Professional Institute president to N.-B. Minister Higgs: Slow - TopicsExpress



          

Professional Institute president to N.-B. Minister Higgs: Slow down public service pension reform to make it fair and get it right / Le président de lIPFPC au ministre Higgs: Ralentissez la réforme des pensions de la fonction publique pour la rendre juste et équitable -------------- Fredericton, October 31, 2013 –Gary Corbett, President of the Professional Institute of the Public Service of Canada, met today with New Brunswick’s Finance Minister, the Honourable Blaine Higgs, to call attention to the Institute’s opposition to the provincial government’s plans to repeal the Public Service Superannuation Act (PSSA), and to replace the current plan with a Shared Risk Plan. He emphasized that outcomes such as the loss of acquired benefits, a steep increase in employee contributions and the need to work an extra five years, amongst others, are completely unacceptable to PIPSC members. “Minister Higgs and his government’s approach to pension reform will have serious negative consequences for the retirement security of past, present and future public service employees in New Brunswick as well as in other jurisdictions”, said PIPSC President Gary Corbett. Beginning last Fall, PIPSC and other unions whose members contribute to the current pension plan under the PSSA were invited to attend a series of meetings with the Task Force appointed by Minister Higgs, which is mandated to review provincial public-sector pension plans. The Institute was prepared to seriously consider any adjustments that would ensure the current plan’s financial viability over the long term, but was told that “fixing the PSSA is not an option”. The lack of evidence proving that the current plan cannot be adjusted to respond to new economic and demographic realities suggests that the introduction of the new Shared Risk Plan is a political, rather than evidence-based, decision. PIPSC has therefore refused to sign a Memorandum of Understanding that gives the government carte blanche to move forward with its plans. “The Alward government has a problem to resolve, unfortunately the path it is on will not lead to a fair solution for thousands of New Brunswickers”, continued Corbett. “There are a number of practical, fair and viable alternatives that the provincial government should explore. In the meantime, we urge Premier Alward to slow down the current pension reform process so that New Brunswick can get it right”. The Professional Institute of the Public Service of Canada represents some 60,000 professionals and scientists across Canada’s public sector, including more than 400 provincial employees who proudly serve the citizens of New Brunswick as Crown Prosecutors, Crown Attorneys, Engineers, Land Surveyors, Architects, Veterinarians, Agrologists and Agronomists. ****** Le président de lIPFPC au ministre Higgs: Ralentissez la réforme des pensions de la fonction publique pour la rendre juste et équitable Fredericton, le 31 octobre 2013 – Gary Corbett, président de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), rencontrait aujourd’hui le ministre des Finances du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, pour attirer l’attention sur l’opposition de l’IPFPC aux projets du gouvernement provincial d’abroger la Loi sur la pension de la fonction publique (LPFP) et de remplacer le régime actuel par un régime à risques partagés. M. Corbett fait valoir que la perte d’avantages sociaux acquis, une forte hausse des cotisations des employés et l’obligation de travailler cinq ans de plus, entre autres, sont totalement inacceptables pour les membres de l’IPFPC. « La réforme des pensions conçue par le ministre Higgs et son gouvernement aura des conséquences graves sur la sécurité de la retraite des employés de la fonction publique du passé, du présent et de l’avenir au Nouveau-Brunswick et dans d’autres provinces et territoires », selon M. Corbett. Au début de l’automne dernier, l’IPFPC et d’autres syndicats dont les membres cotisent au régime de pensions actuel en vertu de la LPFP ont été invités à assister à une série de réunions avec le groupe de travail mis sur pied par le ministre Higgs pour réviser les régimes de pensions du secteur public provincial. L’Institut était prêt à accepter n’importe quelle modification qui assurerait la viabilité financière à long terme du régime actuel, mais s’est fait dire quil n’était « pas envisageable » de corriger la LPFP. Comme rien ne prouve quon ne peut pas adapter le régime actuel à de nouvelles réalités économiques et démographiques, la décision d’établir le nouveau régime de risques partagés serait purement politique et arbitraire. L’IPFPC a donc refusé de signer le protocole d’entente qui donne le feu vert aux projets du gouvernement. « Le gouvernement Alward a un problème à régler, mais il a malheureusement choisi un moyen de le faire qui n’est pas équitable pour des milliers de Néo-Brunswickois, poursuit M. Corbett. Il existe plusieurs solutions de rechange pratiques, équitables et viables que le gouvernement provincial devrait étudier. Entretemps, nous exhortons le premier ministre Alward à ralentir le processus de réforme du régime de pensions actuel pour le bien du Nouveau-Brunswick. » L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente près de 60 000 scientifiques et professionnels du secteur public canadien, dont plus de 400 employés provinciaux qui servent fièrement les Néo-Brunswickois à titre de procureurs de la Couronne, dingénieurs, darpenteurs, darchitectes, de vétérinaires, dagrologues et dagronomes. pipsc.ca/portal/page/portal/website/
Posted on: Thu, 31 Oct 2013 15:51:53 +0000

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