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POUR LE PLAISIR COURRIER ADRESSE A MONSIEUR LE MINISTRE DE LA JUSTICE PASCAL CLEMENT KRAPPA-DEMARQUE Tankassi DRANCY, le vendredi 5 mai 2006 8 rue Julian Grimau 93 700 DRANCY MINISTERE DE LA JUSTICE A l’attention de Monsieur le Ministre Monsieur Pascal CLEMENT OBJET : affaire CREDIT MUNICPAL DE PARIS – substitution de mon violon portant étiquette de KUDLIK ISTVAN et ANTONIO STRADIVARIUS et pré rapport douteux de l’expert judiciaire. Monsieur Le Ministre de la JUSTICE. Je me décide à vous écrire ce jour, parce que j’ai reçu le jeudi 4 mai 2006 le PRE RAPPORT d’expertise de Monsieur BOYER, expert désigné par le Juge des référés près le Tribunal de Grande Instance le 23 juin 2005, et que CE pré rapport est un TISSU DE MENSONGE. Vous vous rendrez rapidement compte à la lecture de son « pré rapport » que Monsieur BOYER a commis plusieurs : - faux incontestables - erreurs inexcusables - oublis inconcevables - mensonges discutables - et qu’il a également outrepassé son rôle et sa mission en se substituant manifestement aux Juges du fond. Sur 57 phrases, 12 sont fausses ou erronées, ce qui représente 21% de faux, erreurs et mensonges dans son rapport sans compter ces oublis 30 % CE QUI CORRESPOND à un PRE RAPPORT ERRONE A 50 % Monsieur BOYER ment à plusieurs reprises dans son rapport. POUR QUELLES RAISONS ne dit il pas la VERITE ? Parce que ERARD est un homme d’influence et qu’il a su corrompre CHANCEREUL et bien d’autres personnes dans CETTE AFFAIRE qui a débuté le 5 mai 2003. Monsieur ERARD, ancien Chef de cabinet du Ministre de l’intérieur sous DANIEL VAILLANT et ancien Conseiller Parlementaire au Ministère de la Justice sous ELIZABETH GUIGOU déshonore la REPUBLIQUE FRANCAISE et il pense être au DESSUS DE LA LOI. Je m’en remets donc à VOUS aujourd’hui, Monsieur le Ministre de la Justice, GARANT de l’institution Judiciaire POUR VOUS SAISIR personnellement de CE DOSSIER pour que JUSTICE SOIT RENDUE. J’irais au BOUT de CETTE AFFAIRE pour QUE TOUTES CES PERSONNES SOIENT SEVEREMENT PUNIS comme le prévoit la LOI. Je saisirais la COUR EUROPEENNE le moment venu et j’ai déjà, compte tenu de mon origine Ivoirienne transmis TOUTES ces informations au PLUS HAUT NIVEAU de l’ETAT IVOIRIEN. Monsieur le Ministre de la Justice, Je vous transmets par la présente, le PRE RAPPORT D’EXPERTISE de Monsieur BOYER et trois MAILS envoyés le 9 décembre 2005 juste après la REUNION, car je SENTAIS que CET EXPERT avait ETE CORROMPU. Vous vous rendrez rapidement compte que : PREMIEREMENT - je n’ai jamais dis que je reconnaissais ce violon comme étant mon violon « sans hésitation » J’ai dis et je vous renvoie au mail que j’ai envoyé ce jour là, le 7 décembre 2005, juste après cette « MASCARADE » : « au premier coup d’œil il ressemble physiquement à mon violon » ensuite je l’ai saisi avec la paume gauche ( pour ne pas y mettre mes empreintes digitales, ai regardé au fond…..ne voyant rien j’ai demandé une lampe de torche , Monsieur BOYER m’a donné SA lampe de torche, une lampe de torche fine en forme de stylo qui était flexible, j’ai ensuite regardé et à ce moment là, comme je ne voyais plus l’étiquette de stradivarius que j’avais vu la première fois, j’ai dis : « CE N’EST PAS MON VIOLON » DEUXIEMEMENT - ce n’est pas MOI qui ai demandé à l’expert BOYER « quand pensez vous que ce violon a été fabriqué ». C’est Monsieur SARAGOSTI, tout comme s’est lui qui a demandé à l’expert si le violon avait été OUVERT ( découpé ) TROIXIEMEMENT - lors de cette première expertise, Monsieur BOYER a dit que ce violon a été