Propos du 16 Juillet- Des dérapages un peu partout, même dans les pays, qui s’enorgueillissent d’êtres des Etats de droit. Des principes, ou des préceptes foulés aux pieds, puisque ce sont des hommes, qui agissent. Rien d’étonnant, qu’ils s’écartent de la vraie voie, puisqu’ils sont faillibles, c’est-à-dire qu’ils peuvent se tromper. C’est le contraire, qui aurait étonné. On se plaint de la façon d’avoir rendu la justice par exemple aux USA, comme si la justice humaine, d’une manière générale était équitable et quel que soit le verdict, l’on ne peut contenter tout le monde, d’où des points de vue contaradictoires en fonction des intérêt en jeu. En ce bas-monde, deux poids et de mesure, d’où des opinions controversées, génératrices de discorde, qui peut parfois provoquer malheureusement des tueries afin d’aggraver la situation. En de pareilles circonstances, il faudrait recourir à la modération en fuyant les extrêmes pour demeurer au milieu, ou dans le centre de l’équilibre, très difficile à détecter, voire s’y maintenir. C’est là, ou le bât blesse, ou le noeud gordien, difficile à dénouer. Par conséquent, des insatisfactions sont monnaie courante, d’où des regrets, bien que le mal ait été déjà accompli. Par voie de conséquence des représailles se mettent de la partie pour perpétuer la violence, néfaste à la bonne marche de l’avancée sans heurt. On aura beau prendre des mesures que de droit. Mais dans leur accomplissement des inattendus, qui sont à même de gangrener le statu quo. Ainsi certaines prévisions ne sont pas de saison et les projections ne correspondent nullement aux résultats escomptés. Le plus souvent de l’à peu près, qui s’ècarte des espérances enclenchée. Il nous faudrait la capacité de visionner l’avenir dans sa réalité pluridimensionnelle, un des attributs réservé à l’Eternité dans sa prescience. Alors à quoi bon s’enorgueillir de son savoir, qui ne peut même sonder valablement le présent, le lire dans tous ses contours et sa profondeur pour être à même de dessiner l’avenir? Aussi nous convient-il de nous concerter afin de déboucher sur des conclusions, aptes à plaire dans une certaine mesure à chacun des partis au sein d’un Etat. Ils ne sont pas des ennemis, mais plutôt des compétiteurs, qui essaient de mieux travailler pour l’avancement. Avec un tel leitmotiv, le bien-êtr est visé et arriver à un certain pallier la négociation s’avère le remède pour servirr de tremplin, afin de mieux oeuvrer en faveur du plus grand nombre. Tout est à la portée de la minorité pour améliorer les conditions de vie de la majorité, sans qu’elles ne soient à couteaux tirés, d’où leur interdépendance dans le respect mutuel, car nous sommes tous des humains dérivés du divin à cause de notre ascendance commune. A ce compte, une nouvelle philosophie à prôner à savoir le progrès comme cible afin de travailler d’arrache -pied non pas au partage équitable, mais de préférence pour que les démunis aient un minimum, afin qu’ils ne soient pas relégués dans la fange de la misère accentuée. Un nouvelle donne à viser, afin que la raison de vivre soit commune à tout un chacun à des degrés divers au sein de la nouvelle ère.
Posted on: Tue, 16 Jul 2013 17:50:54 +0000
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