Propos du 27 Septembre 2013. La voie pour parvenir à l’entente - TopicsExpress



          

Propos du 27 Septembre 2013. La voie pour parvenir à l’entente tant souhaitée. La conversation en vue de la cessation de l’aversion. L’incontournable conversation permet de mettre fin aux hostilités de toutes sortes et de contribuer à rapprocher les hommes et les Etats. L’incompréhension est issue d’un manque de dialogue. Il y a toujours moyen de parvenir à une entente entre les inconciliables. Il ne faut jamais camper sur sa position et déclarer haut et fort que l’on est le dépositaire de la force au detriment des autres. Une telle attitude relève de l’animalité. La raison est commune à tous et à chacun, d’où la nécessité de reconnaitre la possibilité pour autrui de cheminer en plein coeur du bien fondé et de l’ordonné… Les divergences proviennent de l’irréductibilité, axée sur l’orgueil et plus précisément sur la présomption. Chacun doit céder une parcelle à laquelle il est très attaché pour faciliter la négociation en vue de déboucher sur une entente, conforme à une partie des intérêts pour chaque camp et cela n’est possible que par le biais d’un dialogue constructif. Au début, c’est la rigidité, mais grâce aux échanges verbaux, elle se mute en compréhension mutuelle pour faire triompher la fraternisation au détriment de la mésentente, ou de la division. La concorde à privilégier. Elle se révèle toujours plausible à la faveur de la réciprocité des avantages. L’amour siège en plein coeur de l’union, tandis que la haine règne en souveraine dans l’épicentre de la mésentente. Pourquoi ne pas opter pour la positivité et renoncer à la négativité destructrice,qui s’alimente à la source infernale de la division? La première alternative est préférable à la seconde pour sauvegarder guérir l’incurable. Aussi convient-il de se placer sous le panthéon du dialogue: - pour aplannir les aspérités, émousser les différends jusqu’a leur disparition - pour pardonner les offenses, au point que les offenseurs se repentent en regrettant leurs actes répréhensifs. - pour ne plus recourir à la vengeance au profit de l’arme non tranchante de la non violence, à savoir la clémence. - pour mieux se comprendre, malgre les oppositions à cause de l’appartenance à des sectes religieuses diamétralement opposés. - pour résoudre les conflits entre les époux divisés à cause de leur incompabilité de caractère ou des agissements irrévérencieux de l’un des conjoints. - Le dialogue à tout prix pour porter les créanciers à renoncer aux dettes des débiteurs insolvables sans recourir à la contrainte par corps. - Le dialogue pour porter les patrons à se montrer moins cupides à l’égard de leurs ouvriers afin d’accorder à ces derniers un salaire rémunérateur, leur permettant de prendre goût à la vie. - Le dialogue à privilégier pour permettre aux nantis de se pencher sur le sort des deshérités afin de céder une parcelle du surplus de leurs richesses. A ce moment les laissés pour compte s’en réjouiront en se rassasiant tout au moins des miettes, tombant de la table des économiquement forts. Les démunis se pâmeront d’allégresse. - Le dialogue à prêcher pour travailler à mettre fin aux hostilités entre les Etats. Les mieux armés arrivront à se débarasser de leurs armes sophistiquées de destruction massive afin de mettre fin à leur domination sur les autres, qui ne sont pas des puissances nucléaires. - Le dialogue à claironner pour rapprocher l’Orient de l’Occident en faisant taire leurs divergences en ce qui a trait au christianisme et à l’islamisme sur le point de déclencher une guerre sainte en apparence, qu’il faudrait en réalité qualifier de sacrilège. - Le dialogue à entonner en choeur par les belligérants, pour qu’ils cessent leurs agressions meutrières au profit de la negociation autour de la table de la convergence. - Le dialogue a chanter pour soudoyer, inhumer à tout jamais la hache de guerre au profit du rameau d’olivier. - Le dialogue à prôner au frontispice de toutes les assemblées pour que le commandement au-dessus de tous les autres: “ Aimez-vous les uns, les autres”. ait droit de cité. - Le dialogue à enseigner comme matière de base de la maternelle jusqu’au doctorat en passant par les niveaux primaires, secondaires, universitaires. - Le dialogue à célébrer comme leitmotiv, détenteur du maximum de la positivité, apte à éliminer l’aversion ou la haine au sein des foyers, des Etats et entre les Etats. - Le dialogue à mettree en exergue par la presse parlée, écrite, télévisée, sur internet, sur les portables et surtout de bouche à oreilles. - Le dialogue comme le maitre- mot pour soulager des maux, qui frappent l’humanité de plein fouet. - Le dialogue à inculquer à tous les habitants de la terre pour l’élaboration d’une langue universellement parlée. - Le dialogue à ressasser comme l’évangile de la délivrance à propager dans toutes les langues, parlées sur la planète - Le dialogue, la panacée pour présider à la guérison de tous les maux. - Le dialogue pour combattre les pommes de discorde afin de parvenir à la concorde universelle - Le dialogue pour faciliter la collecte de fonds afin de construire des abris, dignes de ce nom pour enrayer du vocabulaire de toutes les langues les mots: sans-abri, homeless . - Le dialogue pour installer des centres hospitaliers, permettant de prodiguer des soins de santé à ceux qui sont dépourvus sur la face du monde d’assurance-maladie. Le dialogue pour soulager de la misère les damnés afin de les intégrer valablement dans la société et ce serait justice. Le dialogue, une nécessité vitale grâce à la parole, un privilège du divin à l’humain. Professeur-écrivain Grégoire François Jocelyn, l’artiste du verbe, le motivateur de la pensée positive, mise au service de l’humanité. Tout est à sa portée grâce à La Divinité, omniprésente, omnisciente et omnipotente.
Posted on: Sat, 28 Sep 2013 00:16:22 +0000

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