Për ata që e njohin frengjishten keni një punim nga unë në - TopicsExpress



          

Për ata që e njohin frengjishten keni një punim nga unë në shkencat shoqërore. Këtu është vetëm prezentimi i përmbajtjës dhe i hyrjës. Tek blogu e keni të plotë Shpresoj të gjej kohën ta përkthej në shqip ndonjëherë. Faleminderit -------------------------------------------------------------------------------------- LA PRÉSENTATION DE SOI DANS LES RÉCITS BIOGRAPHIQUES Labinot GJINI Novembre 2011 -------------------------------------------------------------------------------------- SOMMAIRE Introduction Toute histoire reconstruite porte en soi une histoire réelle. L’histoire reconstruite selon les representation du sujet Les besoins du present compensé par le passé. Les recits de vie L’histoire d’un individu peut caché l’histoire d’une société. Le poids du chercheur dans un récit de vie Les trois raisons d’agir de Bertaux Conclusion ---------------------------------------------------------------------------------------- Introduction Les récits de vie, histoire de vie ou biographie semble un point de désaccord multi facette entre chercheurs. Déjà l’appelation « récits de vie », « histoire de vie » ou « biographie » relève des dessacords et non ni le même sens ni le même objet de recherche selon J.L. Le GRAND[1]. sens aux lectures des differents articles des revues scientifiques semble être une distorsions entre les chercheurs. Selon que ses derniers soit formé par une école ou par une autre de sciences humains accord ou non de l’importance à de telle recits. En outre, ceux-là voit aussi les difficulté inhérent à l’interpretation de ces recueilles, à leurs significations, . Les recits de vie semble être une nouvelle mode du monde contemporain et l’intérêt porté par les sciences humaines semble commencé par l’Ecole de Chicago qui est la première à être passé d’une sociologie théorique à une sociologie empirique. Chicago une ville qui est passé de 300 000 habitants en 1870 à 3 400 000 en 1930 et composé à plus de 70 pour 100 d’immigrants divers installé dans des zones urbaines selon leurs appartennances ethniques est un vrai « laboratoire social » pour les chercheurs de l’Ecole de Chicago. Le manque de connaissance des immigrants ont semble t-il mené les chercheurs assez vite sur le terrains pour recueillir des données empiriques. L’une des premières préoccupation pratique ont mené les chercheurs de Chicago a s’intéresser au correspondance que les immigrants changé avec leurs pays d’origine (surtout des immigrants polonais) pour savoir comment ceux là vivées ces changements brutaux dimensionnel et sociale. L’intérêt des recits de vie a trouvé la naissance dans ses période ou le souci de la sociologie est principalement de se différencié non seulement par son objet mais aussi par sa méthode de son encadrement philosophique. Avec Willian Isaac Thomas dans l’Ecole de Chicago, les sociologues de la sociologie vont sortit de leur bureau et de leur bibliothèque pour s’approcher, a la manière des ethnographes, près des faits et des acteurs sociaux dont il ambitionne de les connaitres et de les expliquer. Opposé à une sociologie europeenne considéré parfois, a tort ou a raison, enfermer dans sa tour d’ivoir, la sociologie américaine, restera par ses méthodes difficilement accepter par les européens. L’une comme l’autre semble à l’origine être en manque soit de la théorie soit de la pratique. La sociologie américaine qui était parti sur la pratique manquait à son origine de la théorie sur laquelle elle du revenir patiement. De son côté, la sociologie européenne et française surtout, en manque de pratique mais assez bien théorisé semble être de plus en plus intégrer par l’empirisme. Ces différences ce releve encore avec l’époque de Lazarsfeld et du succes de la sociologie quantitative. Pierre Bourdieu, avouera lui-même qu’il n’assistera pas à la conférence de Lazarsfeld à Sorbonne par sentiment de rabaissement devant la sociologie américaine[2]. Le debat entre chercheur sur les « recits de vie » reflet en filigrane semble refleté aussi cette concurrence historique entre sociologie américaine et sociologie européenne. La distorsion parait moins dans un rejet conservateur entre les partis que dans une difficulté de formation d’origine des differents chercheurs et le debat semble porté sur la compréhension de l’autre et sur la recherche de la complémentarité de ces différentes méthodes. En outre, un des points de discorde dans les récits de vie trouve son origine dans les deux courants de la sociologie contemporaine, a savoir l’individualisme méthodologique et le determinisme social. Cette approche biographique semble relevé plus compatible avec le premier courant que le deuxième. Pierre Bourdieu, dans l’illusion biographique, fait une critique globale de cette approche et surtout des cas où les chercheurs ne prennent pas en compte les determinismes sociaux (le paysage) qui ont accompagné l’acteur dans son passé réel et pendant le récit. Les recits de vie semble être une difficulté en soi à multiple facette. L’une des premières difficulté est que l’objet est un homme qui parle et emet des mémoires et des reflexions sur ses mémoires. L’autre, sur le statut de ces récits, sur l’information qu’il véhicule vraiement. Mais la difficulté n’est que grimpante quand on pense à un recepteur présent face à cette émetteur. Difficulté qui pose des questions sur la situation qu’une telle présence peut crée qui peut être différent selon le statut que porte le récepteur. Le récit lui-même renferme une histoire à statut difficile à definir aussi qui est très relié au représentation, au but de celui qui emet. Cette complexité nous a emmener a nous poser cette problématique générale : En quoi est ce que la présentation de soi dans un récit biographique comporte, à côté d’une histoire réelle, une histoire reconstruite par le/s narrateur/s portant les marques de la situation présente dans laquelle elle a été formulée et dans le but qu’elle a été faite ? A cette problématique, nous allons essayer d’y répondre en voyant, tout d’abord, comment dans tout histoire reconstruite une histoire rélle reste en filigrane. Puis, en essayant de voir comment et pourquoi un récit de vie renferme ne peut être autre qu’une construction par le sujet. Et, enfin, nous terminerons en analysant le poids du chercheur dans un récit de vie.
Posted on: Wed, 10 Jul 2013 08:22:07 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015