Quand un idiot se fait passer pour un érudit ! Le cas Fofana - TopicsExpress



          

Quand un idiot se fait passer pour un érudit ! Le cas Fofana Amara Dans le Groupe Côte D’Ivoire et si on faisait la paix ? Je fus interpelé le 8 Novembre 2013 par un certain Fofana Amara, visiblement écorché par l’article du FDRC sur le Meeting presqu’avorté du Président du FPI, M. Affi N’Guessan. Curiosité intellectuelle oblige, je pris mon précieux temps de garer mon véhicule afin de lire un article du Nouveau Réveil qu’il crut, pourrait dédouaner la barbarie de ses pairs militants du RDR résidant à Oumé. Avant tout propos, je vous propose la teneur intégrale de cet article pour appréciations en date du 2 Juin 2009 : Incident de Bokéda (Oumé), vendredi dernier - Cissé Ibrahima Bacongo, Directeur de campagne RDR de la zone d`Abidjan-Sud : “C`est intolérable….je reviendrai” mardi 2 juin 2009 C issé Ibrahima Bacongo, Directeur de campagne de la zone dAbidjan-Sud, invité, le vendredi 29 mai 2009, par la population de Bokéda, à tenir un meeting dans cette localité, a vu laccès du village lui être refusé par une frange de la population aux ordres de Mme Odette Sauyet. Dans cette interview, le ministre explique. Vous deviez tenir le vendredi 29 mai 2009, deux meetings à lintérieur du pays, lun à Oumé et lautre à Bokéda dans le département de Tonla. Tandis que vous avez pu tenir le premier, le second, contre toute attente, a été reporté. Que sest-il passé ? A Bokéda dans le département dOumé, il sest passé des choses que nous qualifions dintolérable. Surtout dans la phase où nous sommes, dans le cadre du processus de sortie de crise. Hier donc, (vendredi 29 mai 2009, ndlr), à Bokéda, javais été invité par la Direction Départementale de campagne dOumé qui couvre, également, le village de Bokéda, dans la sous-préfecture de Djégonefla, pour animer un meeting. Jétais en route, lorsque les responsables départementaux de campagne mont appelé pour me dire que les voies daccès de Bokéda avaient été coupées par, dit-on, les partisans de Mme Odette Sauyet qui est originaire de ce village. Ils mont demandé de renoncer à la tenue de ce meeting. Je leur ai dit que je serai à Bokéda parce que je ne vois pas pourquoi je ne peux pas avoir accès à ce village. Alors, je suis allé jusquà me rendre compte queffectivement la voie daccès qui mène à Bokéda avait été barrée par des troncs darbre. Jai constaté et donc, jai rebroussé chemin. Et, je me suis rendu à Oumé où après la rencontre que jai eue avec la population, dans le cadre de la campagne, jai eu, également, une rencontre avec nos amis de Bokéda. Ces derniers mont fait le récit de la suite des événements. La suite est que, malgré les dispositions quils avaient prises, à savoir, barrer la route, les militants, les sympathisants, mais aussi, toutes les populations qui ont décidées de nous rejoindre dans la campagne à Bokéda étaient en train de donner de la voix puisquils avaient, déjà, disposé les sonos sur la place publique. Donc, ayant, constaté quen dépit des dispositions prises, lorganisation de la cérémonie était en bonne voie, les sympathisants ou prétendus comme tels de Odette Sauyet sont allés demander au chef, la clé de la case qui abrite le transformateur du village. Ils sont allés ouvrir la porte de cette case, et armés dun fusil de chasse, ils ont tiré sur le transformateur. Aujourdhui, (samedi 30 mai 209, ndlr), le village de Bokéda est dans le noir. A la date, daujourdhui, à moins quune âme généreuse ne soit venue réparer le transformateur, hier nuit en tout cas, Bokéda était plongé dans lobscurité parce quil n’y avait plus délectricité dans ce village. Si de tels évènements ont lieu pendant la phase de précampagne présidentielle, êtes-vous pessimiste pour la suite cette campagne ? Non, je ne suis pas pessimiste. Je considère que cest une péripétie. Jai demandé à nos responsables locaux de reprogrammer ma venue dans ce village. Et que je reviendrais à Bokéda pour les apaiser. Aussi, bien ceux qui ont tiré sur le transformateur du village que les militants et toute la population. Nous irons les apaiser parce que pour nous, nous sommes en train de sortir dune situation de crise, et il faut trouver les mots quil faut pour apaiser les uns et les autres et surtout pour les rassurer. La campagne, pour nous, ce doit être une fête. Et, il en sera toujours ainsi avec moi. Nous ne viendrons pas injurier Odette Sauyet parce que ça napportera rien à la campagne. Nous ne viendrons pas, aussi, la vilipender. Nous ne viendrons pas dire ce