Pour mon ami Sam Bencheikh Terre à terre : Je me terre atterrise alors que d’autres s’extériorisent de pensées austères, comme d’un privilège offert aux grands ducs d’une incommensurable fourmilière, grouillante d’incertitudes, blasée de lassitude, condamnée à l’attente permanente, qu’une divinité moins insolente, daigne pour le moins, décrocher le combiné, tu peux toujours espérer, la ligne est encombrée… Je me terre atterrise alors que d’autres se bannissent du regard, hagards d’hébétude de se mirer dans ce miroir, ce reflet de soi-même, furtif, insaisissable, fuyant tel un éclair blanc, pourfendant l’atmosphère surchargé d’émulation, dès l’instant que des yeux osent se croiser, même sans intention, et très vite se détourner, sans risquer s’attarder, par criante de l’inconnu, par pure vanité. M.J. Galdi.
Posted on: Fri, 12 Jul 2013 22:46:35 +0000
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