Opuhara, héritier de Tetunae Qui est Opuhara ? L’identité - TopicsExpress



          

Opuhara, héritier de Tetunae Qui est Opuhara ? L’identité est un héritage que nous tenons de nos ancêtres de notre famille. Opuhara est le descendant de Tetunae « le législateur », fondateur du marae Farepua (Papeari) « Maison de corail ou maison blanche, lumineux ». Marae auquel se rattache la royauté maohi. Ancien emplacement du marae Farepua à Papeari, selon un ancien (Hiti rere) du village de papeari. Toutefois, Vonnick Bodin situe -dans son livre Tahiti la langue, la société- le marae Farepua sur la rive droite de lembouchure de la riviere Paui, du côté de la pointe de Tau-noa. Elle évoque aussi un autre marae Fare pua du côté de Ati ma ono. Ainsi, Opuhara a reçu en éducation les préceptes, les règles de conduite, les valeurs, le savoir vivre de Tetunae. Voici les préceptes retranscrits par princesse Takau Pomare dans son ouvrage « Mémoires de Marau Taaroa ». En tant que Arii nui, Tetuanae établit des lois sévères, dont deux étaient d’une importance primordiale, personnifiant le grand esprit de fraternité dans le peuple ; et qui fut la base de l’hospitalité qui est, a été et sera toujours la marque distinctive des Tahitiens. Les ordonnances établissant ces principes, remises par Tetuanae au grand-prêtre et authentifiées par lui, devinrent sacrées. Leur pouvoir fut si grand que leur esprit et leur essence ont survécu jusquà nos jours. Ce fut lui qui institua nos lois sociales, magnifiques dans leur grande simplicité et puissance ; ce fut lui qui encouragea son peuple à travailler, ce qui permit à Tahiti d’être à la tête des îles de ce groupe. Voici quelques uns de ces préceptes : *Respect est dû par tous au arii, à ses enfants, à sa famille. Le arii est aussi sacré qu’un dieu. Il est descendant des dieux. *Tous doivent le respect au grand-prêtre et à ses ordres. Ils sont sacrés par le caractère sacré dérivé des dieux. Vous devez construire ses maisons, lui fournir sa nourriture et ses vêtements. *Vous devez le respect aux Hiva de Hooma tavana. Ils sont nobles, car ils sont les gardiens de l’honneur du pays. *Vous devez le respect au Taumihau. Ils doivent être honorés, ils sont le pouvoir exécutif du gouvernement. *Au pays qui vous fit naître, vous devez le respect, c’est le parent. Tous doivent regarder leur montagne, c’est l’honneur de votre lieu de naissance. *La tête du arii doit être honorée, c’est la place d’honneur du corps. *Vous devez le respect au matahiapo, premier né. Il est votre paarae, le front, la tête. *Au sang de leurs parents, tous doivent le respect. Prends garde de ne pas pécher contre cela. *A vos parents du sang ou d’adoption, à votre famille, vous devez demeurer fidèles. *Ne détournez pas vos yeux de votre famille dans le malheur. *Aidez-vous mutuellement dans toutes vos entreprises, entraidez-vous pour construire vos maisons, pour faire les nattes pour le faîte des toits, les nattes pour couvrir le sol, les tranchées pour le drainage autour de la maison. Tout le monde doit y donner du sien. Ne pas le faire serait négliger son devoir. *Ne détourne pas tes yeux de celui qui passe devant ta maison sans l’inviter à entrer pour manger. *Tu dois partager ta nourriture avec ton voisin. *Ne regarde pas avec indifférence le voyageur qui passe devant ta porte. *Tu dois l’inviter à entrer chez toi, ton cochon devra être tué, ton bol graissé par la nourriture que tu lui offriras. Quiconque ne respectera pas cet ordre sera traîné sur la place publique pour sa honte ; sa faute ne