Syrie: Paris et Washington en première ligne pour une frappe 30 - TopicsExpress



          

Syrie: Paris et Washington en première ligne pour une frappe 30 août 2013 Rubrique: Monde 0 réaction [-] Texte [+] Email Imprimer Le président américain Barack Obama consultait vendredi son équipe de sécurité nationale sur le conflit en Syrie, après le soutien apporté par la France à une éventuelle frappe dans ce pays, accusé d’avoir utilisé des armes chimiques. D’autres puissances mondiales, notamment la Grande-Bretagne, refusent d’y participer. Après le coup de théâtre jeudi à Londres, où le Parlement a rejeté une intervention militaire après un vote serré, la Maison-Blanche a laissé entendre que le président Barack Obama se réservait le droit d’agir unilatéralement contre le régime syrien, sans attendre l’ONU ou ses alliés occidentaux. « Les Etats-Unis continueront à consulter le gouvernement britannique », mais « les décisions du président Obama seront guidées par ce qui est dans l’intérêt des Etats-Unis », a dit la porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain. Selon eux, ils ne cherchent pas à renverser le régime de Bachar al-Assad. Le Premier ministre britannique David Cameron a lui assuré vendredi que même s’il était exclu que son pays participe à une action militaire, il s’engageait à tenter d’obtenir une « réponse forte » à l’usage d’armes chimiques. L’OTAN ne participera pas à une intervention militaire. Frappes aériennes imminentes? Paris estime que le refus de Londres d’intervenir en Syrie ne change pas la position de la France, qui souhaite une action « proportionnée et ferme » contre le régime de Damas, selon le président François Hollande. L’attaque chimique du 21 août près de Damas a coûté la vie à des centaines de civils, selon l’opposition. Dans un entretien au quotidien « Le Monde », M. Hollande n’a pas exclu des frappes aériennes avant mercredi, date de la session extraordinaire du Parlement français sur la Syrie. Moscou a à nouveau réitéré son opposition à toute intervention. Pékin, allié de la Syrie, a dit de son côté qu’il fallait établir clairement les faits avant de décider toute action. (ats / 30.08.2013 19h36) SOURCE: AFP du 30 août 2013. Autres articles dans la même catégorie Afrique du Sud: préavis de grève dans les mines d’or pour mardi Des frappes en Syrie porteraient un coup sérieux à l’ordre mondial Le Ghana n’extradera pas le porte-parole de Gbagbo vers la Côte d’Ivoire Syrie: Londres affirme qu’une intervention militaire serait autorisée même en cas de blocage à l’ONU
Posted on: Fri, 30 Aug 2013 20:33:22 +0000

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