fait en 1890 je lui ai demandé : comment peut il y avoir l’étiquette de KUDLIK qui est né en 1908 sur un violon fait en 1890 ? QUATRIEMEMENT L’expert CHANCEREUL reconnaît s’être TROMPE lors de son expertise en date du 5 mai 2003 au cours de laquelle il affirmait que le violon était fait en hongrie par ISTVAN KUDLIK. Aujourd’hui IL DIT QUE CE VIOLON N’EST PAS FAIT PAR KUDLIK puisque FAIT 60 ANS AVANT SA NAISSANCE CINQUIEMENT Monsieur BOYER, tout comme l’avocat de Monsieur ERARD affirme que : - le violon n’a jamais été descellé depuis le 5 mai 2003 sauf le 9 décembre 2005 au cours de l’expertise. Alors, comment ERARD a t’il pu m’écrire en janvier 2005, que « A l’observation de votre violon il apparaît que les ouies sont en forme de GUARNERI ? CONCLUSION Monsieur BOYER AFFIRME que CE VIOLON est bien CELUI que j’ai CONFIE au crédit municipal de paris. Est ce son Rôle et sa mission ? NON. C’est au JUGES DU FOND de DIRE si OUI ou NON CE VIOLON est bien celui que j’ai confié au Crédit Municipal de Paris. Je me pose donc plusieurs questions Monsieur Le Ministre de la Justice : 1) Pourquoi Monsieur BOYER se SUBSTITUE t’il aux JUGES DU FOND en affirmant que CE VIOLON est le MIEN ? 2) Pourquoi Monsieur BOYER écrit il que j’ai dis que c’était mon violon alors que je n’ai jamais dis cela ? 3) Pourquoi Monsieur BOYER RECONNAIT il que CHANCEREUL s’est trompé sur son expertise alors qu’il ne reconnaît pas que j’affirmais que ce violon n’était pas le mien ( peut être est ce parce que j’ai ENREGISTRE la REUNION et qu’il s’est sentit CONTRAINT de RAPPORTER les FAITS REELS ? 4) Pourquoi Monsieur BOYER affirme t’il que CE VIOLON n’a jamais été descellé depuis le 5 mai 2003 alors même qu’il SAIT que ce violon a déjà été descellé par Monsieur ERARD en janvier 2005 ( voir courrier de Monsieur ERARD en janvier 2005 ) 5) Comment CHANCEREUL, qui est un expert près la cour d’appel de Paris, près le Crédit Municipal de Paris a t’il PU se TROMPER dans le cadre de l’expertise de CE VIOLON ? Je vous demande Monsieur le Ministre de la Justice, de prendre toutes les mesures nécessaires pour que : - Monsieur BOYER soit DESAISI DE CE DOSSIER - Monsieur CHANCEREUL soit RADIE de la cour d’appel de Paris et qu’il soit radié de sa qualité d’EXPERT près la Chambre Européenne en œuvre d’art et près l’hôtel des ventes de Drouot et qu’il fasse l’objet de poursuites pour fautes professionnelles graves. LES FAUX INCONTESTABLES DE MONSIEUR BOYER Le violon n’a jamais été descellé Monsieur Boyer affirme dans sa « première constatation – réunion du 9 décembre 2005 », je cite : « Au début du rendez vous, nous est apporté par un agent du crédit municipal une boîte de couleur bleu foncé, des scellés entourant l’étui, ne permettant pas d’ouvrir la boite. Nous faisons ôter les scellés pour permettre d’accéder à l’instrument » il poursuit « Mission 1 – réponse », je cite : « Le violon est entreposé dans son étui, celui ci portant des scellés et agrafée aux scellés la copie de l’acte de nantissement. Celui ci est amené depuis les entrepôts par un agent du crédit municipal de Paris et Monsieur SARAGOSTI, responsable des expertises au sein du Crédit Municipal de PARIS, déclare que pour sortir un objet des réserves il y a un registre qui est signé par l’agent opérateur, et qu’il peut nous prouver en produisant le registre que l’objet n’est pas sortit de la réserve depuis le 12 mai 2003 jusqu’à notre premier rendez vous du 7 décembre 2005. Cela démontre à priori que le violon que j’ai vu lors de la réunion d’expertise du 7 décembre 2005 est bien celui qui a été déposé le 12 mai 