Par-dessus tout Chapitre 3 Pendant que Laure avait sont petits frère de 8 ans dans les bras, elle glissa sur une flaque de jus, c’était sa vivre avec des millions d’enfant, plein de dégât. Voila, ça vit défilait devant ses yeux quand elle n’avait même pas eu la chance de dire à John ce qu’elle ressentait pour lui. Lui dire qu’elle l’… Mais au lieu de se retrouver par terre ave son frère l’aplatissant au sol, elle se retrouva dans les bras de John. Il l‘avait attrapé de justesse, elle et son frère. Il mit son frère par terre mais ne la quitta pas des yeux et ne la lâchant pas. Toujours dans ses bras, elle se sentait comme une petite fourmi dans les bras d’un gentil ours. Après quelques secondes de silence, il la remit sur pied et prit son frère avant de monter l’escalier qui menait au deuxième étage pour aller le porter dans son lit. Laure les suivi en titubant légèrement. Pourquoi se sentait-elle comme ça à chaque fois qu’il la regardait, lui parlait ou la touchait. Elle devrait remettre ses réflexions à plus tard car elle était crevée. -Merci de m’avoir...eh…rattrapé toute à l’heure quand j’ai failli glisser. J’aurais du regarder où je mettais les pieds. Cette une petite erreur de ma pars. Stupide…, chuchota Laure mais avec l’armée, John avait appris à bien écouter, même le plus faible murmure. -Ne dis pas ça voyons, ce n’est rien. Ce n’est pas comme si tu avais failli te tuer. -Oui c’est vrai. Mais j’aurais pu réveiller mon frère. -Laure… -Ok j’arrête, j’ai compris. -Bien. -Je vais aller me coucher. Je tombe de fatigue. -Oui, j’ai bien vu ça, dit John en train de rigoler du jeu de mot innocent qu’avais fait sa comparse. -Hey! Arrête de te moquer John, fit-elle un petite sourire aux lèvres qu’il du voir car il souri d’avantage. -Il ne me reste que Meg à monter et je te rejoins. -D’accord, mais cogne avant de rentré et attend que je te réponde, je vais surement être ne train de me changer. -Pas de problème. Laure descendis les escaliers heureuses d’être enfin tous réuni. Rendu dans sa chambre, elle se rendit compte que celle-ci était en désordre totale. Elle n’allait quand même pas faire dormir John la dedans, lui n’avais pas dormi dans un bon lit depuis une éternité déjà. Ce précipitant sur les tas de vêtements, elle jeta dans sa minuscule penderie tout en prenant des vêtements au hasard qui ressemblais à un pyjama propre, il fallait le préciser. Laure essayait de faire le lit même s’il allait être défait bientôt, remis de l’ordre dans les quelques affaires qu’elle avait et se changea dans un temps record. Juste attend avant que John ne cogne à sa porte, comme le lui avait demandé. Il était plutôt du genre j’entre sans invitation donc elle préférait éviter les situations gênante. En regardant sa chambre encore en désordre, elle se dit que vu que c’était un homme, il n’allait pas regarder ça. Elle ouvrit et le fit entrer. C’était un peu étrange comme situation. Tout deux avaient changé et évolué depuis la dernière fois qu’ils avaient dormi ensemble mais une question tracassait l’esprit en désordre, comme sa chambre, de Laure. -Est-ce que tu ronfles? Parce que je n’ai jamais été capable d’endurer ça. En plus, Matt a commencer à ronfler et depuis, plus personnes ne veut dormir avec lui. -Ah! C’est pour ça que tu l’as laissé là toute à l’heure. Je pensais que c’était parce qu’il était trop lourd à porter. -Il y a aussi, en effet cette raison mais moi, je préfère celle qu’il ronfle. -Alors il ne ronfle pas? -Non. Enfin oui. Il ronfle et il est trop lourd pour moi. -Là c’est clair! Laure se glissa entre les couvertures de laine et la courtepointe qu’elle avait elle-même faite. Comme c’était agréable de dormir après une grosse journée comme cette dernière, surtout avec les émotions que John lui avait fait vivre. Son