pourra jamais être cachée ; le arii aura le droit de confisquer ses terres pour le punir. *Que tes mains soient toujours ouvertes. Tu ne dois jamais refuser ce qui t’est demandé. *Tu dois le respect aux guerriers ; ils sont les protecteurs de l’honneur du pays. *Sois attentif à respecter le jour de prière sur le marae. C’est un jour sacré. Quiconque ne le respectera pas sera puni de mort. *Le sang doit payer pour le sang. Le arii doit faire sienne la vengeance justifiée qui lui sera demandée. *Tout ce qui est tapu ne doit pas être mangé : la tortue, le urupiti, tous les gros poissons de la mer et du lagon, la poitrine et le filet de porc, les premiers fruits de la terre. Tous cela est réservé. Ces aliments sont prohibés. *Le rahui, prohibition d’aliments pour le arii, doit être honoré par tous, sinon, celui qui désobéira sera puni de mort. Les préceptes en réo maohi : * Ia tura i te taata te ai’a, te metua i fanau ia outou. * Ia hi’o te taato’a i tona mou’a o te hanahana te reira o te ai’a. * Ia tauturu te tahi i te tahi i te hamaniraa i to outou mau fare. * Ia raraa ho’i te mau vahine i te mau peue e ia faaineine i te mau rauoro no te fare. * Ia rave taato’a i te ohipa, te taata tana tuhaa ohipa. * Tei ore i na reira ra, ua riro ia ei hapa ino nona iho. * Eiaha outou e hi’o mata noa I te taata e haere na to outou pae fare, mai te pii ore atu e :a tapae mai i te fare nei e tamaa. * Eiaha te mata e tapo i te hapahapa a te fetii, e auahi aama te reira i roto i te utuafare. * Eiaha na te tari’a, na te mata ra e hi’o i te ohipa a te feia afa’i parau ino. * Ia faaroo te tari’a e haapô aera te mata ona iho te pepe. * Ofati na i te mana’o iria vave noa, o te riro ei faaotu’itu’i i te tino e o te haapouri i te mata i te mea ti’a. * E tahu’a maita’i te feruriraa mana’o ! * Eiaha te tari’a e horo’a i te parau a te taata ori haere noa, e ata taata noa oia, e hotu painu haere noa, aore e tauraa. Voici ce que Marau dit de Tetunae : Bien longtemps avant que les blancs ne débarquent sur nos rivages, bien avant que les maladies n’eussent réduit la population qu’avait évaluée Cook, le fameux Tetuanae, Arii nui de Farepua, descendant des dieux Taaroa et Tane, régna sur Hiti nui. C’était ce qu’on pourrait appeler son âge d’or. L’histoire nous a transmis son nom comme un homme doué de grande sagesse, d’une haute intelligence et d’une personnalité remarquable. Un véritable enfants des dieux, il était honoré, aimé et adoré. Il était un Arii nui, de la race des Arii, une position qui lui donnait tous les droits de supériorité dérivés des dieux, pouvoir peut-être plus grand, à cause de son caractère sacré, qu’aucun monarque européen n’eut jamais. Les ceintures de plumes rouges et jaunes, le maro ura et le maro tea, symboles de sa prééminence divine, signifiaient plus que la couronne et le sceptre de la royauté européenne. Né un Arii, il fut initié depuis son enfance, à tous les secrets du marae et des institutions et reçut l’éducation supérieure qui était réservée à un arii de ces temps-là. L’ordre des Hiva, dont il était le premier Arii, en même temps qu’un de ses membres distingués, avait été institué pour faire ressortir sa beauté physique et ses prouesses athlétiques. Voici ce que Mai arii dit, publié dans « Généalogies commentées des Arii des îles de la société » : « Un esprit sage et une âme pacifique sont les meilleurs lances d’un roi ».