2003 » Monsieur le Ministre de la Justice, Monsieur ERARD m’a écrit en janvier 2005, je cite : « A l’observation de votre violon, les ouies sont en forme de GUARNERI et….l’étiquette de STRADIVARIUS est en partie sur celle de KUDLIK. » Ce courrier et ces propos démontrent que le violon a incontestablement, indubitablement, inexorablement été descellé en janvier 2005, contrairement à ce que peut écrire Monsieur BOYER. Monsieur BOYER commet donc un PREMIER MENSONGE dans son pré rapport lorsqu’il affirme que le violon n’a jamais été descellé. Il est également intéressant de noter que Monsieur ERARD a violé les procédures du crédit municipal de paris en descellant le violon sans avoir signé le registre. Je vous invite également, Monsieur le Ministre de la Justice à vous interroger sur les propos de Monsieur ERARD en janvier 2005 : - Comment peut il écrire que les ouies sont en forme de GUARNERI alors même qu’il n’a aucunes connaissances en lutherie ? - Etait il accompagné d’un luthier lorsqu’il a descellé l’instrument en janvier 2005 ? - Est ce CE même luthier qui a effectué la copie de mon violon ? - Comment peut il écrire que l’étiquette de STRADIVARIUS est en partie sur celle de KUDLIK alors même que cette étiquette de stradivarius EST EN PLEIN MILIEU de celle de KUDLIK ? Le violon correspond à la description qui en a été faite Je vous invite également Monsieur le Ministre de la Justice à vous interroger sur les conclusions de Monsieur BOYER qui affirme que Ce violon correspond à la description qui en a été faite dans le cadre de l’expertise du 5 mai 2003. « le violon présenté à mon examen est un violon fait en hongrie par KUDLIK Istvan (1938 ) dont il porte l’étiquette ainsi qu’une étiquette apocryphe d’ANTONIO stradivarius – valeur 2200 euros » alors que AUJOURD’HUI : le violon présenté au Crédit municipal de paris est un violon fait en 1860 par un luthier inconnu d’origine de l’europe de l’est et il porte une étiquette « vrai ou fausse » de KUDLIK ( citation de BOYER ) ainsi qu’une étiquette « apocryphe » de stradivarius 1727 – valeur 400 euros » Monsieur Le Ministre de la Justice, pensez vous comme l’écrit Monsieur BOYER que : « la présence de ces deux étiquettes correspond à l’attestation de Monsieur CHANCEREUL, expert du Crédit Municipal de Paris, en date du 5 mai 2003, à savoir « violon fait en hongrie par KUDLIK dont il porte l’étiquette ainsi qu’une étiquette apocryphe d’Antonius STRADIVARIUS » ? LA FAUTE PROFESSIONNELLE GRAVE reconnue DE MONSIEUR CHANCEREUL Monsieur Gilles CHANCEREUL, expert près le Crédit municipal de Paris, expert près la Chambre Européenne en Œuvre d’Art, expert près l’Hôtel des ventes de DROUOT, et ancien expert près la Cour d’appel de PARIS, reconnaît s’être trompé sur l’origine et l’attribution du violon qu’il a expertisé le 5 mai 2003. Je cite Monsieur BOYER « seconde constations – seconde réunion du 2 février 2006 » : « Celui ci reconnaît physiquement le violon, mais déclare s’être trompé dans son expertise quand à l’attribution du luthier fabricant et qu’en regardant le violon il accepte le fait qu’il s’agit d’un travail 19ème et donc il ne pouvait pas avoir été fait par KUDLIK né en 1908 » Je cite Monsieur BOYER « MISSION 2 – réponse » : « L’attestation et l’expertise présente au dossier le déclarant fait par Istvan KUDLIK né en 1908 n’est pas plausible, au 19ème siècle Monsieur KUDLIK n’était pas né. » Monsieur le Ministre de la Justice, je vous invite à vous interroger sur la nature et les conséquences des ERREURS GROSSIERES de cet expert Monsieur CHANCEREUL : - Comment Monsieur