retour inattendu lui avait donné un regain d’énergie. Elle se tourna sur le côté de façon à être dos à John pour qu’il puisse se changer. Ils étaient presque pareille exceptionnellement pour la nudité. Lui, ça ne le dérangeait pas tandis qu’elle, aucun bout de peau trop attirant devait être montré à la vue des autres. Même avec John mais avec le temps, il avait fini par la faire sortir de son cocon. Il avait même réussi à lui faire porter des t-shirts, des camisoles et même des pantalons même s’il était mal vu que les femmes en porte. Elle ne sortait jamais alors personne en dehors des membres de la famille et John le voyait. C’était excitant de briser les règles quelques fois. En fait, Laure ne sortait que pour la messe du dimanche et quelques rare fois où elle sortait pour aller acheter quelques petites choses que sa ferme ne lui procurait pas. Malgré leurs petites différences, ils s’entendaient à merveille. Elle entendit un froissement de vêtement derrière elle et John vient la rejoindre dans le lit, à ses côtés. Il était spécial pour elle d’avoir quelqu’un dans son lit comme, ça. Une source de chaleur prêt de son corps transit de froid. C’est dernier temps, la nuit, il faisait très froid pour un mois d’octobre. Le lit n’était pas très large donc il se touchait presque. En plus, John avait pris plusieurs livre de muscles ce qui faisait qu’il prenait beaucoup de place. Presque en train de tomber, Laure était bien emmitoufler et tentait d’ignorer la présence de son meilleur ami dans son lit. Elle ferma ses yeux mais un flot de pensé l’envahi aussitôt ce qui fît en sorte que le marchand de sable ne passa pas de si tôt. Laure commença à grelotter dans la pénombre de sa chambre. Pendant ce temps, John l’observait et il pouvait se le permettre vu qu’elle devait penser qu’il dormait. Il regarda ses longs cheveux, si soyeux, comme du satin. Il ne pouvait pas voir grand chose vu qu’elle était bien emmitoufler dans la draperie mais il pouvait distinguer les formes de son petit corps fragile. Une grande mince, voila ce qu’elle était. Elle venait d’avoir 18 ans mais sa maturité et son caractère de commandante faisait d’elle une femme accompli. Il s’en voulait terriblement d’avoir du l’abandonner pendant un an entier mais maintenant, il était là et il resterait. Peut-être qu’un jour, s’il en avait la chance et le courage, il pourrait fonder une famille? C’était son rêve le plus cher. Il soupira de désir tout en continuent de la regarder. Soudainement, son regard fut attiré par des petits spasmes insensés qui gagnaient tout entier le corps de la jeune femme. Inquiet, il s’approcha d’elle et la tourna vers lui. Leurs yeux se rencontrèrent et se soudèrent ensemble. John baissa ses yeux sur sa bouche et remarqua qu’elle claquait des dents. Il la prit dans ses bras comme quand il était enfant et qu’elle s’était fais mal et la serrait fort contre lui pour la réchauffer. Au camp d’entrainement, John avait apprit à ne jamais avoir froid ni chaud. Il avait vécu dans des endroits dangereux et grâce à ça, il était extrêmement résistant. Dans les bras musclés son ami, Laure se sentis automatiquement en sécurité, rassurer et au chaud. Elle pouvait compter sur lui pour ça. Il se dégagea un peu pour la regarder. Ses lèvres avaient viré au bleu et il devait faire quelque chose pour qu’elle redevienne rouge. La solution la paraissait évidente ais il ne voulait pas la mettre mal halais. Tranquillement, le corps de Laure commença à se réchauffer mais ne patientant pas, John fondit sur ses lèvres, peut-être était-ce du à l’urgente envi qui prenait possession de son corps mais il eu des frissons à se toucher fantastique. Suites? Avis? Kit Kat
Posted on: Fri, 06 Sep 2013 22:52:18 +0000
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