Propos du 8 Août 2013- Un monde toujours sur le qui vive. Peut-on continuer à exister de la sorte? Il faudrait tenter sinon de remédier, mais tout au moins de pallier une telle situation cahotique. Les commotions populaires font rage ici et là sur la planète. Parfois c’est pour exiger le retour au pouvoir d’un leader renversé manu militari, parfois c’est la misère accentuée, dénommée la promiscuité, qui provoque des émeutes, ou la prise de mesures d’austérité, qui éclaboussent le plus souvent la majorité, qui vivote à peine, très souvent c’est un parti, qui se sent léser par des mesures cavalières de la part des dirigeants, les résultats d’élections contestées, la recession, qui bat son plein, l’ingérence étrangère, l’incapacité de la plupart des Etats à fournir un minimum d’aisances à leurs resssortissannts, les retombées néfastes des rapines du passé à l’égard des exploités, qui aujourd’hui sont mutés en réfugiés économiques, humiliés dans les pays d’accueil, qui les refoulent dans leurs pays d’origine comme des lépreux, ou des pestiférés de jadis. La méchanceté humaine occupe le haut du pavé, ou est auréolé du médaillon du triomphe, sans compter les soubresauts des catastrophes naturelles, qui s’amplifient au fil des ans à cause l’invasion irréversible de gaz carbonique, plus que corrosif. La dégénérescence gagne du terrain sur le plan national et international. Le chômage s’intensifie, même dans le cas où l’on enregistre une certaine baisse, elle n’est pas pour autant substantielle pour générer une certaine amélioration des conditions pas de vie, mais d’existence misérable. L’on se débat du bec et des ongles. Que de tentatives infructueuses pour tempérer la haine des musulmans contre les Occidentaux, qui considèrent les premiers comme des poseurs de bombes, tandis que ces terroristes se rencontrent dans les deux camps. Aussi faudrait-il modérer le langage pour ne froisser quiconque et tenter d’amorcer un rapprochement. La planète, à bien des égards, va mal. Des corrections à apporter dans le comportement tout d’abord au sein de chaque foyer pour restaurer l’entente entre les père et mère, les enfants. Etant donné que chaque famiile est le noyau de la société, leur ensemble conduirait à des Etats, dotés de vrais compatriotes. Dans les écoles, du savoir vivre comme matière de base à dispenser par des professeurs, détenteurs de la capacité de convaincre les apprenants au plus haut point, dans les assemblées religieuses, des sermons, ou des homélies, aptes à nous faire reconnaire que nous dérivons de la même ascendance, celle du Père Créateur. En tant que tels, il nous convient de fraterniser dans la sérénité, ou tout au moins enseigner aux non croyants, qui sont habités par la perfectibilité, ou la voix de la conscience, car dans l’humain il y a le divin, qui conseille favorablement en vue du respect des normes. Il y a moyen de modifier le statu quo progressivement. Le pessimisme est à bannir de la pensée humaine pour faire taire les préjugés de toutes sortes, ou les idées préconçues. Par voie de consequence, pas d’orgueil à se considérer comme le dépositaire de la vérité en voulant fustiger ceux, qui on une autre opinion, car la vérité s’identifie au Crucifié-Ressucité. Eradiquons les prétendues supériorités de race, de classe , de religion de regions… Que les férus de savoir soient prêts à partager une telle recette, qui va engendrer un quotient, plus élevé que la dividende! Avec l’instruction, comme tremplin, les hommes et les femmes disposeront de plus d’atouts pour amorcer la conciliation, par des échanges en vue de la lubrification des relations humaines. PS- Nos écrits sont appréciés ici et là et plaisent par le fait-même. Rendons grace au Seigneur, qui nous a fait don, de quelques paroles, tirées de sa Parole. Aussi continuons-nous à éclairer vos lanternes. Professeur-écrivain Grégoire Francois Jocelyn ( 561) 929-40-04- Email:gregoire Jocelyn701@yahoo.
Posted on: Thu, 08 Aug 2013 16:46:59 +0000
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