CHANCEREUL peut il expertiser un violon fait en 1860 par un inconnu comme étant un violon fait en hongrie par KUDLIK né en 1908 ? - Comment peut il y avoir l’étiquette d’un homme qui n’était pas encore né dans un violon qui a été fait 70 ans avant ? - Comment Monsieur CHANCEREUL peut il écrire que l’étiquette de STRADIVARIUS est apocryphe alors même que cette étiquette se trouve sur celle d’un autre luthier ? - Pourquoi Monsieur CHANCEREUL n’a t’il pas précisé lors de son expertise du 5 mai 2003 la DATE de l’étiquette de STRADIVARIUS ? Monsieur le Ministre de la Justice, cet expert CHANCEREUL nous dit aujourd’hui qu’il s’est trompé dans le cadre de son expertise parce que ce violon a été fait 70 ans avant par un luthier inconnu qui a eu l’idée génial d’y mettre l’étiquette d’un homme qui est né 48 ans plus tard et malheureusement pour notre expert il s’avère que l’erreur qu’il a commise dans le cadre de son expertise porte sur un violon : 1) qui porte une étiquette « apocryphe » d’Antonio STRADIVARIUS 2) dont la « désignation » dans le contrat de prêt sur nantissement n’est pas conforme à son expertise puisqu’il ne fait plus mention de Etiquette apocryphe Antonio STRADIVARIUS 3) dont le Crédit Municipal de Paris a refusé de modifier l’écrit en juin 2004 4) dont le crédit Municipal de Paris a refusé de faire la nouvelle estimation au paiement des intérêts en juillet 2004 conformément aux clauses contractuelles, au décret loi 1934 et au décret impérial qui dispose : « au paiement des intérêts, il devra OBLIGATOIREMENT être procédé à une nouvelle estimation du bien » 5) dont le crédit municipal de paris s’est opposé deux fois à la désignation d’un expert ( audience du 16 juin 2005 près le juge des référés Tribunal de grande instance de paris et cour d’appel du 7 avril 2006 ) 6) dont le violon a été récemment été « ouvert – découpé » 7) dont le violon a été descellé par Monsieur ERARD en janvier 2005 alors même que son avocat Maître GRAU, Monsieur SARAGOSTI et l’expert judiciaire BOYER affirme que ce violon n’a jamais été descellé depuis le 5 mai 2003. Monsieur le Ministre de la JUCTICE, au vu des éléments ci dessus, vous comprendrez facilement que son ERREUR n’est pas une « petite » erreur. Je vous invite également Monsieur le Ministre de la Justice à vous interroger sur les conclusions de Monsieur BOYER qui affirme que, je cite : « Ce violon correspond à la description qui en a été faite dans le cadre de l’expertise du 5 mai 2003. » « le violon présenté à mon examen est un violon fait en Hongrie par KUDLIK Istvan dont il porte l’étiquette ainsi qu’une étiquette apocryphe d’ANTONIO stradivarius » ALORS QUE AUJOURD’HUI : le violon présenté au Crédit municipal de paris lors des deux réunions d’expertise porte : une étiquette vrai ou fausse de KUDLIK ( citation de BOYER ) , une fausse étiquette de stradivarius 1727 et qu’il a été fait en 1860 par un luthier inconnu » Monsieur Le Ministre de la Justice, Pensez vous comme l’écrit Monsieur BOYER que « la présence de ces deux étiquettes correspond à l’attestation de Monsieur CHANCEREUL, expert du Crédit Municipal de Paris, en date du 5 mai 2003, à savoir « violon fait en Hongrie par KUDLIK dont il porte l’étiquette ainsi qu’une étiquette apocryphe d’Antonius STRADIVARIUS » ? LES OUBLIS DE MONSIEUR BOYER 1.1 Courier de ERARD en janvier 2005 qui prouve que le violon a été descellé depuis le 5 mai 2003 1.2 Documents imprimées le 6 mai 2003 à partir du site de Monsieur MARCELLO VILLA qui prouvent que j’ai fais des recherches sur le CHEVAL AILEE 1.3 Refus du crédit municipal de paris