Sorcellerie politique: Mise en garde aux nombreux judas qui - TopicsExpress



          

Sorcellerie politique: Mise en garde aux nombreux judas qui gravitent autour de notre Président Ali Bongo Ondimba ... La disparition tragique, le 8 juin 2009 à Barcelone, du président Omar Bongo Ondimba a, soudain, fait pousser des ailes à des politicaillons de tous acabits qui, désormais, se croient oints du pouvoir de faire des rois. A bien observer leurs faits et gestes, et scruter leur fonctionnement dans leurs « fiefs » respectifs, on en vient à une seule et même conclusion : quelque chose de pas clair serait en train d’être ourdi contre le successeur légal d’Omar Bongo Ondimba. Comme une sorte de 5ème colonne dévouée à une cause sordide. Le scénario se répète, toujours le même : après s’être rués sur tous les billets de banque, de l’argent public, qui passaient devant leurs yeux, les plus hardis n’hésitant pas à se servir d’une pelle mécanique, des malafoutiers se découvrent brusquement un destin politique national. Et depuis le 8 juin 2009 justement, certains d’entre eux croient détenir un puissant artefact capable de libérer l’énergie surréaliste qui ferait d’eux des êtres d’exception, dotés du pouvoir d’en imposer au président qu’ils disent avoir contribué à installer au pouvoir au soir de l’élection présidentielle du 30 août 2009. En effet , il n’aura échappé à la perspicacité d’aucun des fins observateurs de la vie politique gabonaise que contrairement au calme apparent, il est de plus en plus certain que des quidams parmi les personnalités du pouvoir nourrissent des projets douteux, sinon nocifs et dangereux pour l’avenir politique d’Ali Bongo Ondimba. Parmi ces futurs rebelles (sic), figurent des cadres de la haute administration publique qui lui doivent pourtant leur ascension aussi bien professionnelle que sociale. Ingratitude, quand tu les tiens ! Y figurent également, dans ce qui ressemble comme deux gouttes d’eau Andza à la célèbre 5ème colonne, des élus nationaux de premier plan, dont des députés, des membres du gouvernement, ainsi que des membres du secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais. Ceux‐là sont soupçonnés d’être à l’origine de la chienlit observée tout au long du processus d’investitures des têtes de listes PDG aux prochaines élections locales. Une occasion qui a permis à des militants indisciplinés d’afficher des velléités de rébellion de façon ostentatoire, au grand dam du cabinet politique du « Distingué camarade président ». Tout comme il n’aura échappé à l’observation de personne que les « rebelles », ceux qui veulent contester l’autorité d’Ali Bongo Ondimba, ont même trouvé leur botte secrète dont ils usent et abusent chaque fois qu’ils décident de montrer les dents : attaquer, à la dynamite, l’entourage du chef de l’Etat, accusé de constituer un frein au fonctionnement du gouvernement et de son administration. En témoignent ces bouffées xénophobes répétées, orientées contre les membres de la communauté béninoise du Gabon, un chef-d’oeuvre que le Gabon doit à certains de ses enfants dont le personnel domestique est pourtant composé de... Béninois. Un comble ! Mais la stratégie est connue de tous : mettre la pression au chef de l’Etat pour ensuite le pousser à nommer les « rebelles » dans son gouvernement, et le tour sera joué. Bref au Palais, une évidence s’impose: « Le patron est prêt à parer à toute éventualité », souffle un initié. Avant de servir la spécialité du chef: « Si 5ème colonne il y aurait, et bien ses membres devraient se savoir suivis, extrêmement suivis. Du reste et comme on dit, ce sera à la guerre comme à la guerre et à ce jeu, le patron semble le mieux armé pour contenir le choc des ambitions, somme toute légitimes, des uns et des autres. De toutes les façons, il y a loin des ambitions à leur matérialisation.» En français facile, un oiseau de mauvais augure précise: « Le chef de l’Etat dispose de moyens tentaculaires et transversaux qui lui permettraient de faire face à l’adversité de ses amis du PDG. Par exemple, il sait mieux que quiconque que tous, ou presque, ont des cadavres encombrants dans leurs placards, héritage de leurs différents passages dans des fonctions antérieures. De plus, on se souvient de la promesse faite par le procureur de la République de mener la vie dure à la délinquance financière. C’est le principal talon d’Achille de tous ceux qui voudraient, demain, se lancer dans une aventure aux conséquences incalculables. » Comme on dit au quartier, à bon entendeur...
Posted on: Tue, 08 Oct 2013 01:56:52 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015