quelle aurait dû faire et quelle na pas fait. Ce nest pas cela nos propos. On viendra, tout simplement, ouvrir les yeux des uns et des autres sur les problèmes réels que chacun de nous vit. Ce sont les problèmes de santé, de nourriture, de sécurité, demploi. Mais aussi, de pauvreté. Nous viendrons ouvrir les yeux des uns et des autres sur ces différents problèmes. Et leur proposer les solutions que le Dr Alassane Dramane Ouattara envisage de mettre en œuvre pour sortir la Côte dIvoire de cette situation. Voilà ce que nous comptons exposer à la population de Bokéda. Et donc, dans deux (02) semaines, nous serons certainement à Bokéda. Propos recueillis par Le service Communication ». Je me propose d’apporter un certain nombre d’éléments contradictoires et constructifs afin d’élever le débat tout en énumérant ici les manquements journalistiques et intellectuels de l’auteur et du sieur Fofana Amara. 1) L’utilisation des références est très vitale dans les sujets dits contradictoires. Cependant, l’on n’utilise pas des références aux antipodes de débats à contrarier. En d’autres termes, l’on compare le comparable et les éléments de même nature. Une règle d’or échappant au sieur Fofana Amara, tentant de se présenter comme un homme capable de tenir des débats contradictoires. Le départ étant faussé, le reste ne peut être qu’à l’image de son concepteur : Une idiotie intellectuelle. 2) La référence utilisée doit aussi fait cas d’école c’est-à-dire une référence qui ne souffre d’aucune ambiguïté. J’ai peur de le dire que Le Nouveau Réveil est loin d’être une quelconque référence même parmi les quotidiens en vente en Côte D’Ivoire. D’ailleurs vous verrez plus bas, M. Fofana Amara, l’immaturité journalistique de votre soit disant référence. 3) Tout article sérieux est signé par un auteur même si l’auteur ne souhaite pas s’identifier, il lui est possible d’utiliser un prête-nom. C’est d’ailleurs très courant. Cependant, un article censé expliquer le comportement des villageois de Bokéda, doit avoir une âme. Cela sous-entend que l’auteur a fait des investigations méticuleuses et que ses écrits correspondent à la réalité des faits reprochés aux villageois. L’article est signé du Service de Communication. Lequel ? Qui en est le responsable ? Qui est la personne morale ou physique ? Cela peut être n’importe qui, donc il manque gravement de pertinence et d’âme. Par conséquent l’article est peu crédible. Cela ne peut être une référence à comparer à l’article du FDRC sur le meeting d’Oumé. Retournez aux cours du Soir UNESCO afin de vous recycler. Vous en avez sérieusement besoin ainsi que vos ainés Cissé Bacongo et autres. L’article du FDRC est hautement scientifique et intellectuel pour votre entendement. Vous n’aviez pas réussi à y apporter une quelconque contradiction ou une comparaison digne de ce nom. Votre article reflète la triste réalité des idiots intellectuels ou analphabètes prétendant tout savoir mais en réalité ne savent que dalle. Ils se comptent par milliers dans votre administration rattrapée. Arrêtez messieurs d’étaler vos tares congénitales car elles finissent par contaminer notre jeunesse. 4) « Une frange de la population aux ordres de Madame Odette Sauyet ». Ceci est une affirmation plus tôt gratuite avec pour dessein de déformer le caractère d’une fille du village. Quelles sont les preuves que cette population fut acquise à sa cause même étant du village. Aviez-vous interrogé des éléments de cette frange de la population ? L’ont-ils avoué hors micro ou sur bande sonore ? Aucun élément pouvant justifier cette affirmation de l’auteur. C’est d’ailleurs ce qui caractérise votre presse pro-RHDP et ses militants. Des spécialistes en accusations gratuites. Une fois des preuves exigées, les accusateurs s’évanouissent dans la nature. 5) « Les voies d’accès de Bokéda avaient été coupées par, dit-on, les partisans de Madame Odette Sauyet qui est originaire de ce village ». Le « dit-on » en langue de Molière, signifie que l’on n’a aucune certitude des faits mais l’on se réfère aux propos d’une tierce personne. A-t-il personnellement vérifié l’information avant de la balancer dans votre quotidien ? Apparemment non ! Seulement, l’on fait un rapprochement entre Madame Sauyet et l’incident du tronc d’arbre sur la voie menant au village. Dès cet instant, sans aucune forme d’investigation, l’on affirme bêtement et malicieusement que l’auteur ne peut être que Madame Odette Sauyet. C’est vraiment ridicule ces propos venant d’un soit disant intellectuel. L’est-il reellement ? Apparemment non ! Pour votre gouverne, Cissé Bacongo fut viré de la liste des enseignants de l’Université d’Abidjan pour rendement en deçà de la moyenne : un véritable minable avec un Doctorat. C’est individu est, tenez-vous bien l’actuel Ministre de l’enseignement supérieur. Comment ne pas espérer voir des étudiants cancres à l’image de leurs ministres de tutelle à savoir Kandia et Bacongo. Bon, passons, c’est le rattrapage ethnique. Les diplômes ou l’intellect n’y ont pas leur place dans la « récrutation » pardon recrutement. Pour ce qui est des accusations gratuites et des crimes fallacieux, une spécialité du RDR, nous nous retrouvons de nos jours avec d’honnêtes citoyens en prison lorsque les véritables criminels sont promus à des postes clé. Cela aurait pu vous interpeler, cher Fofana Amara ! Bien entendu cela vous a échappé car vous manquez gravement de culture civique et constitutionnelle. Il n’est point utile d’éduquer un cancre vêtu d’un costume trop grand pour sa taille. Le cochon même lavé et parfumé, se retrouvera toujours dans la boue. Il demeure un cochon. C’est sa nature tout comme l’analphabétisme et la barbarie sont des éléments de votre nature. Vous étiez supposé nous apporter des éléments soutenant la thèse selon laquelle les militants FPI ont cassé sono, bâches, chaises et s’attaquant à vos militants à Bokéda. Vous avez terriblement et lamentablement failli à votre mission. Selon votre Délégué Electoral, Cissé Bacongo : « les sympathisants ou prétendus comme tels de Odette Sauyet sont allés demander au chef, la clé de la case qui abrite le transformateur du village. Ils sont allés ouvrir la porte de cette case, et armés dun fusil de chasse, ils ont tiré sur le transformateur ». Il ne fut jamais signalé de dégâts causés aux installations ou encore des agressions à l’endroit de vos militants. Ceci démontre la maturité politique des villageois même si l’utilisation du fusil pour endommager le groupe électrogène est à sanctionner. 6) Un petit cours sur la propriété privée et publique. Un village est une propriété privée collective. Les villageois sont libres d’accepter ou de refuser qui que ce soit dans leur village. Tout comme vous êtes libre d’accepter qui vous voulez chez vous, peu importe son statut dans la société ou dans l’administration préfectorale. Je parie, cher Fofana Amara, vous l’ignoriez. Aussi aviez-vous cherché la raison du refus des villageois de recevoir Cissé Bacongo ? Apparemment non ! Vous vous croyiez en territoire conquis comme dans votre fief de Bouaké et les CNO. Puis je vous demander ceci ? Est-il tolérable que des individus attaquent la mère patrie afin de dégommer le Président démocratiquement élu, coupant le pays en deux et lui interdisant l’accès aux zones CNO ? Alors, dites-moi qui de MM. Gbagbo et Bacongo devrait être offusqué des différentes situations présentées ? Finalement sur le sujet, aviez-vous désarmé en juin 2009 comme le stipulait l’Accord Politique de Ouagadougou ? Non ! Vous continuiez à ruser avec les populations favorisant des élections dans l’immédiat. Eh bien, les populations n’étaient pas du tout contentes de vos agissements. Venir vous parader et les narguer chez elles alors qu’il était virtuellement impossible d’avoir accès aux zones CNO. Les populations n’avaient pas besoin de Madame Odette Sauyet afin d’être remontées contre votre rébellion. Ce sont pour la plupart des personnes lettrées à l’opposé de vos populations du nord. Par conséquent, Madame Odette Sauyet n’avait point besoin d’interdire l’accès au village. D’ ailleurs elle n’est qu’une simple fille du village et non le CHEF du village. Comme vous le constatez, cher Fofana Amara, l’école coranique ne vous fait aucun service intellectuel sauf vous abrutir. Vos réactions sont celles d’un élève fanatisé. Je vous conseille de vous inscrire à l’UNESCO (gratuit pour les rattrapés) afin de vous faire une santé intellectuelle. En attendant de discuter à armes égales avec vous dans un futur lointain, je vous prie d’identifier un des vôtres ayant atteint la classe de 5e afin que l’on vous lise et interprète l’article du FDRC. Je vous le propose à nouveau. Fait à Londres le 8 Novembre 2013. Nick De Bessou Juriste & Anthropologue Politique. Président du FDRC. Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises. Directeur de Communication de moacinter nickdebessou.over-blog @nickdeBessou1 Visitez aussi la Page Facebook Nick de Bessou Officiel.
Posted on: Sat, 09 Nov 2013 08:28:02 +0000

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