de modifier l’écrit pour y rajouter étiquette apocryphe Antonio STRADIVARIUS qui pourrait expliquer que ce violon est été ouvert récemment pour y rajouter cette étiquette STRADIVARIUS 1.4 L’attestation de Monsieur PANHALEUX luthier à lille qui dispose : « ce violon PORTE une étiquette de KUDLIK » Monsieur PANHALEUX n’a pas dit que ce violon « avait été fait par KUDLIK dont il porte l’étiquette », ni même que ce violon portait une quelconque étiquette apocryphe de STRADIVARIUS. Ce document tend à faire penser que : 1) un archetier n’a pas commis d’erreur sur une « expertise » qu’il a réalisé pour le compte de Madame DEMARQUE 2) il n’a pas fait mention d’une étiquette STRADIVARIUS et l’on peut se poser deux questions : - soit l’étiquette de stradivarius était sur celle de KUDLIK visible au premier coup d’œil et Monsieur PANHALEUX a oublié de le notofier alors même que tout luthier dispose « et il porte une étiquette apocryphe ou copie de STRADIVARIUS 1727 » - soit l’étiquette STRADIVARIUS n’était pas visible et il ne l’a donc pas VU ce qui explique qu’il n’est pas écrit « et porte une étiquette apocryphe STRADIVARIUS 1727 » Monsieur le Ministre de la Justice, pourquoi monsieur BOYER ne fait il pas référence à ce document QUI TEND A PROUVER qu’il N’Y AVAIT PAS d’étiquette STRADIVARIUS sur celle de KUDLIK et donc que CE violon ne peut pas être celui que j’ai confié au Crédit Municipal de Paris en mai 2003. LES MENSONGES DE MONSIEUR BOYER 1. Je n’ai jamais dis que je reconnaissais ce violon comme étant mon violon 2. j’ai utilisé sa lampe de torche en forme de stylo avec un embout flexible et orientable Je vous invite à lire à ce sujet les mails que j’ai envoyé à plusieurs personnes ce 9 décembre 2005 parce que je sentais que cet expert avait été « corrompu ». Je cite le mail que j’ai envoyé à Madame PRADAL de la maison SOTHEBYS le 9 décembre 2005 à 14h22 : « Madame, Monsieur, je me suis présenté mercredi 7 décembre à 09h00 dans les locaux du crédit municipal de paris suite à l’ordonnance du 23 juin 2005 près le tribunal de grande instance de paris. Ils ont ouvert la sacoche. J’ai regardé le violon et ai dis :’au premier coup d’œil, il ressemble physiquement à mon violon » Puis, j’ai regardé à l’intérieur et LA……le cauchemar a commencé. J’ai dis : » NON, CE VIOLON N’EST PAS MON VIOLON »…………….. ». Je vous envoie également au courrier intitulé « résumé litige violon…..suite à expertise du mardi 7 décembre 2005 » que j’ai adressé à plusieurs personnes et notamment au cabinet du maire Monsieur DELANOE, dans lequel j’écris et je cite : P14 « j’ai vu ce violon et ai dis : « AU PREMIER COUP D’ŒIL, il ressemble physiquement à mon violon » puis ai regardé à l’intérieur dans un premier temps au fond à droite pour voir l’étiquette d’Antonio STRADIVARIUS avec le cheval ailée. RIEN. PLUS RIEN. J’ai regardé l’étiquette de KUDLIK et au dessus comme l’avait écrit Monsieur ERARD se trouvait une petite étiquette ou l’on lisait antonius stradivarius avec une date 1747……… Je suis tout de même resté au cours de cette expertise pour assister à cette MASCARADE. Le directeur des ventes à demandé à l’expert si le violon avait été ouvert et s’il est facile de rajouter une étiquette…………. J’ai dis à l’expert, avez vous notez que j’ai dis que l’étiquette d’antonio stradivarius ne correspondait pas et que le violon ne correspondait pas au violon que j’ai confié au CMP. L’expert m’a dit ceci : « vous avez dis que vous reconnaissez votre violon » QUE FAIRE……je n’ai jamais dis cela »… Ces mails que j’ai envoyé le jour même PROUVENT que je n’ai jamais dis