(Préceptes de Tetunae) Pour commémorer la consécration de son petit fils Tetunae II, il ordonna que l’île ne soit plus appelée Hiti nui mais Tahiti et Tetunae II fut ceint du Maro’ura sur le marae Tahiti : En prévision du sacre de ce petit fils et de ses successeurs, Tetunae nui avait formulé des maximes ou des règles de conduite pour tous les futurs arii descendants, voici quelques uns de ces préceptes dans leurs textes originaux. Reo maohi : Mai ia Taurua-horo-po’ipo’i ra oe E noho oe i ni’a i te ihu o te vaa nui ra E’ai oe i te popouru o te puaa. Tei ia oe na te ora e te pohe o te taata E ara ra o te fati te ama, te paturu O te tiatia o taua vaa ra ia oe ; E taupe to upoo i raro i te repo i tona teiaha. Eiaha te riu hau’a ino o te utuafare E afa’ihia na te arati’a te ninii atu E riro ei vari tararapu, e ma’a Au i te vaha o te mano. Fa’aatea è atu i to utuafare te mau Fa’aarearea tahinu noa I te mono’I No’ano’a, e riro ratou ei tumu e Paremo ai to aau I te fa’aahaaha E au I to te hunareho ra. Ia amu oe I te Hau, haamana’o à, E titi fatu rau te hui taata o te Fenua, e mata ara ohie i te Hapa e te reo faahepo, ia î te Aau eita e roroa ua mau te otaa, Ua fariu te mata i te fatu api. Eiaha to utuafare ia parihia i te Ma’a pahapa(horo’a ino), eiaha to I’oa ia amuihia I te ma’a tahuna I te tao’a pipiri. Ei rima horo’a Noa to te arii e ti’a ai, tei ni’a I teie nei mea to hanahana i te vairaa. Eiaha to vaha ia riro ei vairaa no Te tu’a, ei vairaa râ no te Vaianu. Ia au to te arii riri i te mata’i ra E Maraamu, te ore e faaroohia te Haruru. Eiaha ei riri vai Tamau, ia pee vave noa râ Mai te Pato’erau ra. E ha’ana tama’i te ohipa a te Hau No oe ra, e opu po’ia ia te hope’a. E ore te omore e faatupu I te ‘ai, E ore ho’i te taro e puâ. Haamana’o A ei ma’a e mau ai Te taata i to fare. Version française : • Tu es pareil à «Taurua », l’étoile du matin. • Tu te tiendras à la proue de la grande pirogue (symbole du gouvernement) et tu mangeras du filet de porc. • Tu as droit de vie et de mort sur les hommes, mais garde-toi d’endommager le balancier, appui des membrures de la pirogue, son poids fera ployer ton front jusquà terre. • Les eaux sales de ta maison ne doivent pas être répandues sur le chemin où elles se transforment en boue liquide, pâture agréable au palais des vers. • Eloigne de ta maison les amuseurs oints d’huile parfumée, ils perdraient ton âme en t’enseignant la vanité propre aux hommes du commun. • Lorsque tu goûteras du pouvoir, souviens-toi que le peuple est l’esclave de plusieurs maîtres. Il a vite fait de discerner tes travers et de s’alarmer de tes abus de langage. Quand la coupe est pleine, les ballots sont vite noués et les yeux tournés vers de nouveaux maîtres. • Ta maison ne doit pas être accusée d’être une cachette de biens et d’aliments ; ton nom ne doit pas être associé à de telles pratiques. • La main d’un arii doit toujours être disposé à donner, ton prestige repose sur cela. • Ta bouche ne doit pas servir de mangeoire aux vers, elle ne doit receler que le « Vaianu ». (plante calmante) • La colère d’un Arii doit être pareille au « Mara’amu », elle ne doit être entendue et doit être de courte durée, se dissiper comme le « Pato’erau ». (vent du nord) • Si les larmes de guerre doivent être le travail de ton gouvernement, la faim en sera le fruit. • La lance ne fera pas pousser la nourriture et le taro ne fleurira pas. • Rappelle-toi que l’on tient l’homme à son service que par la nourriture. Opuhara a donc reçu en héritage ces préceptes destinés aux arii. Ce sont ces valeurs quil a défendues jusquà son dernier souffle. Voici la généalogie de Tetunae a Amo et Purea, à la période considérée comme celle de contact avec les voyageurs tels que