Petit condensé dhistoire du Droit dAuteur: Ce que je vais - TopicsExpress



          

Petit condensé dhistoire du Droit dAuteur: Ce que je vais écrire demande vérification par des historiens dont la valeur professionnelle est avérée, et dna sun cadre déontologique précis, incluant la nécessité de participation dun débat citoyen et public, et la participation des Auteurs tel que défini par la Loi française sur le Droit dAuteur et Droits Voisins, afin de pouvoir être authentifié, car ce que je vais écrire là nest que le résultat dune analyse personnelle historique déléments dont je ne pense pas quil y ait une trace à lheure actuelle qui ait été rapportée à ce sujet, mais il est bien évident quavant moi, dautres ont pu soit essayer et en être empêchés, soit avoir compris et avoir peut-être eu peur de parler de cette histoire, soit pour dautres raisons beaucoup plus simples, en tout cas et notamment à lépoque où, il y a à peine quelques années, internet nexistait pas. Il est également évident que je ne prétends pas tout connaître et tout savoir sur tous les sujets, et que cest pour cette raison que jévoque la possibilité ici et maintenant de me tromper sur cette histoire, qui me semble être lHistoire, et historique, du Droit dAuteur et notamment de la naissance de la SACEM et du Code de la Propriété Intellectuelle au début du XIX° siècle (dix-neufime siècle). Le XIX° siècle, en chiffre dits arabes, commence en 1800, évidemment. Entre 1789 qui est lannée symbolique de la Révolution Française même sil y en a eu plusieurs, et lannée 1800, il y a à peine 19 années décart. Bon. Donc lépoque de lesclavagisme à cette époque-là était encore active, il navait pas encore été aboli, et les colonisations étaient telles que nous concevons le sens de ce terme, en train de se constituer et peu de gens étaient au courant, car le secret était écrit pour être immédiatement brûlé, avec le souffle comme bénédiction satanique, dun Satan qui, inventé par les humains dont le narcisse était surdimensionné, et qui avaient comme intention de ralentir la course des conscience dans le monde en courant et en soufflant leur satanisme pestilent(c)iel insulte à loxygène puisque la bénédiction satanique était donnée dun souffle miraculeux et communautaire sur la nuque, et était signe de reconnaissance de leur puissance et leur majesté autoproclamées. Ils navaient jamais connu effectivement la jouissance et le plaisir autrement quà travers le délire quimposait léducation au refus de la satisfaction des besoins qui permettent de prendre la vie simplement, et avec un sourire, sauf deux ou trois, ou à peine plus suivant que les chiffres portaient un sens précis en fonction de la mathématique, connaissance interdite et notamment au peuple, qui croyait intégrer les secret les plus ineffables de lhistoire humaine en accédant à des semblants de secrets en grimpant dans les fonctions hiérarchiques des sociétés secrètes, pour que les soi-disants dominants sattribuent encore plus de pouvoir en déléguant des rôles précis à leurs adjoints dont la vie nétait absolument rien de plus quune poussière. Bien sûr, le texte saint disait, et avec raison, cette raison que les sages davant les religions avaient simplement constatée en eux et en-dehors deux, que poussière tout était, et donc poussière tout retournait. Le vol de cette idée en impressionnant par la majesté des mots un peuple qui navait pas de mémoire tel que ce mot voulait en donner le sens daprès les descendants de ces majeurs, permettait à leur conscience de se désaltérer de limbuvable puanteur de la fierté tranquille. Le temps passait, quils croyaient pouvoir arrêter, puisque leurs pères et leurs mères avaient accédé à la certitude que bouffée délirante et plaisir et bonheur étaient la plus grande ouissance au monde. Le temps sécoulait pour le monde entier pourtant. Et la révolte tranquille de gens qui réfléchissaient eux contre les bouffées délirantes que ce faux-peuple essauyit de transmettre et inculquer à autrui sous peine de mort et de torture et dintéressements à la vulgarité de lor et de lesclavagisme et de la maîtrise, sorganisait chez celles et ceux que lon appelait les Artistes, en lhonneur de ce quils devaient finir par devenir, cest-à-dire leur Se(a)igneurie Jésus le Crucifié, Jesu-Crixt. Aucune authentification ne pouvait les arêter puisque leur lutte était faite de mots, et quils parlaient au peuple, à travers des paroles qui navaient pas grandchose, finalement, à voir avec lArt et lartistique, mis à part que lart est inscrit dans la vie et que