QUI EST JEAN JACQUES BOUYA? Jean Jacques BOUYA, Le Milliardaire - TopicsExpress



          

QUI EST JEAN JACQUES BOUYA? Jean Jacques BOUYA, Le Milliardaire Qui Veut Succéder à SASSOU Devant des centaines de personnes, inutile de rechercher Jean Jacques BOUYA. Il est bien visible par sa corpulence mais aussi grâce à la santé financière qu’il dégage. Première partie du portrait d’un homme qui pourrait succéder à son oncle de président Denis SASSOU NGUESSO. Son nom ne figure pas encore dans les magasines des hommes les plus riches du monde tels Bill GATES ou le nigérian DANGOTÉ, mais il n’en demeure pas moins vrai que le Délégué Général aux Grands Travaux se positionne en tête de peloton des richissimes hommes d’affaires du Congo Brazzaville. En effet, au-delà de ses fonctions administratives et désormais politiques, se cache un milliardaire en FCFA. Son arrivé à la tête de la Délégation Générale aux Grands Travaux a surpris plus d’un observateur des micmacs de la famille présidentielle congolaise. Pilote de formation sans références - il n’aurait pas terminé ses études de navigation aérienne au Canada -, Jean-Jacques BOUYA ne se voyait pas promu à un si bel avenir. Selon certaines indiscrétions, il doit tout à son cousin Edgard NGUESSO, qui a dû peser de tout son poids "plume ? Puisqu’ils n’est pas physiquement costaud" pour le propulser au prestigieux poste de délégué général aux grands travaux. Les Bonnes Affaires de Jean Jacques BOUYA Dans sa traversée du désert, sous le régime de Pascal LISSOUBA, Jean Jacques BOUYA avait failli jouer le rôle de motor-boy (chargeur de bus : Hôpital, Moungali-Moukondo ou encore la Tiéme-Talagaï-Mikalou). N’eut été la bienveillance d’un certain BAWONDA A., le puissant Président Directeur Général (PDG) de la société MIAMBANZILA qui l’occupe comme chargé de mission, Jean Jacques BOUYA serait retourné à son Tchikapika natal pour s’exercer à des parties de chasse à la sagaie. Payé à la main comme technicien de surface, BOUYA essaye de joindre les deux bouts. Cependant, le retour aux affaires, en 1997, de son oncle lui procure un merveilleux sourire. Aussitôt bombardé comme Délégué Général aux Grands Travaux, il fait appel au PDG de la société MIAMBANZILA avec lequel s’opéreraient, confirme une source proche du dossier, des passations de marché de gré à gré. Même lors de l’opération d’appel d’offre, la société appartenant à BAWONDA et fils rafle la mise devant des concurrents réputés sérieux. Comme une odeur de manigance, spécule un opérateur économique qui a requis l’anonymat, Jean Jacques BOUYA et ses acolytes se partagent l’essentiel du marché juteux évalué en centaines de milliards de FCFA. Exonérée de tout contrôle de l’inspection d’Etat (on ne fouille pas dans les affaires du neveu du Chef de l’Etat, hein !) la Délégation Générale aux Grand Travaux est une forteresse. Même pendant la période d’ajustements structurel, les institutions de Breton Wood n’ont jamais pu inspecter les comptes du mastodonte congolais des grands travaux. Pour quelles raison ? L’avenir nous le dira. Fort de ce pactole financier évalué en milliards de FCFA, Jean Jacques BOUYA a pu investir dans l’immobilier (de nombreux immeubles au centre-ville sous des prête-noms), les communications (ESTV), l’aviation (Ecair-Congo). Ecair-Congo, Une Compagnie Aux Contours Flous En ce qui concerne cette nouvelle compagnie aérienne que l’on présente comme nationale, elle serait, selon certaines indiscrétions, l’émanation du puissant délégué général aux grands travaux. Pilote dépourvu d’un certificat de navigation aérienne, Jean Jacques BOUYA caresse depuis fort longtemps le rêve de monter une compagnie aérienne. Par abus de position dominante, il réussit à mettre sous l’éteignoir Air-Congo, la compagnie nationale congolaise. Immatriculé en Suisse pour s’exonérer de la black-list publiée par l’Union Européenne qui considère les avions immatriculés à Brazzaville comme "des cercueils volants", Ecair-Congo est une compagnie privé dont l’actionnaire principal est Jean Jacques BOUYA. Le comble dans l’affaire est que les salaires des expatriés (16 millions par mois et par pilote) sont payés par le Trésor Publique. En fait, pour une affaire privée c’est le contribuable congolais qui supporte les charges d’exploitation. Tragédie du 04 mars 2012, la responsabilité Directe de Jean Jacques BOUYA A en croire le Chef de l’Etat, Denis SASSOU N’GUESSO, qui s’est fendu d’une interview sur Télé-Congo dans la soirée du 04 mars 2012, il n’est un secret pour personne que plus de 300 milliards de FCFA avaient été engagés pour délocaliser les camps militaires de Mpila. Au regard de l’importance des moyens mis en jeu, la Délégation Générale aux Grands Travaux, à qui revenait la mission de faire aboutir cette délocalisation, a non seulement fait preuve de négligence flagrante mais, surtout, de culpabilité de détournement de deniers publics. Pendant que NTSOUROU, ICKONGA, SAHOUSSE, INGANI et autres sont sous clé à la Maison d’Arrêt de Brazzaville, Jean Jacques BOUYA, tel un Gosier d’oiseau, l’horrible personnage de "une vie de boy" de Ferdinand OYONO, se la coule douce. Sous d’autres cieux, il devrait comparaître pour justifier l’utilisation qui a été faite des 300 milliards de FCFA. Ces millions auraient certainement contribué à la création de Ecair-Congo, spécule un homme du sérail. BRISE PAS MON REVE VOTRE ADMINIS
Posted on: Wed, 24 Jul 2013 08:47:53 +0000

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