Wallis, Bougainville, Cook puis les missionnaires. Nous remercions Moanaura Walker pour le partage de son travail sur cette généalogie qui figure sur son site Tehivarereata Le 12 Novembre 1815, Opuhara a perdue la vie, lors de la bataille de Fei Pi. Au travers différentes lectures jai apprise, que quelques jours précédent la bataille, Opuhara, Upufara (prière de sagesse, et non, ventre du mal) se trouvait a Tautira, non loin de lembouchure de la Vai te piha, sur le marae de Taputapuatea. sur la pointe de Tautira Il est écrit que Upufara y faisait un Puriri, une cérémonie spirituel, ésotérique....Jai essayé den savoir plus, nhésitez pas a me corriger, car je vais entrer dans le domaine des suppositions, puisque je nai pas décrit....... Upufara , était le frère cadet de Tati , il est reconnu que Upufara , était destiné à la prêtrise, au maro Tea, de ce fait , il devait être un Avae Parai ( Jambe Tatoué) dans la société Arioi , cest a dire que Upufara aurait été le chef de sa confrérie de Arioi sur Papara , dont la maison Arioi est Titi puta roa, non localisé ( cf. Vonnick Bodin , Tahiti la langue , la société) Toutefois lorsque Upufara deviendra Arii Nui, on est en droit de penser que Upufara va conserver son titre de Avae Parai au sein de la confrérie Arioi, et quil cumulera , le pouvoir Politique , mais aussi le pouvoir Spirituelle, vu quil était Tahua a lorigine. Lorsque Upufara se trouve sur le Marae de Taputapuatea a Tautira, nous sommes a quelques jours de la pleine lune, Oro est le dieu de Tahiti, En très peu de Temps, note Oliver, Oro était devenu non seulement le dieu de la guerre, ou le dieu le plus puissant mais Le DIEU tout court. Cette tendance a la monolâtrie fait clairement écho à lévolution des chefferies Tahitiennes vers une royauté sacrée de type centralisé, qui parvint finalement à se mettre en place, comme dautres lont dit , grâce au soutien européen Alain Barbazan Les dépouilles des dieux p 307 En Tant que dieu de la fertilité-fécondité, Oro est dénommé Oro i te tea moe. Son emblème était un triangle (la pointe en bas) formé de trois lances, signifiant qualors (pendant les rites Arioi) Oro était un dieu de Paix. En tant que dieu de la guerre, Oro est invoqué sous les noms de Oro Haia, Oro Taua : Oro le Tueur, Oro le guerrier ...Alain Barbazan Les dépouilles des dieux p 305 Nous sommes dans le mois de Tema, ou Te Mata Roroa, qui commence a la nouvelle lune situé dans notre calendrier dans le mois doctobre. Cest le mois lunaire qui précède La cérémonie de Matarii, En effet le Matari’i correspond à la fois, à la montée dans le ciel des Pléiades, appelés Matari’i, et de la Nouvelle lune annonçant le mois de Te tai, le cri qui est aussi la saison de la fleuraison de la fleur de Pua. C’est a ce moment que se célèbre Matari’i, qui annonce a la fois La nouvelle année Lunaire, mais aussi La saison d’abondance. C’est a ce moment que Oro Haia, Oro le tueur, laisse place a Oro i te te’a mo’e, Oro de la paix, Le Oro de la fertilité -fécondité . ( que doit etre reespecté une treve de paix) Upufara, se trouve donc à Taputapuatea, a Tautira à quelques jours de la pleine lune, ou il est écrit qu’il faisait un Puriri. Je pense que ce Puriri correspond à une Offrande de coco juvénile, (dictionnaire de Stimson, seul traduction du mot Puriri,) De plus nous sommes à quelques jours de la pleine lune, auxquels sont consacrées les trois sœurs de Oro. La pleine lune est une période très importante pour Les Ari’oi qui font un culte important a la déesse Hina On peu également supposer que