que je reconnaissais mon violon et que cet expert BOYER est un menteur. Monsieur le Ministre de la Justice, je vous demande d’en tirer toutes les conclusions. LES INCOHERENCES DE MONSIEUR BOYER 1. Première incohérence Monsieur BOYER affirme lors de la première réunion d’expertise après avoir regardé ce violon 5 MINUTES, je cite : « j’ai répondu, sans aucune hésitation, que ce violon est un travail du 19ème siècle » alors que son confrère Monsieur CHANCEREUL qui a eu le temps d’observer LE violon pendant au moins UNE HEURE a commis une erreur en écrivant qu’il avait été fait 70 ans plus tard par KUDLIK ISTVAN. Monsieur le Ministre de la Justice, je pense que nous pouvons être en droit de nous poser des questions quand à la COHERENCE des propos que tient cet expert judiciaire Monsieur BOYER et quand à « l’erreur » reconnue de Monsieur CHANCEREUL. Il est également intéressant de noter que Monsieur BOYER a présenté les PHOTOS de CE violon à d’autres experts luthiers et que TOUS ont affirmé que ce violon a été fait en 1860 et donc ne pouvait pas avoir été fait par KUDLIK. Alors comment se fait il que Monsieur CHANCEREUL qui est le seul à avoir eu ce violon UNE HEURE dans son atelier l’ai expertisé comme un violon fait par KUDLIK et donc en 1938. 2. Deuxième incohérence Par ailleurs, Monsieur BOYER tient plus compte des propos de CHANCEREUL qui pourtant n’est PLUS CREDIBLE du tout compte tenu de sa GROSSIERE ERREUR PROFESSIONNELLE lorsqu’il affirme que : - CHANCEREUL a reconnu ce violon comme étant celui qu’il a expertisé 32 mois plus tôt et qu’il n’a vu qu’une seule fois et qu’il n’a jamais revu depuis - Monsieur KRAPPA reconnaît ce violon comme étant son violon alors même que je n’ai jamais dis cela, au contraire, j’ai affirmé tout au long de la réunion que CE violon n’était pas celui que j’ai confié au crédit municipal de paris le 5 mai 2003 parce que : 1) la description de l’étiquette STRADIVARIUS ne correspond plus à celle que j’ai vu : il n’y a plus le dessin le cheval ailée, il n’y a plus la date illisible avec le 1 en chiffre romain et le 6 en chiffre normal et les deux derniers chiffres illisibles, il n’y a plus la mention FATTO DI ANNI pour laquelle j’écrivais en mai 2003 « offert à mon ami » 2) L’emplacement de l’étiquette STRADIVARIUS ne correspond plus puisqu’elle était au fond à droite, qu’elle n’était pas du tout visible à l’œil nu et qu’il fallait l’utilisation d’une lampe de torche et incliner le violon d’un certain angle pour pouvoir la découvrir. Aujourd’hui l’étiquette de STRADIVARIUS est visible au premier coup d’œil sans lampe de torche puisqu’elle se situe juste en dessous de l’ouie gauche sur celle de KUDLIK. Je pense, Monsieur Le Ministre de la Justice, être plus crédible lorsque j’affirme que ce violon n’est pas mon violon en sachant que j’ai joué 23 ans avec ce violon et que j’ai eu le temps 7 jours ( du 5 mai 2003 au 12 mai 2003 ) de regarder l’étiquette de STRADIVARIUS cachée et imprégnée dans le bois, que cet « expert » si l’on peut encore qualifié ce CHANCEREIL d’expert qui affirme reconnaître ce violon comme étant celui qu’il a expertisé 32 mois plus tôt et qu’il n’a jamais revu depuis et qu’il a simplement vu une seule fois pendant 1 heure. 