Non ! Ce n’est pas de la politique fiction !! Souvenez-vous il - TopicsExpress



          

Non ! Ce n’est pas de la politique fiction !! Souvenez-vous il n’y pas si longtemps : Il ne s’agissait pas de Dominique Strauss-Kahn, mais de l’ancien directeur général du FMI, Horst Köhler, actuel Président de la République fédérale d’Allemagne élu le 23 mai 2004 pour cinq ans et réélu le 23 mai 2009, qui avait occupé le même poste quelques années avant DSK. Ce clin d’œil montre que ce haut poste de l’économie mondiale (qui a rang de chef d’État) peut mener à tout, même à atteindre la plus haute magistrature de son pays (pour l’Allemagne à titre très honorifique). Mais revenons à Dominique Strauss-Kahn et à sa possible candidature à l’élection présidentielle de 2012 celle-ci sous les impulsions internes du Parti socialiste, dont l’histoire dans très peu de temps, nous dira qui donna Dominique Strauss-Kahn aux autorités américaines, afin de mettre à l’abri derrière de solides barreaux d’une prison New-yorkaise à la suite de nuits très glauques et lui en détruire sa vie dans une course interne du PS à la présidentielle, où tous les plus vils coups en furent permis ! Qui savait ou ne savait pas de ses virées nocturnes au sein du PS, qui avait le plus de raisons afin de l’éliminer, nous en avons désormais, le gagnant comme président, aux sordides jeux des éliminations de qui en empêchait l’éventuelle ascension au rôle suprême de président de la république le 6 mai 2012. . Novembre 2009, des sondages élogieux depuis juillet 2009, démontrent que le personnage jouissait d’une très forte popularité auprès des Français et en début novembre 2009, on le donnait même gagnant dans un second tour face à Nicolas Sarkozy (les sondages dans leur intégralité sont téléchargeables ici et là mais furent tous identiques). On a beau critiquer ou aduler les sondages, ce sont eux qui rendent une candidature à l’Élysée "naturelle" ou pas. Et ce n’est pas récent. Jacques Chirac s’en servait déjà en avril 1974 pour soutenir la candidature de Valéry Giscard d’Estaing, constatant que Jacques Chaban-Delmas ne tenait pas la route dans les sondages face à François Mitterrand. Pour la première fois depuis le début de la République, démentant d’éminents politologues (comme Alain Duhamel), la candidature de Ségolène Royal fut montée en mayonnaise par un effet médiatique persistant et des sondages qui tournaient en boucle ce ne fut alors qu’à ce prix qu’elle fut candidate face à Nicolas Sarkozy la suite nous la connaissons tous et devons de façon dramatique, devoir la vivre, puisque faute de DSK les médias portèrent sur les fonts baptismaux un certain François Hollande. Fernand Chaput.
Posted on: Mon, 26 Aug 2013 07:03:29 +0000

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