lart traduit forcément la vie de lartiste qui les pense. La valeur dune oeuvre dart nétait sujette à cette époque que du bon vouloir des Se(a)igneurs qui était lincarnat de Jésu-Xrift. Bien sûr ils se servaient des raisons historiques marquées du sceau de léternité du passé immobilisé sur les pages des transcripts qui sortaient des caveaux de leur propre famille, et ne pouvaient être montrés sous le soleil qui décolorait toute chose pour en faire disparaître le possible témoignage, remplissant du vide lespace dun instant sur une page noircie. Ils faisaient cacher leur Sainte-Ecriture par les peintres et enlumineurs qui les rejoignaient dans la luxure et la dépravation de torturer les animaux innocents et humilier les boucs, tels quils auraient aimé transformer le monde par des modèles quils indiquaient dans leur regard soumis à leurs propres sensations de puissance. les rires et les nuées sortaient de leur bouche palpitante dexercice de la langue, et exhalait les odeurs infernales des tombeaux qui excitaient la curiosité des esprits-moineaux suivant leur expression sadique de la méconnaissance. la virginité était imposée aux filles qui navaient pas accès à la connisance du mot même vierge, et encore moins de ce quétait la défloraison de larbre par la fleur. Le lotus impuissant montrait un terrain, une zone dombre, indiquée à la jeune fille eaux jeunes recrues à initier dun regard,que lamour était beau et leur porterait préjudice car le soleil finirait par baisser, et cette belle couleur éclatante du lotus finirait forcément par être gagnée par lombre, et cette couleur rose abîmée par les étrangetés de lombre de la nuit naissante, cette couleur infâlm qui faisait pour elles et eux, périr la beauté. Le vin rosé, rouge coupé deau pouvait ensuite faire son entrée dans la pétrification des vierges violé(e)s afin de les soumettre à la bouffée délirante et au masochisme par le plaisir rompu. La soumission du monde était en marche, car la Sainte-Ecriture de leurs pères et de leurs pères disaient quils étaient associés dans la Connoissance. Les peuples antiques grecs et romains, ces peuples aux majeur tout(s)-Puissant, avaient dailleurs fait admettre par le peuple par la brutalité torturante assoiffée de ces sangs et ces viols, que de Dieux pouvaient être incarnés sur Terre nommée Roma ou César-Empereur-Majesté-des-Drames-e-tLucidités-de-la-Vie-Toutepuissante-Eternelle-Justifiée-de-l-Impunité-Divine. [Note de lAuteur Nirmel MOUCHIQUEL: Internet manipulé par des intesités que les anti-virus refusent ne permet toujours pas la fluidité du temps qui passe... et qui passe... et qui passe...]. Les Aristocrates nommés ainsi les Dieux, étaient authentifiés par Décret Uniforme Enticipatoire, terme que les populations impressionnées et assujetties à lUmiliation ne comprenaient pas et ne pouvaient même pressentir par les lois imposées à leur pensée par la crainte pétrifiante dêtre humiliés plus encore quils ne létaient nuit et jour, et la faim et le froid était pour eux un bonheur de pouvoir les sentir dans la tranquillité alors quils étaient un moyen pour les Sages Antiques dhumilier le peuple. Voilà ce monde qui commençait à se détruire sans savoir doù cela pouvait bien provenir. Petit à petit, lArt naissait, qui établissait la Connoissace chez le peuple, qui faisatit enfin accéder en 1789 la Liberté aux Droits humains fondamentaux dans lHistoire que les peuples ne connaissaient que vaguement autour de cette Révolution, linformation nétant pas le point fort des gens non-corrompus, et devant compter avec le temps et la vie devait pour cela être la plus forte. Oui, le temps était déjà pour ces peuples qui nous semblent reculés et dont nos pères à nous et nos mères à nous sortirent, droits et résistant encore et encore à la volonté de dominer la pensée et le geste. Mais les guerres aujourdhui et le temps a failli apporter un monde Eprouvant de souffrrances uniquement rempli de handicaps et traumatismes, tant ces volontés étaient prêtes à tout, et même risquer le pire, car ce nets quau bord du précipice du Néant pour les humains et pour la planète que leur coeur soudain fit volte-face, que le monde croyait inexistant, et ils ne purent se résoudre à lextinction totale de la vie sur notre planète. Pendant la période qui suivit, je veux dire, qui suivit la Réolution Française, [la suite immédiatement quand mon internet permettra dêtre un peu plus dans le flux sans bloquer à cause des sautes dintensité]
Posted on: Mon, 11 Nov 2013 21:12:01 +0000

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