Par Sabine Alphonso Jeudi 27 juin - Job 1 COMMENTAIRE Job - TopicsExpress



          

Par Sabine Alphonso Jeudi 27 juin - Job 1 COMMENTAIRE Job était probablement un contemporain d’Abraham, né aux alentours de 2000 avant notre ère et était également familier avec les offrandes nécessaires à la compréhension du salut, le rôle de l’expiation, et le sanctuaire céleste. Job est décrit par Moïse dans cette épopée historique en tant que riche fermier. Il avait 7000 moutons et 3000 chameaux ainsi que 500 bœufs et 500 ânesses ce qui représente une grande entreprise. Ses fils avaient l’habitude de manger chez les uns les autres avec leurs sœurs. Nous savons qu’ils ne buvaient pas d’alcool et ne mangeaient pas de porc lors de ces événements, puisque Job n’était pas au courant d’un quelconque péché. Pourtant, il priait pour eux tôt le matin se disant « Peut-être mes fils ont-ils péché » (verset 5). Lorsque le mot « vin » (verset 13) est utilisé dans le sens biblique négativement, il contient de l’alcool, mais quand il n’est pas employé négativement c’est du pur « fruit de la vigne. » Nous savons que toutes les actions de Dieu sont dirigées depuis le sanctuaire et c’est là que les « fils de Dieu » et aussi Satan allèrent parler à Dieu (verset 6). Satan avait accès à Christ avant la croix, mais pas après (voir Histoire de la Rédemption, p. 26). Dans le livre de Job, le but de Satan est de faire un rapport sur le mérite et la culpabilité des créatures de Dieu. Quand le Fils de Dieu demanda à Satan s’il avait vu Job et combien il est parfait (verset , la réponse fut négative. Satan ne fait pas attention aux bonnes choses. Il accusa Dieu d’obtenir la fidélité de Job en le bénissant et l’exaltant (verset 10) et voulut une chance de l’abattre. Satan conclut que Job se retournerait contre Dieu si les choses allaient dans la direction opposée. De grands désastres frappèrent Job : Les Sabéens volèrent ses bœufs et ses ânes ; le feu brûla ses brebis ainsi que ses serviteurs ; les Chaldéens prirent tous ses chameaux et une tornade tua ses enfants. En état de choc, Job fit six choses : il se leva, déchira son manteau, se rasa la tête, se jeta par terre, se prosterna, bénit Dieu dans ses propos. Cela plut à Dieu. Ce ne fut pas le cas pour Satan. Job ne pécha point et n’accusa pas Dieu. O Dieu, Tu nous as demandé de prier « ne nous soumets pas à la tentation » et maintenant nous savons pourquoi. Donne-nous la force de Job afin que nous disions dans les moments de joie et de peines, « Bénis soit mon Dieu car il porte un regard sur moi et sur tous mes problèmes. Au nom de Jésus, Amen! Koot van Wyk Kyungpook National University Sangju, South Korea Traduction : Mickaël Bonnefond, Annecy Panon et Séphora Panon
Posted on: Thu, 27 Jun 2013 23:10:01 +0000

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