Pour un Maghreb libre et laïque La laïcité est le principe de - TopicsExpress



          

Pour un Maghreb libre et laïque La laïcité est le principe de séparation de l’État et de la religion. Le terme grec, laos, désigne lunité d’une population, considérée comme un tout indivisible. Le laïc est l’homme du peuple, qu’aucune prérogative ne distingue ni n’élève au-dessus des autres. samedi 13 avril 2013 Les Bouffons de la Ripou-blique : Marzouki-la-Honte Photo Après Ghannouchi-Iznogoud et Laraïdth-Dilat-Larath, nous continuons notre série tragi-comique des bouffons de la Ripou-blique Chacun d’entre nous peut vérifier si, oui ou non, les hommes politiques qui nous gouvernent sont des têtes de nœud, ainsi que laffirme quotidiennement lhomme de la rue. En allant au bout du sujet, au sujet du bout, on ne peut désormais plus le nier : une indéniable ressemblance existe entre les Glands de ce Gouvernement trinitaire et leur boutique, entre leurs affaires personnelles et celles de la Nation. Voici donc révélés, par le texte et limage, les véritables dessous de la politique « halal », les choses de lÉtat et létat des choses. Le mot ripou est le verlan de pourri. Marzouki a libéré des centaines de criminels contre argent Tout est faux dans l’histoire de Moncef Marzouki. De son père qui aurait quitté la Tunisie pour youssefisme (en fait, son père était un goumier, un traître, au service du colonialisme français) jusqu’à son divorce de sa première et de sa seconde épouse. Mais, par éthique professionnelle, on ne l’attaquera pas sur sa vie privée. On se contentera seulement d’évoquer les crimes qu’il a commis contre la Tunisie depuis que Ghannouchi l’a désigné président. Aujourd’hui, le dossier des centaines de criminels qu’il a libéré et qui, depuis, pourrissent la vie des tunisiens. Avec sa dernière déclaration sur les tunisiens qui risqueraient des représailles judiciaires s’ils critiquaient le sacro-saint Qatar, ce président, qui ne doit pas sa fonction au suffrage universel mais à Rached Ghannouchi, vient de franchir un pas supplémentaire dans l’avilissement de la Tunisie. En réplique à son insolence, et non pas à son excellence comme il aime se faire appeler, nous allons faire quelques révélations sur certains tunisiens et libyens qu’il a amnistié contre argent versé sur deux comptes, l’un au Luxembourg, l’autre en Suisse, aux noms de deux personnes dont nous allons révéler ici les identités. 25.344 criminels sont dans la nature Déjà en février 2011, de l’aveu même de Farhat Rajhi, alors ministre de l’Intérieur, 10000 criminels étaient en liberté. Avec des complicités militaires, ils avaient réussi à s’évader de leurs prisons au moment des événements de janvier 2011. Près de 150 autres, des terroristes islamistes, les seuls « prisonniers politiques » qui restaient dans les geôles de Ben Ali, ont été relâché sous la pression de Sihem Ben Sédrine et Radhia Nasraoui. Trois mois après, le 18 mai 2011, huit d’entres eux avaient d’ailleurs abattu dans le gouvernorat de Siliana le colonel Tahar Ayari et le jeune soldat Walid Hajji. Deux vrais martyrs déjà oublié par l’opinion tunisienne. Entre janvier 2012 et mars 2013, 15194 autres criminels ont été amnistiés par le président provisoirement nommé par Ghannouchi pour services rendus à la cause islamiste. Le 14 janvier 2012, il a libéré 8844 condamnés. Le 20 mars 2012, il a libéré 2470. Le 25 juillet 2012, il a libéré 1302. Le 18 décembre 2012, il a libéré 1900. Le 14 janvier 2013, il a libéré 312. Et le 20 mars 2013, il en a libéré 366. Si on ajoute ces 15194 aux 10150 déjà dans la nature à la suite de la révolution dite du jasmin, nous avons aujourd’hui 25344 criminels qui vivent en liberté. Certains estiment par ailleurs le nombre des terroristes rentrés de l’étranger, et qui étaient recherchés par la police tunisienne, à 1200. Voilà ce qui est explique la vie devenue insupportable des tunisiens. A partir de 20h, on ne voit plus grand monde dans les rues de Tunis et des autres grandes villes. On ne compte plus les meurtres, les vols et les viols dans cette Tunisie qui a connu la paix et la sécurité sous le régime de Bourguiba et celui de Ben Ali. Selon un quotidien local, 63% des crimes commis sont le fait des anciens prisonniers que Marzouki a libéré. Marzouki nomme un ex-Rcdiste adepte de la polygamie Mufti de la république hamda saied 7 6 2 Le nouveau mufti de la république est limam de la mosquée du Souk à Béni Khiar, dans le gouvernorat de Nabeul. Ce sinistre individu, bien connu pour sa fourberie, sappelle Hamda Saied. Ce RSCdéiste était déjà membre de la Chambre des députés entre 1989 et 1994, élu sur une liste du Rassemblement constitutionnel démocratique (Rcd, ex-parti au pouvoir dissous). Il était un enseignant du secondaire, a été nommé professeur à luniversité de la Zitouna, lannée même de son accession à la Chambre des député, promotion quil doit à la campagne quil avait menée, à lépoque, pour réviser le Code du statut personnel, abroger larticle interdisant la polygamie et permettre aux musulmans tunisiens davoir plusieurs épouses. A lépoque, Ben Ali voulait légaliser sa relation avec sa maîtresse Leila Trabelsi, sans devoir divorcer de sa première épouse et mère de ses trois filles. La «fatwa» du cheikh Saïed était censée lui ouvrir la voie pour un tel