Remise en cause du processus démocratique depuis 2006 Société - TopicsExpress



          

Remise en cause du processus démocratique depuis 2006 Société civile et syndicalistes ont démissionné Des responsabilités sont aussi à établir pour ce qui concerne les violations des droits de l’homme sous le régime de Yayi Boni. S’il est vrai que le gouvernement est désigné auteur de ces violations, la Société civile et les organisations syndicales n’en sont pas moins complices à cause de leurs choix moins osés.Le Bénin a eu ces dernières années des points en moins en matière de respect des droits de l’homme. Le droit de grève des douaniers a en effet été restreint et le projet de révision de la Constitution en débat prévoit de rogner le droit de grève des travailleurs en général. Aujourd’hui si les mouvements de contestations du projet de révision constitutionnelle ne sont pas réprimés, ils sont simplement interdits. Face à ces menaces et violations, les membres de la Société civile et des organisations syndicales se font moins entendre. Cette attitude qui trahit leur complicité, encourage le gouvernement à poursuivre sur la ligne dure définie. Pourtant, ces dernières années, plusieurs initiatives ont été prises, mais elles ont fait long feu. En 2010, à la veille de la présidentielle, un Front de défense de la démocratie (Fdd) avait été créé par les organisations des droits de l’Homme et les Centrales syndicales pour préserver les libertés publiques. Mais ce front n’a pas résisté à l’usure du temps. Après les élections de 2011, le creuset n’a pu continuer à faire parler de lui alors que les maux qu’il dénonçait se sont amplifiés. Dans la même période, il y a eu un Front citoyen pour la défense des acquis démocratiques conduit par Antoine Détchénou. Cette organisation composée de vieux routiers de la politique nationale n’a pas porté loin le combat espéré par le peuple. Malgré sa présence, le régime de Yayi Boni continue de mettre en danger les acquis de la Conférence nationale. Même si ce Front a le mérite de réveiller les consciences, son action se réduit à quelques dénonciations qui ne soulèvent réellement pas la foule. De son côté, la Convergence des forces patriotiques de gauche a fait quelques sorties par rapport au sujet de la révision de la Constitution pour remettre en cause le projet qui met en danger les droits fondamentaux. Seulement, la Convention n’a pas encore réussi à faire plier le régime de Yayi Boni. Il en est de même pour le mouvement «Mercredi rouge» qui semble essoufflé face à la détermination du gouvernement de «faire basculer le destin du peuple». Si tous ces mouvements et organisations ont pu donner de la voix pour fustiger les pratiques liberticides du gouvernement de Yayi Boni, ils n’en ont pas fait suffisamment pour garantir le respect des libertés publiques. Plusieurs observateurs leur reprochent un manque d’engagement qui pourrait bien s’interpréter comme une complicité.Et leur attitude qui reste apparemment très inquiétante, fait encore douter de leur capacité à empêcher Yayi Boni d’imposer ses autres ambitions funestes.Le couplage des élections, l’autre ambitionSi la Société civile béninoise et les organisations syndicales n’ont pas été capables d’arrêter le gouvernement de Yayi Boni dans la violation des droits de grève et des libertés d’expression et d’opinion, il leur sera difficile de faire échec à l’agenda caché que veut imposer le Chef de l’Etat au sujet de l’organisation des prochaines élections communales et locales. Les organisations sociales sont en effet moins actives et se sont presque murées dans un silence face à la question de l’actualisation de la Liste électorale permanente informatisée (Lépi). Alors que le Conseil d’orientation et de supervision (Cos) espère disposer de la liste électorale en 2014, Yayi Boni exige la Lépi corrigée avant la fin de 2013. Un jeu de ping-pong qui tourne à une tragi-comédie. Une confusion semble donc s’installer entre l’organe de supervision et le gouvernement. Et pendant ce temps, les organisations de la société civile semblent se complaire dans ces