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Pensée du jour Pensée du jour Wednesday 18 Septembre ll fait habiter dans une maison celle qui était stérile, (Comme) une mère joyeuse au milieu de ses fils. Psaume 113.9 (Segond à la Colombe) Chez les Israélites, la pire chose qui pouvait arriver à une femme était de ne pas avoir d’enfants. Bon nombre de sociétés de type traditionnel ont conservé la même conception en cette matière ; on convient même, à certains endroits, que le mariage n’est définitif qu’à partir du moment où la femme attend son premier enfant. La stérilité était donc, au temps de l’Ancien Testament, vécue comme une souffrance ; même si le mari continuait à témoigner à sa femme une profonde affection, il lui arrivait de se pourvoir d’une seconde épouse, comme Elkana. L’histoire d’Anne, l’épouse stérile qui finit par avoir un fils en réponse à sa prière, et qui le «prête» à Dieu pour toute sa vie, est exemplaire (voir 1 Samuel 1). Par la suite, Anne a encore trois fils et deux filles, enfants considérés comme une bénédiction. Nul doute que les femmes pieuses qui ne se voyaient pas rapidement enceintes après leur mariage devaient demander dans leurs prières que Dieu se souvienne d’elles comme il s’était souvenu de la mère de Samuel. La fin de la stérilité est un exemple de la puissance de Dieu, qui transforme en joie la tristesse : il rend fort le faible, il enrichit le pauvre, il fait de celle qui était stérile une mère joyeuse au milieu de ses fils. Aujourd’hui qu’on essaie de limiter les naissances, on assiste cependant à une revalorisation de la maternité ; rares sont les femmes qui ne veulent pas d’enfant; les gynécologues voient passer dans leur cabinet de jeunes femmes qui veulent avoir un enfant. Il y a en effet, des cas où la stérilité féminine peut se guérir. Un autre genre de stérilité est celle dont souffre aujourd’hui l’Église. On constate en son sein peu de naissances spirituelles. Dans bien des pays, la croissance se situe autour de zéro, alors que la volonté de Dieu est de rendre son peuple fécond. La promesse est que les rachetés seront une foule. Une autre promesse est que Dieu répandra son Esprit en abondance dans les derniers temps, comme une seconde Pentecôte. Puis-je suggérer que si nous souffrons de stérilité, c’est peut-être que nous ne recherchons pas le SaintEsprit avec assez d’ardeur. Il nous faudrait peut-être prier davantage pour sa présence en nous. Francis Augsburger Cette méditation est tirée de son livre Prier avec les Psaumes
Posted on: Wed, 18 Sep 2013 05:25:45 +0000

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