arrangement. Finalement, la société civile sest fortement mobilisée et a contraint lancien président à aller jusquau bout de son projet. Il a dû finalement divorcer pour voler en justes noces avec sa nouvelle dulcinée. La suite on la connait... Un escroc notoire Hamda Saïed a jeté son dévolu sur cette vielle octogénaire pour la dépouiller d’une parcelle de terrain et d’abuser de sa confiance. Fatma Tabbena l’accuse d’escroquerie et d’abus de faiblesse. Cette octogénaire née en 1928 et originaire de Beni Khiar (, explique qu’elle lui a confiée avec son frère un mandat pour assurer le partage dun bien familial et qu’il en a profité pour s’en approprier une parcelle à leur insu. Vulnérable et très affaiblie du fait de son âge pour résister à cet escroc-arnaqueur qui jouit de divers soutiens de notables véreux vu son passé Benaliste et fraîchement converti en un islamiste wahabiste au service de ses nouveaux maîtres nahdaoui. « Le pire, dit l’octogénaire, cest dêtre prise au piège par ce minable, dans une affaire minable. Labus de faiblesse, cest minable. Jespère que je vais réussir à surmonter cette épreuve, » a-t-elle ajouté. Nommer un ex-Rcdiste, qui plus est, adepte de la polygamie, au poste de mufti de la république, avec le grade et les privilèges dun secrétaire dEtat, il ny a que Moncef Marzouki pour commettre ne telle bévue. Lorsque le populisme se conjugue avec l’affairisme Ce n’est pas seulement par démagogie et par populisme que Marzouki a gracié ces criminels qui terrorisent aujourd’hui les honnêtes citoyens. C’est aussi par mercantilisme. Selon des témoignages directement obtenus du ministère de la Justice et corroborés par l’avocat d’un ex-détenu, plusieurs familles ont dû verser de l’argent pour que leurs proches soient inscrits sur la précieuse liste des heureux élus. Mais l’essentiel n’est pas là, ces sommes d’argent ayant été empochées soit par les nouveaux fonctionnaires corrompus au sein du ministère de la Justice, comme au bon vieux temps de la dictature, soit par tout un réseau travaillant pour Ennahda. Le plus grave, compte tenu des destinataires, c’est l’argent qui a été transféré à partir de banques étrangères dans une banque au Luxembourg et une autre en Suisse, par 7 détenus libyens et 11 anciens chefs d’entreprises tunisiens. Le compte en Suisse est au nom d’un certain Anouar Gharbi, l’un des plus proches conseillers de Moncef Marzouki qu’on ne voit jamais à la télévision ni dans la presse écrite. En bon islamiste, l’homme pratique la Taquiyya. Né à Cheba en 1964, Anouar Gharbi a fui la police tunisienne en même temps que Ghannouchi, en 1991. Il s’est installé en Suisse où il a acquis la nationalité de ce pays. Proche de Tarek Ramadan, il dirigeait une quinzaine d’ONG, dont une soi-disant pro-palestinienne et une autre appelée CSPT (comité de soutien du peuple tunisien). Fortuné, propriétaire d’une somptueuse villa dans la région du Grand-Saconnex, un canton de Genève, Anouar Gharbi a été l’un des premiers affairistes islamistes à financer le CPR, dès 2001. Renvoie de l’ascenseur ou pacte mafieux entre un droit-de-l’hommiste devenu président et un islamiste devenu conseiller ? Toujours est-il que la relation entre ces deux hommes est suffisamment troublante pour que Marzouki cache à la presse tunisienne l’existence de ce conseiller très spécial à la présidence. Son nom, comme ceux de huit autres conseillers de lombre, ne figure pas sur la liste des 17 conseillers officiels dont les noms ont été publié dans le Journal Officiel du 20 janvier 2012 et où figuraient dailleurs Abdallah Kahlaoui, ancien cadre du RCD et Ayoub Messaouidi, ancien blogueur islamiste, tous les deux limogés depuis. Quant au second compte au Luxembourg, il porte le nom d’un certain Mansour Abbou, qui vit depuis quelques années entre Bruxelles et Tunis et qui serait propriétaire d’une auberge à Anvers. Selon un premier informateur, membre dépité du CPR, il serait le cousin de Mohamed Abbou. Un second informateur, journaliste dans un hebdomadaire tunisien bien connu, Mansour Abbou serait l’un des oncles de Mohamed Abbou et il aurait également vécu en Belgique. Quoiqu’il en soit, Mohamed Abbou est d’une façon ou d’une autre impliqué dans ces transferts d’argent au Luxembourg. De là à établir un lien avec Moncef Marzouki, il n’y a qu’un pas. Sil y a de vrais journalistes dinvestigation en Tunisie, ils peuvent facilement vérifier lauthenticité de nos révélations et pousser lenquête plus encore que dans cet article. Contrairement à sa légende, Moncef Marzouki n’est pas insensible à l’argent. Il n’a jamais été exilé politique en France mais avait un titre de séjour de dix ans. Il n’a pas vécu misérablement, comme il l’a déclaré en février 2011, mais avait un salaire de 6000 euros du ministère de la Santé, comme vient de l’affirmer Ahmed Manaï. Enfin, comme nous l’avons révélé à l’époque (T-S du 26 juin 2012), ce n’est pas à son insu que Baghdadi Mahmoudi à été livré aux mercenaires qui sont au pouvoir, mais avec son accord tacite et en contrepartie d’une importante somme d’argent versée par les nouvelles autorités libyennes sur un compte à Londres, au nom de Saïd Ferjani, l’un des principaux lieutenants de Rached Ghannouchi. Tunisie-Secret
Posted on: Wed, 04 Dec 2013 11:50:35 +0000

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