dysfonctionnements qui n’augurent de rien de bon pour la République. Alors qu’elles ont la capacité d’intervenir à temps pour faire prendre conscience aux acteurs politiques de la dangerosité de la situation, elles ont préféré laisser Yayi Boni dicter sa loi. Où sont donc passés les militants de Fors-Lépi qu’on voyait dans un passé récent bomber le torse?Or plusieurs observateurs soutiennent que si le cours des évènements ne change pas, il y a de fortes chances que Yayi Boni et son équipe en arrivent à décider d’organiser les élections quand ils le voudront. Forts de leur majorité au Parlement et contrôlant le nerf de la guerre, ils peuvent même envisager de coupler les communales et les législatives en 2015. L’objectif, c’est que la date retenue pour les scrutins et l’outil électoral servent leurs intérêts et non ceux du peuple. A T Départs volontaires de la Fonction publique La marche de protestation des agents civils et militaires interdite Les agents civils et militaires partis volontaires de la Fonction publique ont décidé de marcher sur des ambassades, le ministère de l’Economie et des finances et la Présidence de la République, ce mercredi 30 octobre 2013. Ainsi en a décidé leur association pour «protester» contre la lenteur dans la régularisation de leur situation financière. Ils entendent «former 23 pelotons de 30 éléments chacun» pour se faire entendre dans les rues. Ladite association estime que la communication qui devrait être introduite en Conseil des ministres pour faciliter la tâche au ministre de l’Economie et des finances est «bloquée». D’où la programmation de leur marche de protestation. Mais cette marche n’aura pas lieu. Elle a été purement et simplement interdite par l’autorité compétente, le Préfet des Départements de l’Atlantique et du Littoral (photo), au motif que le risque de trouble à l’ordre public est grand. Les départs volontaires surtout les militaires sont surexcités et lorsqu’ils parlent de la mise en place de «23 pelotons de 30 éléments chacun» pour marcher sur des représentations diplomatiques et la Marina, il y a lieu pour l’autorité préfectorale de prendre ses responsabilités en vue de prévenir le pire. La marche n’aura pas lieu, mais un dialogue a été engagé avec les membres du bureau de l’association pour la recherche de solutions appropriées à leurs préoccupations. Placide Azandé, entouré du Secrétaire général de départements et du Directeur départemental de la police nationale, a longuement échangé, hier lundi 28 octobre 2013, dans la soirée, avec les responsables au plus haut niveau de l’association pour les écouter, leur faire part de sa décision et leur proposer des approches de solutions beaucoup plus pacifiques et responsables. Il leur a expliqué qu’ils sont libres de manifester leur mécontentement mais ils ne doivent pas constituer des menaces pour la libre circulation des personnes et des biens, perturber l’ordre public et créer des incidents diplomatiques à notre pays. Tout en prenant acte de leur doléance (paiement de ce que l’Etat reste leur devoir) le préfet a pris l’engagement de la transmettre à qui de droit pour mesures urgentes à prendre. Opinion Etonnant pays que le mien : Le Bénin Eh oui, le ridicule ne tue pas. En tous cas : Pas du tout au pays des amazones du Roi Ghézo. Tenez : Un homme politique de ce pays, il n’y a pas si longtemps que cela montait souvent au créneau sur les médias pour défendre mordicus (Ne souriez pas Svp) la justesse du relèvement des droits de licences d’expression du Gsm de Fcfa soixante-dix (70) à Fcfa à cent vingt (120) millions alors que pendant cette période, ce montant variait déjà entre Fcfa cinq (5) et vingt (20) milliards dans la sous-régionIl argumentait à ces occasion que le fait pour le Bénin de percevoir 120 millions de Fcfa contre 5,1O, 15,20 milliards perçus dans les pays de la sous-région, ne constituait pas un manque à gagner pour notre pays au motif que dans ces pays-là : Etaient exonérés des droits de douane et autres taxes, les importations des équipements techniques de ces opérateurs du Gsm alors qu’ils étaient perçus