Upufara, était a Taputapuatea pour préparer les cérémonies de Matari’i L’arrivée du temps de l’abondance, mais aussi une période de paix. Ou il était interdit de faire la guerre… C’est donc à Tautira, sur le marae de Taputapuatea, qu’il va apprendre que Pomare II a débarqué à Tahiti, avec une armée munie de mousquets Upufara, va décider de lever son armée une dernière fois avant les cérémonies de Matari’i . On peut supposer qu’il le fait à contrecœur, car il est très attaché aux cultes des dieux, et on peut croire qu’il aurait préféré se consacrer aux rituels préparant l’arrivée de Matari’i . Mais, il ne peut prendre le risque de laisser Pomare II s’approcher avec une telle armée, alors que les cérémonies de Matari’i approchent, et que devra être respecté le temps de paix Upufara, sait que Pomare II est sans scrupules, qu’il ne respectera pas la Trêve imposé par Matari’i. Il sait que Pomare II n’hésitera pas à attaquer de nuit sans déclaration de guerre, et n’hésitera pas à Tuer, femmes, enfants et vieillards, comme il l’a fait en 1808 (généalogies commentées des Arii des iles de la société Mai Arii p 95). Upufara, sait que Pomare II est un homme sanguinaire, assoiffé de pouvoir, et qu’il est soutenu par les missionnaires qui souhaitent imposer leur dieu. Il sait que Pomare II ne respecte aucune règle, qu’il n’a pas hésité à tuer les héritiers du Maro ura de Papara en 1808 alors qu’ils se trouvaient a Farepua avec leur mère, dans le seul but d’assoir son pouvoir de Arii sur Tahiti. (Il faut savoir que cette victoire fut de courte durée pour Pomare II, parce que Upufara a la tète d’une grande armée et soutenu par la majorité des Arii de l’ile de Tahiti obligea Pomare II à s’enfuir a Moorea avec son armée et le missionnaire Nott). De 1808 à 1815 Upufara va régner en tant que Arii Nui sur Tahiti On peut lire dans les « généalogies commentées des Arii des iles de la société » de Mai Arii p 96 : « …Vers la de l’an 1815, Pomare II devenu chrétien mais pas encore baptisé, débarqua à Tahiti avec une armée considérable dotée d’armes à feu et encadrée de marins déserteurs des bateaux européens. Opuhara, apprenant ce débarquement en force de Pomare II et son avance vers Paea, marcha avec son armée de Teva i Uta à la rencontre de l’ennemi sans attendre ses alliés de la presqu’ile, les Teva i Tai (sur ce point je voudrais rappeler que les cérémonies de Matari’i approchent, et toute la difficulté de reprendre la marche de la guerre, alors que chaque district se prépare à célébrer l’abondance, et respecter la trêve de paix) Malgré toute sa bravoure, le dernier Arii nui de la Dynastie des Teva, fut tué d’un coup de fusil dans cette tragique bataille appelée plus tard la bataille de « Fei pi » L’affrontement eu lieu aux environs du Marae Outu ai mahu rau , appelé par la suite Marae Narii, en souvenir de cette lutte à mort entre deux Arii : Opuhara dernier défenseur de la civilisation ancestrale, de la religion et de la culture traditionnelle du pays et Pomare II partisan d’une nouvelle civilisation, d’une religion nouvelle venus d’ailleurs. » On peut comprendre que Upufara n’avait pas le choix, soit Il se rendait a Paea, ou se trouvait la Frontière avec les Te porinuu, le clan des Pomare, soit il prenait le risque de voir Pomare II attaquer pendant la trêve des festivités de Matari’i. C’est ainsi qu’on peut comprendre les raisons qui ont poussés Upufara à lever son armée pour défendre son peuple et ses croyances….
Posted on: Sun, 10 Nov 2013 07:24:05 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015