Salam wa3leykoum, tu peux posté ça sur ton mur je viens de - TopicsExpress



          

Salam wa3leykoum, tu peux posté ça sur ton mur je viens de commencer ma chroniques ? Merci beaucoup.♥ 1. Et en voilà une autre, une nouvelle chronique fait son apparition. Pourquoi je l’ai crée ? En vérité, moi-même je ne sais pas. En ce moment je vis une période dite difficile, et j’ai l’impression que même en parler à certains de mes proches ne m’aident pas. J’ai ce sentiment d’être incomprise. Vous comprendrez pourquoi, quand dans la chronique on arrivera à ce moment-ci. Cette chronique est donc vraie, je vous avoue que je n’ai pas le vécu de toutes ses autres chroniques. Je n’ai pas le quart de leurs peines, le quart de leurs souffrances. J’ai ma vie, mes hauts, mes bas. Une vie banale pour une fille banale. Mais j’ai un besoin d’écrire, laissé mon cœur vous parler. Alors je tente, on verra par la suite. Bien évidemment, comme toutes chroniqueuses (ça fait bizarre) personnes n’a envie qu’on l’a reconnait, qu’on l’a « crame ». J’éviterais donc de divulguer certains détails, comme mon prénom, lieux ect. J’ai choisis le prénom Hasna, à l’époque de mon récit j’avais 13 ans, jeune, ignorante, immature. J’étais le petit bonhomme, qui se battait avec les garçons, je connaissais par cœur le bureau du CPE, je m’habillais simplement, aller en cours en survêt voir en pyjama n’était pas un délit de la mode pour moi, c’était normal. Physiquement, je ne préfère pas faire de description détaillée, mais vu que je sais que certaines lectrices apprécient se faire une image de la personne qui écrit voilà : Je suis très banale, je suis plutôt fine en taille, mais j’ai quand même quelques formes là où il faut. Quand certaines veulent maigrir moi je veux grossir, malheureusement pour moi je ne grossis jamais où je veux, toujours du ventre, ce qui fait que j’ai un petit bide. J’ai les cheveux noirs assez longs, pour rien au monde je ne couperais mes cheveux. Je n’ai pas la peau mate, je suis plutôt blanche de peau, ça a été mon surnom d’ailleurs. Je suis issu d’une famille algérienne de ma mère et marocaine de mon père. Je me sens plus algérienne, à vrai dire, mon père et ma mère ont divorcés depuis que j’étais tout bébé. Dire que j’en aie souffert serait idiot et pure mensonge, j’étais beaucoup trop jeune. Je ne me souviens de pas grand-chose. C’est en grandissant que j’ai commencé à ressentir le manque d’un père, bien que ma mère a su remplir les deux rôles sans broncher. Un père reste un père, j’aurais aimé être comme vous, et pouvoir dire « mon mari je le veux comme mon père », mais à part si je souhaitais un homme violent, qui boit, fume et grossier, cette phrase n’aurait aucun sens. J’aurais aimé aussi dire « Papa je t’aime », mais ça aussi je trouve ça idiot. Certes, c’est mon géniteur et je l’aime quand même un peu mais ça s’arrête là. Il n’a rien fais pour moi et c’est horrible à dire mais je garde de la rancune pour lui et toutes les souffrances qu’il a infligé à ma mère. Je me souviens d’une chose, moi, petite, âgée de seulement cinq, six ans surement voyant ma mère sur son lit, tenant fermement des lettres, en larmes. Une image qui est resté gravé dans ma tête longtemps. Un souvenir atroce, j’avais six ans et je consolais ma mère. Enfin bref. Ma mère a eu avec mon père, un enfant. Mon grand frère ; Houssam. J’ai grandit avec lui, vécu avec lui, fais des conneries avec lui. Il a 18 ans. Houssam et moi étant petits, on était du genre à se protégé quand ma mère s’énervait contre nous, ma mère voulait me frapper et Houssam se plaçait devant moi, prenant les coups à ma place. J’étais le genre de petite sœur qui se battait avec son frère pour rigoler, on finissait nôtre « entraînement » essoufflés tout les deux. Mais Houssam était loin d’être le grand frère gentil, certes on rigolait souvent ensemble, il me traitait souvent de moche, de khalay, de bouton-man. Mais il avait un côté (trop) protecteur envers moi, il avait peur et je pouvais le comprendre mais c’était trop, j’étouffais. Quand ma mère m’autorisais l’une des rares sorties que je souhaitais, Houssam, lui s’y opposait, et ma mère la plupart du temps ne disait rien. Il a ce genre de mentalité très fermé qui pour lui, « une femme reste à la maison), certes j’étais jeune (et je le suis toujours) mais je ne faisais rien de mal. Mis à part aller chez une copine et sortir un peu avec elle. Nous ne sommes pas une famille nombreuse, chez moi nous n’étions que trois, mais ça n’empêchait pas que la bonne humeur régnait. J’étais heureuse d’avoir une mère et un frère comme eux. Mon père quant à lui, que je voyais quelques fois, s’était remarié avec une femme du Maroc, autant vous dire que je ne l’ai jamais porté dans mon cœur. Ma mère et elle ne s’entende pas du tout, elle s’était déjà insultée entre elle enfin, ce n’est pas la belle entente entre les deux. Et moi, personnellement, je n’avais pas grande attention pour Hayat, la femme de mon père. Avec elle ils avaient eu deux enfants, un garçon en premier, Kecim et une petite fille Soraya. Mes perles, mes bijoux. Quand je l’ai voient, Soraya me sautait à chaque fois dans les bras, Kecim un peu plus pudique je l’obligeais à me faire un câlin. Dieu seul sait à quel point ils sont importants pour moi ces petits. Je pense avoir fait le tour, pour mes amis, vous les connaîtrez au fur et à mesure. Cette histoire va parler de ma vie, la mienne, il y aura surement des ressemblances avec les vôtres, après tout on est tous un peu passés par les mêmes choses, des déceptions qui vous ont appris des choses, des peines, des joies, de la colère… Mais chaque vécu est unique, et j’ai décidé de vous faire partager le mien. https://facebook/HasnaEtSonHistoire
Posted on: Wed, 07 Aug 2013 15:52:27 +0000

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