au Bénin. Chiche ! Que cet ancien Ministres, aujourd’hui Maire, vienne nous expliqué pourquoi en 2006 les droits de licence d’exploitation du Gsm sont passés à plusieurs milliards de Fcfa par opérateur abandonnant ainsi les Fcfa cent vingt millions que notre homme politique recommandait avec si tant de véhémence et qu’il considérait comme une avancée notable pour notre pays.Notre homme politique Maire d’une ville touristique située à une quarantaine de kilomètres de la Capitale économique de notre pays, fait aujourd’hui des pieds et des mains pour encore se rapprocher (car rappelons-le, il avait activement battu campagne pour le candidat de l’opposition à l’élection présidentielle de 2011) du pouvoir en place (conférer l’élément télévisuel passé lors de la pose de la pierre des Travaux de réhabilitation du tronçon routier Pahou-Ouidah-Frontière hilacondji).C’était toujours lui qui créa Bénincell devenu télécel, société au sein de laquelle il avait détenu une part importante du capital social (Rappelons-nous : le droit de licence d’exploitation était de 120 millions FCFA contre 5, 10, 20 milliards FCFA dans les pays de la sous-région à l’époque).Par contre, celui-là, le vaillant pionnier était pratiquement seul avec quelques compatriotes intègres à mener la lutte pour éclairer l’ancien grand camarade de lutte devenu démocrate de la supercherie.De la mise à sac des caisses de l’Etat à propos des droits de licence d’exploitation perçus auprès des opérateurs Gsm d’alors.Cet homme ( dis-je) était l’avant-gardiste du travail de sensibilisation de certains de nos Ministres du l’ère du Renouveau Démocratique sous le gouvernement du Général (encore lui) notamment le Ministre de la communication en invitant à introduire une communication en Conseil des Ministres pour réviser, substantiellement à la hausse le montant des droits de licence d’exploitation. Rien n’y fit puisqu’il a fallu l’avènement du gouvernement Yayi en 2006 pour que la recommandation de notre intrépide combattant soit prise en compte.C’est celui-là qui a maille à partir aujourd’hui avec le pouvoir en place pour avoir un peu trop parlé en tant que Sherpa (conseiller spécial) du Chef de l’Etat. Le verdict prononcé à son encontre dans le procès qui l’oppose au premier Magistrat du pays pour des propos diffamatoires est sans appel puisqu’il s’agit de : Six (6) mois d’emprisonnement ferme avec mise en dépôt immédiate rappelons qu’entre temps, la lutte menée par notre pionnier national l’homme de droit a été entendu parce que dès l’avènement du pouvoir en place en 2006, les droits de licence d’exploitation ne sont plus de Fcfa cent vingt (120) millions mais cinq (5) pour atteindre aujourd’hui une trentaine de milliards de Fcfa par Opérateur permettant ainsi à l’Etat béninois d’engranger depuis lors des centaines de milliards de Fcfa.Mais oh ! Que certains Ministres avaient beaucoup bénéficié des largesses de certains opérateurs économiques du Gsm lorsque le montant était à soixante dix puis à 120 millions de francs Cfa.Au non de cette lutte hautement patriotique menée par Maitre Lionel Agbo (puisque c’est de lui qu’il s’agit) en cette période-là, je formule le vœu ardent : qu’il plaise au Chef de l’Etat de demander à ses Avocats (comme il a déjà commencé à le faire d’ailleurs) à faire accélérer par les Autorités judiciaires compétentes les modalités d’annulation et d’extinction de peine infligée à ce serviteur du peuple par le tribunal de première instance de Cotonou.Le Chef de l’Etat en tant que Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, Garant de la Paix et de la Concorde Nationales, doit entourer cette mesure de grâce de toutes les garanties judiciaires à cet homme du peuple pour entrer au bercail, s’il le souhaite, bien sur, donner dans le cadre démocratique requis de sages, conseils qui feront avancer le pays.Aussi voudrais-je relever quelques remarques à l’endroit de certains de nos Ministres par des propos du genre : “Est-ce que vous me comprenez ?”ou “je dirai ” qui reviennent souvent parce qu’il y a aussi de hauts diplômés (agrégés, Titulaires de Phd