3. Troisième incohérence Monsieur BOYER expertise donc CE violon comme : « un violon fait en 1860 par un luthier inconnu d’origine de l’europe de l’est dont il porte une étiquette « vrai » ou « fausse » de KUDLIK Istvan ainsi qu’une fausse étiquette de stradivarius 1727 – il estime ce violon a 400 euros . » Monsieur CHANCEREUL a expertisé MON violon comme : « un violon fait en hongrie par istvan KUDLIK dont il porte l’étiquette, ainsi que une étiquette « apocryphe » D’Antonio STRADIVARIUS. Le tout présente à mon atelier une valeur de 2200 euros. » Monsieur le Ministre de la Justice, Monsieur BOYER conclu : « l’expertise de CHANCEREUL correspond à mon expertise ». Monsieur le Ministre de la Justice, sauf votre respect, voyez vous une CONCORDENCE entre ces DEUX expertises ? Pensez vous que l’expertise de Monsieur BOYER correspond à celle de CHANCEREUL ? Pensez vous Monsieur le Ministre de la Justice que cet expert BOYER respecte le principe de la neutralité et qu’il soit OBJECTIF ? Je vous laisse le soin de répondre à ces questions. Moi, j’affirme que ERARD et CHANCEREUL sont des voleurs. J’affirme que BOYER a été corrompu et qu’il doit être dans les plus brefs délais dessaisir de sa mission et radié des experts près la cour d’appel de Paris. J’affirme que Monsieur BOYER a délibérément et volontairement commis ces erreurs, omissions, incohérence et mensonges pour INFLUENCER la décision des juges du fond. D’ailleurs sa mission n’était pas de dire si oui ou non ce violon est celui que j’ai confié au crédit municipal de paris, c’est au juge du fond éventuellement saisit de dire si oui ou non il y a eu substitution de mon violon. MES REQUETES Monsieur le Ministre de la Justice, Je vous demande par la présente de vous saisir personnellement de ce dossier et de faire toute la lumière sur cette affaire. Je vous demande notamment : 1) d’engager des poursuites contre Monsieur ERARD pour : - violation des dispositions contractuelles et réglementaires ( décret loi 1934 et décret impérial ) - violation des procédures du crédit municipal de paris ( absence de signature sur le registre lorsqu’il a descellé ce violon ). 2) d’engager des poursuites contre Monsieur CHANCEREUL expert près le crédit municipal de paris, près l’hôtel des ventes de Drouot et près la chambre européenne en œuvre d’art 3) De dessaisir l’expert Monsieur BOYER et le faire radier des experts près la cour d’appel de paris pour faute professionnelle, faux et usage de faux en écriture, abus de confiance. Dans le cas contraire, je me verrais contraint de considérer ce que ce diplomate Hongrois m’a dit a plusieurs reprises comme étant INCONTESTABLEMENT VRAI : « je ne peux pas vous aider, je ne peux rien faire, c’est l’ETAT FRANÇAIS » Monsieur Le Ministre de la JUSTICE, je pense que si vous ne prenez pas les décisions qui s’imposent dans le cadre de cette affaire, je considérerais que mon violon n’a pas été volé UNIQUEMENT par Monsieur ERARD et Monsieur CHANCEREUL mais qu’il a été volé avec la COMPLICITE de l’ETAT FRANÇAIS. Veuillez recevoir, Monsieur le Ministre de la Justice, l’expression d’un homme fermement décidé à ce que justice soit rendue. PIECES JOINTES - Pré rapport d’expertise de Monsieur BOYER - Expertise de Monsieur CHANCEREUL en date du 5 mai 2003 - Documents imprimé le 6 mai 2003 sur le site de Monsieur VILLA - Contrat de prêt sur nantissement initial du 12 mai 2003 par le Crédit Municipal de paris - Contrat de prêt renouvelé le 12 juillet 2004 - Clauses contractuelles du prêt sur nantissement - Décret loi JO 1937 ( 2 pages ) - Décret impérial an 8 ( 2 pages ) - Courrier de Monsieur ERARD en janvier 2005 faxé le 13 juin 2006 par Madame FERRE - Expertise de Monsieur PANHALEUX - Mail en date du 9 décembre 2005 adressé à la maison SOTHEBYS - Courrier adressé à Madame le vice président du tribunal de grande instance
Posted on: Sun, 29 Sep 2013 18:54:00 +0000

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