormément de mal devant la mobilité des attaquants français. Des difficultés que l’on pourrait appliquer à la totalité de l’équipe ukrainienne. Shevchuk (3) : à l’instar de son pendant côté droit, il s’est retrouvé noyé sous les assauts français. Souvent débordé par Valbuena, il est laxiste au marquage sur nombre de centres effectués par ce dernier. Rotan (4) : le capitaine ukrainien a livré une prestation identique à celle de son match aller. Autant dire qu’il a effectué un certain nombre d’interventions musclées. Mais comme le laisse suggérer son carton jaune obtenu prématurément (7e), il n’y a pas mis la même justesse, et finalement, pas la même intensité en terrain hostile. Bezus (5) : le milieu défensif a fait le boulot. De sa grosse activité, il a permis aux siens de gratter quelques ballons et faire avorter des offensives françaises. Trop peu, mais sans doute était-il trop seul à faire preuve d’une certaine application. A également été l’un des rares ukrainiens a avoir tenté sa chance, avec une frappe lointaine passée de peu à côté (49e). Remplacé par Gusev (64e), qui est le malheureux qui marque le 3e but des Bleus, contre son camp (73e). Edmar (3) : décisif lors du match aller, où il avait notamment brillé par son apport défensif et distillé une passe décisive, le milieu de terrain a été inexistant ce soir. Pas une passe transcendante, pas un tacle déterminant, pas une action notable. Invisible, c’est le mot. Konoplyanka (4) : le talent ukrainien, souvent sevré de ballons et muselé par Debuchy, n’a pas été en mesure de faire étalage de sa technique. Quelques coups de pieds arrêtés ayant apporté du danger, mais globalement, pas de quoi mettre son équipe sur de bons rails. Yarmolenko (4) : leader technique de la formation ukrainienne, le numéro 7 n’a pas assuré le spectacle. Parfaitement pris par un Evra hyperactif, il n’a pas eu de bons ballons à exploiter. Un seul, en réalité, sur lequel il manque de trouver la faille, à un Debuchy près (45e). Zozulya (3) : le sosie capillaire de Cambiasso, buteur lors du match aller à Kiev, n’a pas eu un seul bon ballon à négocier, en plus d’avoir souffert devant la paire Sakho-Varane. Inexistant, lui aussi. Remplacé par Seleznov (76e), lequel n’aura pas fait mieux.0
Posted on: Wed, 20 Nov 2013 07:48:12 +0000

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