et autres doctorats…) qui ne sont pas dans l’Administration et qui vous écoutent dès lors que vous vous exprimez dans la langue de Molière. Elevons un peu le débat, s’il vous plait. Pour le premier, ce sont surtout lors des visites du site de la centrale de turbines à gaz de Mariagléta, du vol de câbles en cuivre sous l’ancien pont de Porto-Novo et à l’annonce des mesures nécessaires à mettre en œuvre pour renforcer la capacité en énergie électrique du Bénin que l’on a beaucoup entendu cela.Le second, il faut le suivre quand il rend compte des conclusions des rencontres internationales tenues au Bénin ou lors des comptes rendus de missions du chef de l’Etat à l’étranger.Autre fait marquant de la légèreté de conduite des dossiers de projets de plusieurs milliards de francs Cfa et la manière dont le pays perd en conséquence des centaines de millions de nos francs : Suivez mon récit entendu de la bouche de l’un de nos Ministres : Lorsque le corps de contrôle fait son travail et de son Rapport il ressort la constatation des irrégularités sur les travaux déjà exécutés, le Ministre nous dit que l’entrepreneur peut mettre trois, quatre voire cinq mois avant de commencer à corriger ce qui lui est signalé.Si la partie béninoise s’acquitte à bonnes dates de ses engagements financiers vis-à-vis de l’entrepreneur, un tel comportement de la part de ce dernier, devait faire l’objet de paiement des frais de pénalités de retard dans l’exécution des travaux qui pourraient se chiffrer en des dizaines voire centaines de millions de francs Cfa pour tenir compte du montant global du projet qui serait de l’ordre de Fcfa trente six (36) milliards, une autre source parle de Fcfa Quatre vingt milliards environ. A moins que le contrat liant les deux parties ait été très mal rédigé (Nous évoquons ce fait parce que cette précision de frais de pénalité n’est pas ressortie de l’intervention du Ministre).Entre temps, le public a été tenu informé que les Directeurs Généraux des Sociétés et offices d’Etat avaient un délai pour s’acquitter de leurs dettes vis-à-vis de la SBEE. De même, les audits de nos communes sur la gestion des fonds d’aide et de développement de communes “Fadec” seront portés à la connaissance du public. Ils ne sont pas à ce jour et il faut le faire.A vous le reflexe de l’obligation des Résultats et surtout celle de rendre compte à temps : Stop à l’opacité. Oui à la transparence.Bon, tout cela étant ; revenons à nos moutons.Je voudrais vous inviter à constamment nous rappeler qu’à l’avènement du Renouveau Démocratique au lendemain de l’historique Conférence Nationale des Forces Vives de février 1990, nous avons dit :“Stop au retournement de veste”“Faisons désormais la politique avec convictions”Pour que : nos dirigeants politiques soient des modèles à suivre par la jeunesse de notre pays et que Vive le Bénin. Moufoutahou Toukourou (Collaboration) Correction de la Lépi Le jeu flou de Yayi et Nago continue Dans son discours d’ouverture de la deuxième session ordinaire de l’Assemblée nationale de l’année 2013 le jeudi dernier, le Président du Parlement, Mathurin Nago a accusé le Cos/Lépi de vouloir retarder la correction de la Liste électorale permanente informatisée (Lépi). Or, il est de notoriété publique que c’est le Gouvernement qui s’obstine à ne pas mettre les ressources financières nécessaire à l’équipe de Sacca Lafia pour l’accomplissement de sa mission. Pourquoi n’a-t-il pas eu l’audace de dénoncer ouvertement l’Exécutif ?« Je considère que le Cos/Lépi et l’Assemblée nationale n’ont pas réussi leur mission prévue. Il faut éviter que la situation s’aggrave. C’est pourquoi j’en appelle à l’esprit patriotique du Cos/Lépi… », a déclaré le Président de l’Assemblée nationale, Mathurin Nago, à l’ouverture de la deuxième session ordinaire de son institution, la semaine écoulée. Pour lui, les membres du Conseil d’orientation et de supervision (Cos/Lépi) sont les principaux responsables du retard observé dans la correction de la Liste électorale permanente informatisée. Mais que peuvent le Président du Cos/Lépi, Sacca Lafia et ses collaborateurs sans moyens nécessaires pour l’accomplissement de leur mission ? Depuis leur installation, les membres du Cos/Lépi manquent cruellement de moyens financiers pour mener leurs activités. C’est surtout à ce niveau que le problème se pose. A cet effet, le Président de l’Assemblée nationale gagnerait plutôt à accentuer son discours sur les difficultés financières du Cos/Lépi et montrer les conséquences graves de la non-tenue des élections communales et municipales au Gouvernement du Président Yayi Boni. Même s’il est de la majorité présidentielle, son mérite serait de le voir se mettre au-dessus de la mêlée et insister sur le déblocage des fonds au Cos/Lépi par le Ministre des Finances. Face à la gravité de la situation, l’heure n’est plus aux calculs politiciens qui vont faire perdurer la crise, car il est question de ne pas mettre en péril la démocratie béninoise dans l’entendement de l’opinion publique nationale et internationale. D’autres pressions A l’allure où vont les choses, il est difficile de faire foi à la détermination du Président de la représentation nationale à faire accélérer la correction de la Lépi. A ce sujet, la probabilité est forte qu’il ne dise pas la vérité au Chef de l’Etat en raison de ses fréquentes prises de position pour son camp politique. Sur plusieurs questions du genre, Mathurin Nago s’est montré flexible. La preuve est qu’il semble actuellement endosser l’habit de l’apôtre du projet de révision de la Constitution du 11 décembre 1990. Fait-il la politique du gouvernement pour être le dauphin du Président Yayi Boni ? Question. Face à cet immobilisme gouvernemental, il va falloir que les partis politiques, les organisations de la Société civile, les syndicats et la communauté internationale prennent conscience des enjeux desdites élections qui auraient pu se tenir depuis mars dernier. Il faut donc la mobilisation de toutes les énergies pour contraindre le Gouvernement à débloquer les ressources financières au Conseil d’orientation et de supervision de la Liste électorale permanente informatisée. Dans le contraire, on tend vers la situation de 2005 où l’ancien Ministre de l’Economie et des financières, Cosme Sehlin sous le régime du Général Mathieu Kérékou s’était obstiné à trainer les pas pour donner les moyens à la Commission électorale nationale autonome (Cena) pour l’organisation de l’élection présidentielles de 2006. A l’époque, l’objectif des dirigeants était visiblement de s’éterniser au Pouvoir. Donc, il y a assez d’économie de vérité dans le blocage de la correction de la Lépi. L’heure est à la veille citoyenne. Jules Yaovi Maoussi Conflit frontalier entre Missérété et Dangbo Le préfet Badarou travaille au règlement du litige En présence des maires, des élus locaux, chefs de village et des populations, le préfet des départements de l’Ouémé et du Plateau, Moukaram Badarou s’est entretenu vendredi 25 octobre 2013 à l’Ecole primaire publique de Klogbomé, avec les protagonistes du litige entre les Communes d’Akpro-Missérété et de Dangbo. A l’origine de cette crise, l’érection querellée d’une Ecole primaire publique de Klogbomé sur une parcelle disputée par les deux Communes. Il faut dire que cette école est restée fermée depuis le 03 octobre 2013. La rentrée n’a donc pas eu lieu dans ce lieu du savoir jusqu’à ce jour. Après avoir écouté les deux parties, Moukaram Badarou a réussi à les calmer. Dans son intervention, il a appelé à la responsabilité des maires Michel Bahoun et Clément Gnonlonfoun respectivement d’Akpro Missérété et de Dangbo pour que cette crise soit dénouée au plus tôt. Quant aux populations, il les a exhortées à cultiver la paix autour d’elles. « Nous promettons de peser de tout notre poids dans la recherche rapide et pacifique de solutions à ce conflit domanial. De même des instructions fermes ont été déjà données pour que les services compétents se penchent, tous travaux cessant, sur le dossier », a rassuré le préfet Moukaram Badarou. Thobias G Rufino(Br Ouémé/Plateau)
Posted on: Tue, 29 Oct 2013 04:15:05 +0000

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